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  • la femme à la guitare 18 juin 2012 à 13:58
    Euhhh...
    Juste en petit lien en écho au vite dit "Optic 2000"...

    http://delitmail.blogspot.fr/2012/06/tricote-lui-son-hepburn.html

    Je ne suis que la messagère... Mais il semble que vous avez, cher Alain, une tricoteuse masquée qui partage vos goûts...

  • e2l 4 juin 2012 à 08:31
    Le plus frappant dans cette photo des ministres, c'est qu'il n'y a aucune ombre. Alors qu'elles sont très marquées sur celles de Ueda.

    Superbes photos de Weston.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 3 juin 2012 à 18:53
    La photo des ministres m'évoque un peu les bourgeois de Calais de Rodin, car j'ai mauvais esprit.

  • poisson 3 juin 2012 à 18:50
    sable

  • Yanne 3 juin 2012 à 18:32
    Très jolie chronique

    Qui dit que nous avons arpenté notre chemin de Damas, passé la quête initiatique, la grande épreuve qui nous a rendus forts et adultes.

    Que plus jamais nous ne serons comme avant, que ce n'est pas du sable, c'est un autre chemin, sans sentiers balisés, et avec simplement l'horizon comme limite. Et qu'il existe même un autre monde au-delà.

  • Clementine 31 3 juin 2012 à 16:14
    " Breakfast at Tiffany's (Diamants sur canapé) de Blake Edwards. Sorti en 1961, avec la merveilleuse l'extraordinaire la formidable la merveilleuse l'extraordinaire Audrey Hepburn en vedette (oui j'ai dit deux fois "merveilleuse" et "extraordinaire" c'est fait exprès) "

    A l'aube et sur la musique de Moon River de Mancini, dans une 5ème Avenue vide, la sublime Audrey Hepburn, habillée par Monsieur Hubert de Givenchy, trottine dans un fourreau noir entravé dans le bas, vers les vitrines de Tiffany pour y regarder la seule chose qui la rassure. La beauté.

    Il y a quelques années j'avais plusieurs centaines de DVD dont j'ai réalisé que je ne les avais vu, pour la presque totalité, qu'une seule fois. Comme cela prenait en plus une place folle, je m'en suis donc séparée et je n'en ai gardé que trois dont ... bien sûr Breakfast at Tiffany's.

    Voir Audrey Hepburn, sous une immense capeline noire, appeler un taxi en sifflant avec ses doigts ou chanter Moon River assise au bord d'une fenêtre en levant à la fin vers nous ses extraordinaires yeux sont, entre autres, des moments dont je ne me suis jamais lassée.

    Et malgré ces innombrables visionnages, j'ai réalisé que ces presque trois minutes du début du film me donnent toujours le frisson.

    Merci du cadeau, Alain.

  • Anthropia 3 juin 2012 à 11:30
    Votre première photo m'a rappelé une photo de Cartier-Besson, où on voyait ladies et gentlemen sortir d'un spectacle, avec cette même grande distance entre eux, leur "body space" ayant besoin de ces mètres entre eux pour exprimer la distance qui existe entre les gens dans ces cultures, au contraire des cultures latines où les gens sont à la colle.

    http://anthropia.blogg.org

  • poisson 2 juin 2012 à 21:19
    Les petits cailloux de l'Élysée vont devenir du sable?
    Vous avez remarqué que parfois il y a des arbres pointus,
    http://guybirenbaum.com/wp-content/uploads/2012/05/elysee.jpg
    et parfois des arbres ronds?
    http://www.impots-utiles.com/impots-utiles-fiscalite-economie-images/depenses%20elysee%20budget.jpg
    (Question perspective, elles sont bizarres les 2 cheminées, et puis on dirait des crucifix sans christ les fenêtres.)

    Ça m'a fait penser aux photos de Justine Brabant vues d'en haut sur fond de sable.
    http://senegal.blogs.liberation.fr/portraits/2010/02/vus-den-haut.html

  • sgd (bientôt disponible ) 2 juin 2012 à 15:33
    Elle voulut aller sur les bords de la mer,
    Et comme un vent bénin soufflait une embellie,
    Nous nous prêtâmes tous à sa belle folie,
    Et nous voilà marchant par le chemin amer.
    Le soleil luisait haut dans le ciel calme et lisse,
    Et dans ses cheveux blonds c'étaient des rayons d'or,
    Si bien que nous suivions son pas plus calme encor
    Que le déroulement des vagues, ô délice !
    Des oiseaux blancs volaient alentour mollement
    Et des voiles au loin s'inclinaient toutes blanches.
    Parfois de grands varechs filaient en longues branches,
    Nos pieds glissaient d'un pur et large mouvement.
    Elle se retourna, doucement inquiète
    De ne nous croire pas pleinement rassurés,
    Mais nous voyant joyeux d'être ses préférés,
    Elle reprit sa route et portait haut la tête.

    Verlaine

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 2 juin 2012 à 15:20
    Voilà des ministres qui moins d'un mois après leur entrée en fonction ont déjà produit une oeuvre d'art. Et on dira que la droite et la gauche c'est pareil.


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