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  • Compunet 17 juin 2013 à 21:24
    alors à la question : la pluie mouille-t-elle ? ben ggrhumpfff j'en sais trop rien.....
    par contre je sais pourquoi le ciel est bleu : c'est l'atmosphère qui filtre les rayons du soleil, atmosphère, atmosphère est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère....

    chronique très instructive, j'ai bien aimé, merci m'sieur Korkos.... on apprend toujours plein de trucs sur la pluie, le ciel, toussa quoi ! j'adore !
    et d'ailleurs, appris dans la chronique, c'est qu'au cours de son évolution, l'humanité a connu un énorme changement depuis le théâtre élisabéthain, : les gueux sont passés du parterre au poulailler !..

    nb : à la question sur l'art, ben perso, depuis que j'ai vu Mary Poppins je suis convaincue que l'art aide à vivre puisqu'il nous permet de sauter à pieds joints dans un monde dessiné à la craie et toc !...

  • e2l 16 juin 2013 à 21:12
    `merci pour cette découverte de Hocks.

    S'il y en a qui mettent la tête dans le tableau, il y en a qui l'en sortent. Voir Pere Borrell del Caso, espagnol, 2e moitié du 19e s.

    http://img.over-blog.com/500x621/0/41/70/57/trompe-l--oeil/Trompe-l-oeil-boy.jpg

  • Irfan 16 juin 2013 à 15:33
    Jolie chronique, on met du temps à la lire mais ça vaut ce temps :-).
    La galerie de colonnes du Palais Spada à Rome est un exemple vraiment étonnant et intéressant, que j'ignorais totalement, merci ! Je vais chercher un peu les modalités de la commande, les raisons de la mise en scène, mais si quelqu'un connait le contexte, cela m'intéresse.

  • alain-b 15 juin 2013 à 18:14
    Bien belle chronique, tiens ça me fait penser au copain Didier qui m'avait parlé d'une fille qui préfère des chaussures à un Magritte...

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 15 juin 2013 à 16:56
    Korkos s'est décarcassé, une fois de plus. ( oui, je sais...)

  • Florence Arié 15 juin 2013 à 14:30
    Alors il faut imaginer l'effet de ce vers, avec un vrai noble apparaissant sur scène comme encadré:
    The play's the thing
    Wherein I'll catch the conscience of the King
    (Ce spectacle sera le traquenard où prendre la conscience du roi)

    et pour la scène-monde, toujours Hamlet:
    I could be bounded in a nutshell and count myself a king of infinite space, were it not that I have bad dreams.
    (Confiné dans une coque de noix, encore m'y sentirais-je roi des espaces, n'était que j'ai de mauvais rêves.)

    (traduction Gide)

  • tchd 15 juin 2013 à 14:02
    Il serait intéressant de remonter l'histoire de cette erreur de traduction et de son succès planétaire. On voit cette "fenêtre ouverte sur le monde" déclinée à toutes les sauces ( aigre-douces ). Comment a-t-on pu traduire "l'histoire représentée pourra être considérée" par "le monde" ???? Si l'on considére que ce qui caracterise ledit "monde" est d'être mathématisé, ne faut-il y voir une préfiguration de l'imposture galiléene "le livre de la nature est écrit en langage mathématique" ?

    Saint Hermès Trsimegiste, priez pour nous.

  • poisson 15 juin 2013 à 13:49
    Je remarque que vous n'avez pas répondu à la question.
    Si, la question de à quoi ça sert l'Art, c'était quand même pas la mer à boire. Car si même philo-magazine se le demande, alors que d'aucun philosophes ayant pignons sur rues ont plus ou moins dit que par nature c'était inutile globalement, l'Art, c'est que on a maintenant toutes les données et que vous n'avez pas le niveau ou vous n'avez pas été capable de vous renseigner correctement sur l'utilité de l'Art pour guérir ou quoi par exemple, épicétou. Voilà, je sais pas, oui certainement, j'ai dû manger un truc, mais je suis fière de donner le ton qui sied à ce forum, une fois n'est pas coutume, pourquoi moi que je ratatinerai point Alain Korkos, comme si c'était une petite fourmi, avec mon talon aiguille, euh arrête de bouger steuplé, profite pas que j'ai mangé un truc pour me faire rater, proportionnellement la fourmi elle est grosse par rapport au talon, mais en vrai c'est le talon qui est trop petit en version aiguille, à propos vos histoire de perspective c'est pas clair, ça colle pas du tout avec ma notion des proportions.
    Je tiens à dire aussi que j'ai bien aime l'œuvre qui s'appelle "sans titre" de Teun Hocks.

  • sgd (bientôt disponible ) 15 juin 2013 à 13:41
    Pièce à grand Spectacle

    L’ami sans cœur ou le théâtre
    Adieu
    Celui qui est trop gai
    c’est-à-dire trop rouge
    pour vivre loin du feu des rampes
    De la salle
    ficelles pendantes
    Des coulisses
    on ne voit qu’un nuage doré
    machine volante
    Le Régisseur croyait à l’amour d’André
    Les trois coups
    L’oiseau s’envole
    On avait oublié de planter le décor
    Tintamarre
    Le pantin verse des larmes de bois
    Pour Prendre Congé

    LOUIS ARAGON *

    *Il revient saluer.

  • Yanne 15 juin 2013 à 13:17
    Percutant ! Bravo !
    Aussi beau pour le cerveau que pour l'œil !


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