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  • Poncet 29 mai 2015 à 10:29
    Dommage de ne pas avoir évoqué l'éléphant du Royal de Luxe. Parce que le goût pour l'esthétique de l'éléphant ne semble pas disparaître. Et celui-là est très chouette, pour de vrai.

  • Alain Korkos 27 avril 2014 à 23:59

    A TOUS


    Vous avez tous, dans le bled où vous habitez ou dans celui où vous allez en vacances ou dans celui où vous êtes né, une sculpture de tortue, de lézard, de canari ou de coccinelle dont je n'ai pas parlé dans la chronique.
    J'en suis très désolé, mais c'est la vie.
    Et la vie est dure.
    Pour sûr, ouaipe, la vie est dure.

  • smaksing 27 avril 2014 à 13:32
    Merci, comme toujours, pour cette chronique.
    Mais Alain, je suis étonné que vous n'évoquiez pas ça...
    Hé oui, un éléphant se balade au coeur de Nantes depuis 2007!

  • Asinaute sans pseudo caff4 27 avril 2014 à 12:36
    Toujours aussi génial ce Korkos !
    Merci !

  • philippe 93 27 avril 2014 à 10:43
    Merci pour la promenade

  • petit - saconnex 27 avril 2014 à 08:00
    Merci pour cette chronique. Lorsque j'étais adolescent et que je lisais " Les Misérables",je me demandais où pouvait bien se trouver cet éléphant place de la Bastille .

  • SCHOTT Xavier 27 avril 2014 à 04:15
    Juste pour allier ce billet à l'actualité, jetez un coup d'oeil par ici, cette maison des chimères est située juste en face des bâtiments de la présidence à Kiev.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Maison_aux_Chim%C3%A8res

  • poisson 27 avril 2014 à 00:02
    Il y a un parti-pris anti-poisson, ou c'est moi?
    http://www.pariscotejardin.fr/wp-content/14012012-P1420536.jpg

    À Paris il y un renard et un corbeau sculptés.
    Une statue de La Fontaine of course.
    D'après les plus grands experts, le fromage pourrait être attribué à Ahae.. Quand on ne sait pas dessiner un mouton, on fait la caisse, quand on ne sait pas sculpter un fromage, pareil, on fait la boite.
    ( http://paris1900.lartnouveau.com/paris16/jardins/jardin_du_ranelagh/statues/stat_la_font7.htm )

    Ça m'intrigue cette histoire d'araignée... C'est quelqu'un qui voulait se moquer du proprio, de son style poussiéreux?

  • Oblivion 26 avril 2014 à 23:29
    Ça donne envie d’aller regarder les vrais animaux sauvages de Paris.

    Oui, alors, d’accord, ses photos sont moins belles que celles du milliardaire Ahae, mais c’est supportable.

  • syrreau 26 avril 2014 à 23:19
    Je me permets, sgd, il fut un temps ou je le connaissais par coeur.

    Les éléphants de Leconte de Lisle

    Le sable rouge est comme une mer sans limite,
    Et qui flambe, muette, affaissée en son lit.
    Une ondulation immobile remplit
    L'horizon aux vapeurs de cuivre où l'homme habite.

    Nulle vie et nul bruit. Tous les lions repus
    Dorment au fond de l'antre éloigné de cent lieues,
    Et la girafe boit dans les fontaines bleues,
    Là-bas, sous les dattiers des panthères connus.

    Pas un oiseau ne passe en fouettant de son aile
    L'air épais, où circule un immense soleil.
    Parfois quelque boa, chauffé dans son sommeil,
    Fait onduler son dos dont l'écaille étincelle.

    Tel l'espace enflammé brûle sous les cieux clairs.
    Mais, tandis que tout dort aux mornes solitudes,
    Lés éléphants rugueux, voyageurs lents et rudes
    Vont au pays natal à travers les déserts.

    D'un point de l'horizon, comme des masses brunes,
    Ils viennent, soulevant la poussière, et l'on voit,
    Pour ne point dévier du chemin le plus droit,
    Sous leur pied large et sûr crouler au loin les dunes.

    Celui qui tient la tête est un vieux chef. Son corps
    Est gercé comme un tronc que le temps ronge et mine
    Sa tête est comme un roc, et l'arc de son échine
    Se voûte puissamment à ses moindres efforts.

    Sans ralentir jamais et sans hâter sa marche,
    Il guide au but certain ses compagnons poudreux ;
    Et, creusant par derrière un sillon sablonneux,
    Les pèlerins massifs suivent leur patriarche.

    L'oreille en éventail, la trompe entre les dents,
    Ils cheminent, l'oeil clos. Leur ventre bat et fume,
    Et leur sueur dans l'air embrasé monte en brume ;
    Et bourdonnent autour mille insectes ardents.

    Mais qu'importent la soif et la mouche vorace,
    Et le soleil cuisant leur dos noir et plissé ?
    Ils rêvent en marchant du pays délaissé,
    Des forêts de figuiers où s'abrita leur race.

    Ils reverront le fleuve échappé des grands monts,
    Où nage en mugissant l'hippopotame énorme,
    Où, blanchis par la Lune et projetant leur forme,
    Ils descendaient pour boire en écrasant les joncs.

    Aussi, pleins de courage et de lenteur, ils passent
    Comme une ligne noire, au sable illimité ;
    Et le désert reprend son immobilité
    Quand les lourds voyageurs à l'horizon s'effacent.

  • Yanne 26 avril 2014 à 21:39
    Un peu de germanophobie en ces temps de pré campagne des européennes
    Les loups sont entrés dans Paris

  • Robert· 26 avril 2014 à 21:28
    Il m'a encore bluffé !

  • alain-b 26 avril 2014 à 19:19
    ainsi qu'un taureau désormais installé à Nîmes
    et qui avait au départ été exposé dans les années 30 dans plusieurs endroits de la ville avant d'être érigé sur une colonne dans un square et accueille aujourd'hui à ses pieds les élèves [s]fumeurs de pétards[/s] du lycée Camargue situé juste en face.
    Allez, un petit Jaguar.

  • sgd (bientôt disponible ) 26 avril 2014 à 19:16
    Éléphant de Paris

    Ah, Curnonsky, non plus que l’aube,
    N’était bien rigolo
    Il regardait le fil de l’eau.
    C’était avant les Taube.

    Et moi j’apercevais - pourtant
    Qu’on fût loin de Cythère -
    Un objet singulier. Mystère :
    C’est un éléphant.

    Notre maison étant tout proche,
    On le prit avec nous.
    Il mettait, pour chercher des sous
    Sa trompe dans ma poche.

    Hélas, rue-de-Villersexel,
    La porte était trop basse.
    On a beau dire que tout passe
    Non - ni le riche au Ciel.

    Paul-Jean Toulet, Contrerimes

  • Pierre38330 26 avril 2014 à 18:33
    Merci.
    Cette ménagerie me rappelle...celle dont on parle aux infos tous les soirs.

    A propos, j'ai mal regardé ou il n'ya pas "les quatre sans cul" de la fontaine des éléphants à Chambéry ?

    Chu pas savoyard, mais je me soigne.


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