ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Yanne 17 février 2013 à 14:10
    La com des cathos a quand même super bien marché : deux gros revers, le mariage gay en France et en GB cachés par cette annoncé de l'ami Benoït.
    Puissamment médiatisé, mais ça ne fait que souligner l'énorme machine qui cache une forêt de reculs partout dans le monde.

  • Compunet 17 février 2013 à 10:45
    Vatican : Coup de Tonnerre dans un ciel serein!
    c'est ainsi que Freud définissait l'adolescence !.....

    alors quid ?!...

    concernant l'inconscient vaticanesque émetteur de cette phrase, peut-on supputer que nos vieux schnocks décatis ont enfin décidé de sortir de l'enfance ?!
    c'est-à-dire d'arrêter de se déguiser, d'en finir avec les histoires de conception sans coït, et de ne plus s'amuser à faire sortir par leur cheminée des fumées noires ou blanches selon l'herbe utilisée ?!......
    ou bien leur inconscient émetteur, à travers le passage à l'acte papal qui n'en pouvait plus des révélations non plus divines mais journalistiques, nous signifie t il qu'ils en ont tous fini défintivement avec l'enfance, qu'ils ne coucheront plus qu'avec des adultes, et que dorénavant leur argent de poche ne viendra plus de leurs accointances avec la mafia sicilienne ou de la spoliation des biens de pauvres hères crédules...

    mais trêve d'inconscient, perso je pense que la goutte d'eau qui a fait déborder le vase papal, c'est de voir sur tous les écrans une Frigide Barjot, reine du grand écart, venir défendre Vatican 2 !...

    par Thor, merci pour cette chronique très éclairante sur la coup[s]e au b[/s]ole papale !...

  • Oblivion 17 février 2013 à 08:06
    J'y vois un peu du Francis Bacon.

  • djinneo 16 février 2013 à 23:28
    Photographer Bill Gekas of Melbourne, Australia has been creating portraits of his young daughter in the style of master European painters of old.
    http://www.petapixel.com/2013/02/15/portraits-of-a-daughter-in-the-style-of-old-master-paintings/

  • No one 16 février 2013 à 19:30
    Super chronique !

    Le tableau de Le Corrège notamment est assez génial, très moderne dans sa vision je trouve.

    Sinon, concernant l'éclair du Vatican, faut quand même avouer que le hasard est parfois étonnant.

    Si jamais les statues de la basilique Saint-Pierre se mettent à bouger, je vais finir par me poser des questions quand même... :-))

  • alain-b 16 février 2013 à 18:24
    Sur la route du tonnerre, il y a des étincelles et un éclair solitaire.

  • Al Ceste 16 février 2013 à 16:38
    Dans "Le fil qui chante", le Grand Esprit sonne un coup pour oui, deux pour non.

    Doit-on en déduire que Dieu est soulagé que le papa-immobile prenne sa retraite ?

    (Patapé, Poisson !)

  • Bruanne 16 février 2013 à 16:34
    Chouette chronique !
    Est-ce que quelqu'un sait pourquoi les éclairs au chocolat s'appellent des éclairs ?

  • Julot Iglésias 16 février 2013 à 16:04
    Dans son film d'animation Fantasia, Walt Disney met en scène un Jupiter facétieux qui samuse à balancer des éclairs sur la terre. C'est son fils Vulcain qui lui fournit les éclairs (et Ludwig Van Beethoven lui fournit la musique).
    Sur ce clip de Youtube, ça commence vers 3mn30.

  • Mon Nombril 16 février 2013 à 14:33
    « Ici BUZZ LIGHTYEAR. Je suis posté au Quadrant Gamma du secteur 4. En tant que membre de la Brigade d'Élite des PATROUILLEURS DE L'ESPACE, affectée à la protection de l'univers, je protège la galaxie du risque d'invasion du Méchant Empereur Zurg, l'ennemi juré de l'Alliance galactique. »
    et faut pas m'faire chier !

  • sgd (bientôt disponible ) 16 février 2013 à 14:18
    L’autre nuit, je veillais dans mon lit sans lumière,
    Et la verve en mon sein à flots silencieux
    S’amassait, quand soudain, frappant du pied les cieux,
    L’éclair, comme un coursier à la pâle crinière,

    Passa ; la foudre en char retentissait derrière,
    Et la terre tremblait sous les divins essieux ;
    Et tous les animaux, d’effroi religieux
    Saisis, restaient chacun tapis dans leur tanière.

    Mais moi, mon âme en feu s’allumait à l’éclair ;
    Tout mon sein bouillonnait, et chaque coup dans l’air
    À mon front trop chargé déchirait un nuage.

    J’étais dans ce concert un sublime instrument ;
    Homme, je me sentais plus grand qu’un élément,
    Et Dieu parlait en moi plus haut que dans l’orage.

    Charles SAINTE-BEUVE

  • Ervé 16 février 2013 à 13:03
    Entre Jupiter et Io, c'était l'amour vache.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 16 février 2013 à 12:58
    Chronique fulgurante, à laquelle ne manque que Mimolette au Mali.


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.