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  • Faab 15 janvier 2014 à 03:01
    Petits chipotages sur Selvinski et son bouquin :
    - a priori, on écrit "Selvinski" dans la transcription française du nom russe, avec un "i" à la fin (les grands britons écrivent avec les "y", Ilya Selvinsky),
    - le bouquin que vous présentez, "Notes d'un poète" (Zapiski poeta), serait en fait un roman poétique avec des éléments autobiographiques plutôt qu'une autobiographie ou un recueil de poèmes, et il aurait été publié en 1927 plutôt que 1928 (cf une encyclopédie en ligne russe).

    En fait, j'ai vérifié parce que je me demandais pourquoi utiliser le portrait de Arp pour une autobiographie et pourquoi il y avait le nom "Evgueni Nieï" écrit sur le col de Arp : en fait, c'est le nom du héros du roman.
    Le dédoublement apparaît d'autant plus pertinent pour exprimer le rapport auteur/personnage.

    Tant que j'y suis, vu l'actualité dieudonnesque : Ilia Selvinski a été un des premiers en URSS à rendre compte de massacres nazis ciblant les juifs avec la découverte d'un massacre près de Kerch en Crimée, en 1942. Pour ceux que ça intéresserait : le témoignage d'un ancien combattant.

  • asinus erectus 14 janvier 2014 à 17:34
    Concurrence interne chez @si ? http://www.arretsurimages.net/breves/2014-01-14/Gayet-Hollande-Channel-4-et-le-melodrame-a-la-francaise-id16710

  • joelle lanteri 12 janvier 2014 à 13:34
    c'est le mot herberger que je retiens il me plait il est trés utilisé dans le réseau internet car il correspond à un espace où l'autre peut exister et continuer à émettre des messages quand dans son environnement le plus proche il est menacé de disparition.

    herberger voici le mot du xxI siécle .

  • alain-b 12 janvier 2014 à 09:45
    Un petit maquillage ?

  • tchd 11 janvier 2014 à 22:35
    Merci de nous avoir épargné la chronique sur la querelle des quenelles.

  • sgd (bientôt disponible ) 11 janvier 2014 à 19:06
    Quiconque voit son double en face doit mourir

    Échéance du drame au voyant solitaire
    Miroir un œil regarde un œil qui le regarde
    Offert et renoncé pur don et dur refus
    D’étrangère qui n’en peut plus qui n’en peut plus
    Donatrice abreuvée aux sources des insultes

    Hantise du reflet glacial ombre vaine
    De ce double avéré plus soi-même que soi
    Simulacre nié de menteuse lumière
    Perdue aux ondes d’ombre aux sombres eaux de mort

    Miracle du regard regardant l’œil qui darde
    Un inverse regard vigilant assassin
    Provocateur
    Assassinat se dit suicide au jeu mortel

    Immortelle qui passe à travers le miroir
    Pupille que contracte un acte pur détruire
    C’est l’étoile-fantôme à l’âme de feu noir
    Le point nul en son propre intérieur vibrant

    L’œil dévorera l’œil au point nul éternel

    Roger Gilbert-Lecomte

  • Oblivion 11 janvier 2014 à 17:11
    Merki !

    Au rayon disque, nous avons Double - Devils Ball en 1987, avec Michal Urbaniak au violon.

  • Robert· 11 janvier 2014 à 17:02
    Roland Topor s'est aussi essayé au double portrait.
    Belle chronique.

  • poisson 11 janvier 2014 à 15:58
    Merci. Pour l'article, pour la découverte des trefrons, pour ce forum pour moi toute seule alors que j'ai attendu un peu.., pour ce petit bol d'oxygène, on étouffe, vite on ballonne, on ballonne, le pouls est revenu.

    Sur Causette une image qui montre l'aspect intrusif de l'empathie. C'est à dire sa face négative (en mode non-dit).
    Pour conclure que le manque d'empathie chez une personne est quasiment la preuve d'une pensée rétrécie et un marqueur éventuel de son danger potentiel envers les autres. C'est à dire la face positive de l'empathie, qui serait gage de bien-traitance.
    On est souvent victime du fait que le fonctionnement du cerveau est étudié depuis mathusalem par le biais des maladies mentales. Les pauvres médecins essaient d'objectiver la folie, de trouver des marqueurs observables. Défaut d'empathie, mais aussi sachons-le, jeux de mots et goût des néologismes, etc.
    Ça ne m'arrange pas personnellement :-) pour les jeux de mots et néologismes de croire qu'ils sont de mauvais présages pour l'équilibre mental. Donc je refuse de gober que le manque d'empathie, sans préciser à quelle occasion et envers qui, serait un signe de reconnaissance du nuisible de service. Tout dépend du contexte.

  • Animal Collective 11 janvier 2014 à 15:34
    Chronique très intéressante, œuvres magnifiques.


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