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Mehdi A.
" peuple amerlocain "
" Étazunis "
" zimages "
Norman Rockwell ? " Peinturlures " !
Décidément, et quitte à me faire brocarder, insupportable plume. Ça fait juste du bien de le dire. -
pompastel
Tiens, Alain, mille excuses, rien à voir avec cet article, mais quand vous serez en panne d'idées - on ne sait jamais - , j'ai (encore) passé une commande par ici :-)
http://www.arretsurimages.net/forum/read.php?5,1243947,1249655#msg-1249655
(Je n'ai rien trouvé par le moteur de recherche, mais comme je n'ai aucune confiance en ma débrouillardise sur ce coup-là ... J'ai même tapé "Tardi" à tout hasard, "le cri du peuple" aussi, mais bredouille :-) ) -
alexandra despuech
Je n'ai pas lu tous les commentaires ci-dessus, et peut-être quelqu'un en a-t-il déjà fait la remarque, mais ne serait-il pas plus juste de parler, à propos des Four Freedoms de Norman Rockwell, de patriotisme plutôt que de nationalisme ? La confusion entre les deux me praît un peu fâcheuse… -
Ervé
Les scènes dessinées par Pierre Tabary et les légendes les accompagnant, contiennent cette touche d'humour et de dérision qui les rendent tout à fait réjouissantes.
Le premier degré du mormon* McNaughton, illustré par ces personnages représentant quelques unes de ses plus nauséabondes obsessions, est au contraire assez terrifiant.
L'Amérique réac du Tea Party dans son expression la plus gerbante.
Il ne manque plus que le gâteux Clint Eastwood s'adressant à sa chaise vide, pour compléter le tableau de "l'Obamanation"
*Il y a deux ans, suite à un changement de voiture de location, je m'étais retrouvé par hasard dans le centre de Salt Lake City. Un quartier défiguré par les constructions monumentales du siège et de la basilique de la secte. C'était une journée portes ouvertes, et j'ai donc eu la chance (?) de participer à une visite guidée des immenses salles contenant toutes leurs archives.
Découverte impressionnante, mais ce qui me reste le plus fidèlement en mémoire, c'est la vision d'un petit film à la gloire du père fondateur Joseph Smith. Un document de propagande dégoulinant de bons sentiments. Une cinquantaine de spectateurs étaient présents, tous subjugués par la présentation de la vie édifiante du saint homme, des larmes coulant sur les joues des plus sensibles et fervents d'entre eux.
Une frange de l'Amérique qui n'oubliera pas de voter en novembre prochain pour qu'un des leurs accède à la fonction suprême. -
Florence Arié
Fils du diable? Le débat est relancé: Romney a lancé une rumeur - fausse - comme quoi Obama voudrait faire supprimer la mention "under God" du serment d'allégeance au drapeau:
http://www.nytimes.com/2012/09/09/us/politics/romney-uses-pledge-of-allegiance-to-criticize-obama.html?_r=1&ref=politics -
boy meet girl
"Le pékin ordinaire, comptable de Palavas..." hum ...je sens un fond moqueur sur le comptable de Palavas.
Moi, il y a des jours où je prefererai boire l'apéro avec "le pekin ordinaire de Palavas " que je connais bien, que de vivre à Annecy, au beau milieu de Sarkozystes pretentieux et reac !!! alors pourquoi pas " le pekin ordinaire, comptable à Annecy "
Bref, Alain, j adore lire vos chroniques toujours aussi passionnantes.
Bonne continuation
nathalie -
Gilles Delouse
Les fresques de Peter Glay sont assez géniales.
Monsieur Alain Korkos, est-ce que vous en auriez d'autres à nous mettre sous la dent, pour nous autres pauvres jeunes n'ayant pas eu l'heur de lire Pilote chaque semaine ? -
Mlemaudit
Merci pour le passage sur Tabary ( le frère de l'autre) j'ai quelques souvenirs de ces peintures dans le journal Pilote mais j'ignorais qu'elles étaient réalisé par le frangin du créateur de Grabadu et Gabaliouchtou. -
Aline Marchetto
Comme le disait un conquérant de l'ouest américain le "cow-boy prends la terre aux autres avec la bible dans la main droite et le fusil dans la main gauche".
Ce pays a plus d'églises que d'écoles ou d'hôpitaux. Obama est le pur produit d'une école pour WASP et une carte maitresse à jouer en cas de crise. Faire croire qu'un "basané" (sous entendu un homme du peuple et d'un peuple qui a souffert !) va changer la situation du peuple américain, est un truc bien joué pour avoir le bon peuple.
Mais quand on voit d'ou il sort vraiment, son CV et son obssession naturelle de jurer sur la "Holly Bible" on ne peux se voiler la face. Bien joué car il n'a jamais tenu aucune promesse et en remet une couche. Il finit le travail de Bush car autour de lui l'équipe NSA, CIA, NED et autres think-thank néo-conservateurs sont toujours là.
Joe Biden, Zbigniew Brzezinski le fossoyeur de l'ex-Urss, et de bien de coups d'états un peu partout dans le monde amérique latine comprise qui a fournit en arme les talibans et Ben laden est là depuis 40 ans il a fait presque tous les présidents. Tous les hommes et les éléments sont là pour le grand collapse.
Des bruits de botte du côté d'Israel qui se prépare à attaquer l'Iran avec un Obama qui fait semblant de ne pas "le" vouloir. Stratfor est un bon indicateur, pour savoir ce qui nous attends ...Hélas en France on en parle pas du tout mais en israel les gens sont inquiets et une pétition d'aviateurs contre les bombardements circule pour qu'ils ne le fassent pas ..On verra bien !
Lire son livre Futur prévu par un néo-con Zbigniew Brzezinski et la bande à Joe Biden
Obama n'a rien a proposé de toute façon il est inféodé à l'AIPAC et aux lobbies les plus puissants des States. Donc je dirais un "visage de dieu avec le diable à l'intérieur " Ou autrement dit par des militants NACCP ou Panthères noires un "bounty" : noir dehors mais "blanc correct dedans ou nègre de maison (Malcom X !)...
Rien de nouveau sous le soleil là ...ON prends les mêmes et on recommence et de toute façon "démocrates ou républicains" c'est "bonnet blanc ou blanc bonnet" comme la "pseudo-gauche" et la "droite" chez nous désormais. -
lemmy
C'est Charles Bronson qui a servi de modèle à Archie Cash de Malik et du regretté Brouyère ! -
sgd (bientôt disponible )
Méditons. Il est bon que l'esprit se repaisse
De ces spectacles-là. L'on n'était qu'une espèce
De perroquet ayant un grand nom pour perchoir,
Pauvre diable de prince, usant son habit noir,
Auquel mil huit cent quinze avait coupé les vivres.
On n'avait pas dix sous, on emprunte cinq livres.
Maintenant, remarquons l'échelle, s'il vous plaît.
De l'écu de cinq francs on s'élève au billet
Signé Garat ; bravo ! puis du billet de banque
On grimpe au million, rapide saltimbanque ;
Le million gobé fait mordre au milliard.
On arrive au lingot en partant du liard.
Puis carrosses, palais, bals, festins, opulence
On s'attable au pouvoir et l'on mange la France.
C'est ainsi qu'un filou devient homme d'état.
Qu'a-t-il fait ? Un délit ? Fi donc ! un attentat ;
Un grand acte, un massacre, un admirable crime
Auquel la haute cour prête serment. L'abîme
Se referme en poussant un grognement bourru.
La Révolution sous terre a disparu
En laissant derrière elle une senteur de soufre.
Romieu montre la trappe et dit : Voyez le gouffre !
Vivat Mascarillus ! roulement de tambours.
On tient sous le bâton parqués dans les faubourgs
Les ouvriers ainsi que des noirs dans leurs cases
Paris sur ses pavés voit neiger les ukases
La Seine devient glace autant que la Néva.
Quant au maître, il triomphe ; il se promène, va
De préfet en préfet, vole de maire en maire,
Orné du Deux-Décembre, du Dix-huit Brumaire,
Bombardé de bouquets, voituré dans des chars,
Laid, joyeux, salué par es chœurs de mouchards.
Puis il rentre empereur au Louvre, il parodie
Napoléon, il lit l'histoire, il étudie
L'honneur et la vertu dans Alexandre six ;
Il s'installe au palais du spectre Médicis ;
Il quitte par moments sa pourpre ou sa casaque,
Flâne autour du bassin en pantalon cosaque,
Et riant, et semant les miettes sur ses pas,
Donne aux poissons le pain que les proscrits n'ont pas.
La caserne l'adore, on le bénit au prône ;
L'Europe est sous ses pieds et tremble sous son trône ;
Il règne par la mitre et par le hausse-col.
Ce trône a trois degrés, parjure, meurtre et vol.
Ô Carrare ! ô Paros ! ô marbres pentéliques !
Ô tous les vieux héros des vieilles républiques !
Ô tous les dictateurs de l'empire latin !
Le moment est venu d'admirer le destin.
Voici qu'un nouveau dieu monte au fronton du temple.
Regarde, peuple, et toi, froide histoire, contemple.
Tandis que nous, martyrs du droit, nous expions,
Avec les Périclès, avec les Scipions,
Sur les frises où sont les victoires aptères,
Au milieu des césars trainés par des panthères,
Vêtus de pourpre et ceints du laurier souverain,
Parmi les aigles d'or et les louves d'airain,
Comme un astre apparaît parmi ses satellites,
Voici qu'à la hauteur des empereurs stylites,
Entre Auguste à l'œil calme et Trajan au front pur,
Resplendit, immobile en l'éternel azur,
Sur vous, ô panthéons, sur vous, ô propylées,
Robert Macaire avec ses bottes éculées !
Victor Hugo Les châtiments Jersey, le 31 janvier 1853. -
Florence Arié
BD je ne sais pas, mais que fait Charles Bronson torse nu dans un bidonville de l'avenue du Général de Gaulle? -
Strumfenberg ( Aloys von )
Magnifique harmonie d' Arrêt sur images ! Aux coups de projecteur répétés sur la télé-réalité répond cette méditation sur le Kitsch. Une oeuvre peut-elle être simultanément un chef-d'oeuvre et une croûte ? Tout n'est-il qu'une question de regard ? L'humour peut-il tout sauver ? ( à propos - c'est complètement hors-sujet- Je ne peut voir le mot " winchester" sans penser au seul génocide parfait, je veux dire achevé et inconnu, celui des aborigènes de Tasmanie au XIXème siècle )