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  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 20 janvier 2013 à 22:26

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • pablo 20 janvier 2013 à 18:01
    je ne sais pas pour quel commentaire critique voter, je penche pour les plus humouristiques... en effet ce serait bien drole ce bolher-gag, si il n'évacuait pas toutes les problematiques socio-politique que devrait poser la critique des médias.

    merci à Bruanne d'avoir regardé les liens en tout cas.

    le thème choisi pour exemple, parmi les thème qui ont prévalu à l'établissement de ses "types cognitifs" illustrent bien cette évacuation :
    Attitude face à la violence (là il tire la couverture moral à lui, se sentant egratiné par l'entreprise Fillod) :
    "Est-on scandalisé par la violence? La banalise-t-on? Préconise-t-on une attitude répressive, préventive?"

    de quelle violence parle t on ? la violence des hiérarchies sociales ? des monopoles d'argent ? la violence d'un licenciement ?
    la violence des formes de résistances à l'ordre établi ? la rage face à l'injustice ?

    a non a mon avis il parle de la méchante violence gratuite, et toute tentative de contextualisation de la violence m'aurait surement classée dans "banalisation de la violence" ... avec collard ? L'attaque, la défense, la violence morale, la violence physique, la violence de l'exclusion, tout se trouve mélanger dans un concept vaseux. et en faisant ça on presuppose bien entendu que la violence est chez les autres, dans la populasse, au pire chez les enfants, et que le seul lien de soi a la violence c'est une position dominante, infantilisante : serais-je maganime ou severe ?
    voilà ou on en arrive lorsqu'on a une croyance absolue dans les structures, dans les prédéfinitions biologiques. on ne peut plus expliquer les changements d'opinions politique (ah si il a changé de type cognitif.... mais est ce que ca va pouvoir rentrer dans la theorie psycho-evolutioniste....? oui il suffit de dire que son premier penchant politique etait l'expression de sa nature cognitive alors que le changement d'opinion est surement du à son environnement social. ou bien un peu de deux, ou bien on s'en fout on a raison il suffit d'ajuster la lecture des données au cadre ou l'inverse)

    M. Bohler vous êtes un manipulateur, vous abimez les idées, vous cassez la possibilité de la pensée, vous réduisez la vie à trois formules magiques saupoudrez de "social" juste pour pallier au manquement de vos théories foireuses.
    vous faites de l'analyse des médias "tete dans le guidon" incapable de déplacer le projecteur là ou ca pourrait faire mal aux violences sociales établies. (ce serait trop violent pour vous ?)

  • Bruanne 19 janvier 2013 à 23:04
    Je reproduis ici le texte qui introduit toutes les chroniques de Sébastien Bohler.

    Passe-temps favori : déjouer les ruses des messages médiatiques, pour profiter de la stupéfiante disponibilité de nos cerveaux. Rythme de la chronique: aléatoire

    Comme je l'ai signalé un grand nombre de fois, en utilisant la fonction " signaler une faute", et aussi sur les forums des chrnoiques de Sébastien Bohler, il y a dans cette phrase une virgule assassine.

    Passe-temps favori : déjouer les ruses des messages médiatiques pour profiter de la stupéfiante disponibilité de nos cerveaux = les médias profitent de la dispo de nos cerveaux.

    Passe-temps favori : déjouer les ruses des messages médiatiques, pour profiter de la stupéfiante disponibilité de nos cerveaux = Sébastien Bohler profite de la dispo de nos cerveaux.

    Voilà, tout le monde s'en fout, mais je continue à le dire ... il faudrait supprimer cette virgule.

  • bysonne 19 janvier 2013 à 19:41
    Et là je ne peux m'empêcher de penser que SB se marre avec nous, est-ce bien raisonnable ? Peut-être auriez-vous pu prendre un ou des exemples sur le rire un peu plus convaincants...Sébastien. Oui mais il y a obligation de coller à l'actualité .. zut c'est embêtant.

    Comme poisson, je pense que le rire n'est pas prémédité, alors oui on peut rire avec n'importe qui. N'empêche que, quelque part et c'est triste, je comprends cette journaliste. Tenez moi, par exemple, je riais en buvant mon thé en public, avec une raciste xénophobe pathologique, je ne sais plus à propos de quoi, un truc anodin, ça n'a pas manqué, j'ai eu des réflexions "tu ne vas devenir amie avec cette ... ", je zappe les noms d'oiseaux, par respect pour les oiseaux.

    Je n'ai jamais vu Collard rire. Rires sarcastiques. Hâââhâââ !

  • Bruanne 19 janvier 2013 à 17:43
    Quelle est la différence entre une clé à mollette et une orange ?
    Elles sont toutes les deux en mohair, sauf l'orange.


    Je raconte ça, parce que les rapprochements de Sébastien Bohler entre un sujet de départ et les études auxquelles ils se réfère ne me paraissent pas couler de source.

    N'ayant pas accès à l'étude de 1975 dans son intégralité ( car j ene souhaite pas payer 12 dollars pour l'avoir), je me contente de lire le résumé.
    Si je le comprends bien, il semble que les 204 personnes avaient de nombreux points de ressemblance dès le départ puisqu'ils étaient tous étudiants au même endroit.
    Collard et la journaliste n'appartiennent pas, dans le contexte de leur rire partagé, à un même groupe.

    De plus, lorsqu'on a regroupé des binômes pour l'expérience de 1975, après une première catégorisation, il y a eu des binômes d'hommes et des binômes de femmes, pas de binôme de sexes différents.
    Collard est un homme, la journaliste est une femme.

    Enfin, le but de la rencontre des binômes, dans l'expérience de 1975, était de raconter des blagues et des anecdotes dans le but de faire rire son interlocuteur.
    J'imagine mal que Collard soit sorti de chez lui en se disant qu'il allait ne raconter une bonne à une journaliste s'il en voyait une, et la journaliste, on le sait, avait pour but de réussir à obtenir un entretien.

    De là à penser que l'expérience de 1975 et la situation dont il est question n'ont pas grand chose en commun, y'a pas loin.
    Si le sujet de la chronique rencontrait l'étude de 1975, ils se marreraient pas facilement ensemble.

  • gondalah 19 janvier 2013 à 13:58
    Donc si je résume cette chronique, la journaliste a soit rigolé avec Collard parce qu'elle est raciste, soit parce que c'est une manipulatrice... Je me demande à ce propos quelle est la taille du compte en banque de Collard...
    Si un jour l'inestimable SB a une minute, il pourra éventuellement nous expliquer ce que sont des mécanisme cognitifs similaires...
    Et une carte pour nous montrer où se situe le rire, histoire qu'on comprenne bien de quel lobe on parle...
    Et de conclure que si fance 3 n'avait pas retiré cet extrait, il n'y aurait eu aucune question à se poser
    CQFD
    Passons au sujet suivant... je prédis la découverte du sens de la vie pour juin 2013

  • poisson 19 janvier 2013 à 12:04
    On n'a aucune maitrise de avec qui on rit.
    Le rire se fait de bon cœur ou sinon il ne vaut pas un clou. Donc la phrase de Desproges nous met dans une situation intenable. Je pense que c'est en connaissance de cause de sa part. Il s'amuse de nous, comme à d'autres occasions. Sous des dehors de l'aimer, je suis sûre qu'il y en a qui le détestent. enfin je dévie.

    C'est ce dont on rit qui fait que l'on rit avec des gens qui nous ressemblent.
    Par exemple Bigard a un sketch où il range des gens pour une photo de mariage. Ma grand-mère née en 1907 ne comprenait pas ce qu'il y avait de drôle. Elle était du côté des photographiés et la méchanceté lui sautait au visage. Moi non, il fallait que j'entre dans son point de vue pour comprendre qu'on riait malsain, que dans une vrai noce façon ma grand-mère d'après les histoires qu'elle me racontait, on ne se privait pas de se moquer sans indulgence pire que Bigard mais ouvertement, avec participation du moqué.
    Rire de la même chose prouve qu'on est des semblables, mais uniquement dans le cadre de ce dont on rit. Le rire en commun nous définit semblable si on rit de quelque chose qui est une différence commune, c'est un rire de distanciation, une moquerie qui exclus, un genre d'insulte.
    On sait qu'il existe à l'opposé un rire qui permet aux différences de communier (parce qu'on est sur le fil de l'infime similitude avec l'autre?), mais à l'instant où l'on rit, le discerner demande une retenue incompatible avec l'état prédisposant à rire. Desproges: je fais des efforts, mais je peux pas, c'est toujours après coup que je ravale mon rire. Comme la journaliste peut-être, quoi qu'on ne sache rien malheureusement de la qualité intrinsèque de son rire co-Collardien.

    on dirait une discussion du net, il y a un twitter dans le fond et un chien qui se donne de l'importance.

  • thoroddr 19 janvier 2013 à 11:02
    Je citerais Pierre Desproges dans son réquisitoire contre Mr Le Pen, souvent cité pour répondre à la question "Premièrement, peut-on rire de tout ?", cette question n'est donc que son premièrement (à laquelle il répond oui),

    "Deuxième question : peut-on rire avec tout le monde ?

    C'est dur… Personnellement, il m'arrive de renâcler à l'idée d'inciter mes zygomatiques à la tétanisation crispée. C'est quelquefois au-dessus de mes forces, dans certains environnements humains : la compagnie d'un stalinien pratiquant me met rarement en joie. Près d'un terroriste hystérique, je pouffe à peine et, la présence, à mes côtés, d'un militant d'extrême droite assombrit couramment la jovialité monacale de cette mine réjouie dont je déplore en passant, mesdames et messieurs les jurés, de vous imposer quotidiennement la présence inopportune au-dessus de la robe austère de la justice sous laquelle je ne vous raconte pas."

  • Ellis 18 janvier 2013 à 19:24
    ... et pourtant, je comprends les craintes de la journaliste : en son temps DS avait lui-même illustré une de ses chroniques matutinales par la capture d'écran d'un duplex tout sourire Delahousse/Marine Le Pen (Delahousse s'était trompé dans sa présentation, et, repris par Le Pen, il avait improvisé une pirouette en souriant), image symbole d'une connivence dénoncée, en écho à la fameuse photo de Sarkozy au milieu d'une nuée de journalistes hilares...

    J'avais écrit mon malaise devant ce procédé réducteur dans le forum de la chronique, DS m'avait répondu par un "le métier d'un présentateur, c'est de savoir que son sourire est un discours. Et donc, de choisir de tenir ce discours ou non". Alors, oui, si j'étais journaliste, qui plus est rarement présente à l'antenne, je redouterais ce genre d'image qui donne à penser qu'un artifice journalistique banal est en réalité un signe extérieur de connivence...

    De là à exiger la censure de la séquence... il faut être bien naïf (et catastrophé) pour user de ces méthodes contre-productives au possible !

  • Malagom 18 janvier 2013 à 18:27
    On est loin d'Arlette claquant la bise à Nico premier, Copé et compagnie. Le vent tourne, bonne nouvelle.

  • Tab 18 janvier 2013 à 17:54
    Donc, si je comprends bien, la journaliste peut rigoler avec un « fasciste » mais craint sa rédaction/hiérarchie/le système/… (rayez la mention inutile) qui sont pourtant si démocratiques et bons, eux ?

    Juste pour avoir échangé un rire avec un elu ?
    Mais c’est le monde à l’envers ! :D

    Comme il est drôle de voir, depuis maintenant quelques années déjà, le système s’écrouler sous ses propres contradictions, de voir tous les choix des gens qui se prétendaient du « bien radikal », des « valeurs » et même du peuple (lol) révéler leur vrai nature autoritaire.

    Mais le top du top, la cerise sur le caca, c’est de voir les petites mains du système (celles qui partagent les valeurs du système en échange de quelques miettes et de l’espoir de manger un jour à la table des grands) chier dans leurs frocs car leurs maitres en déroute deviennent de plus en plus tyranniques.

    Car imaginez ! Cette journaliste a fait des pieds et des mains pour caviarder un plan de coupe de 2 secondes ou on la voit échanger un rire avec un élu ! Même un truc aussi insignifiant les fait faire dans leurs frocs !
    Dans quel genre de régime somme-nous ?

    « Moi je vois clairement la terreur dans les yeux des présentateurs et de leurs invités officiels. On ne peut y prononcer aucun mot scandaleux, en fait, on ne peut y prononcer aucun mot, d’une manière ou d’une autre, qui soit vrai ». Pasolini.

  • Msettimio 18 janvier 2013 à 17:50
    Les quelques fachos que j'ai croisé dans ma jeunesse étaient tous férus de culture gréco-latine, et biberonnaient aux humanités.
    Les discussions étaient souvent passionnantes: quoi de plus ,stimulant pour la réflexion que des goûts communs et des idées opposées ?

    Proust était très ami avec l'antidreyfusard Daudet., c'était le temps où l'on pouvait être bon père, bon époux, charmant camarade et antisémite.

    Pour la paix de son âme, il est mort avant 1933, Tristan Bernard n'a pas eu ce genre de chance.

  • consensus 39 18 janvier 2013 à 16:12
    Gilbert Collard est un homme humble, discret qui travaille parfois dans une belle émission qui permet aux faibles et opprimés de s'exprimer, les grandes gueules sur RMC, le fait qu'un journaliste de FRANCE 3 puisse être proche de lui montre qu'il a peut être envisager un tournant crypto bolchevique que je déplore car comme tout le monde le sait, le service public est un repère de gauchistes sous la coupe d'Elise Lucet et Michel Drucker

  • tchd 18 janvier 2013 à 15:28
    Bonne idée de relancer un forum. L'autre à 500 commentaires commençait à être dur à parcourir.

  • Pierre38330 18 janvier 2013 à 15:27
    C'est un peu compliqué.
    Par exemple, je me sens capable de rire ici avec poisson, alors que nous n'avons, d'un commun accord, à peu près rien à partager sinon le rire ensemble. En gros, son aquarium n'est pas le mien.
    Alors que [[large]si color=#FF0033]si on me montre[/color] [large][/large][/large][large][/large]en train de rire avec poisson, ou A (hello A !), Je vais monter sur ma deux chevaux et vous balancer une palanquée de noms d'oiseaux qu'existent même pas tellement c'est des noms d'oiseaux.
    C'est comme dans la rue. On vous voit en train de serrer la louche à un pauvre mec qui mendie sur le trottoir. On vous voit même lu donner à bouffer ou à boire. Tant que ceux que vous connaissez n'en savent rien, vous vous en foutez. Mais après, y a votre image, merde !
    Vous y pensez, à votre image ?
    ben... moi pas beaucoup.

  • pierre-olivier garcia 18 janvier 2013 à 14:49
    Appel à Manifestation : "Des sociologues, pas des psychologues !!!"

  • patrick naze 18 janvier 2013 à 14:32
    tout çà c'est du patratras médiatique, laissons à notre cervelet en faire plus ou moins bon usage, et n'éprouvons pas nos poumons à hurler pour de vaines querelles inutiles. Ressemblons à ce que nous sommes, c'est déjà pas mal si on y arrive tout seul, et de plus le rire n'est-il pas le propre de l'homme, n'ôte-t-il pas un bref instant tout soupçon de haine?

  • Compunet 18 janvier 2013 à 14:21
    cette journaliste est sans doute une adepte de la thérapie par le rire :
    C'est bon de rire parfois
    C'est bon de rire Ha Ha
    Même si on n'a pas envie
    C'est bon de rire Hi Hi


    cadeau...

  • ceci n'est pas un pseudo 18 janvier 2013 à 14:18
    s'inspirent de la dernière campagne électorale ?


    cette image.

  • poisson 18 janvier 2013 à 14:11
    Il y a un autre angle d'attaque le rire se partage! quand on est tellement différents, cognitivement & +, il n'y a qu'une chose qu'on peut tenter pour avoir un échange, à part se zigouiller. Antoine de Maximy rit souvent, avec n'importe qui!
    (Le bâillement se partage aussi.., tiens la finalité est peut-être la même, au lieu de se zigouiller on pique tous un roupillon.)

    La journaliste qui calcule de faire rire ou de rire pour mettre à l'aise son interlocuteur, je n'aime pas l'idée. La seule explication qu'on veut entendre, c'est de quoi rient-ils? De quelque chose qu'elle ne peut pas raconter? Pourquoi ne peut-elle pas le raconter pour tout simplement nous montrer que c'est sans malice? J'ai des hypothèses.


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