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Grégoire Samsa
Je crois qu'il ne faut pas oublier que Chantal Sébire a bien réfléchi avant de se décider à *utiliser* les médias. Elle a aussi utilisé la difformité de son visage pour que le monde entier sache, comprenne, et voie, enfin, la voie, cette souffrance horrible, et donc comprenne sa volonté de mourir. Elle a essayé de se libérer de cette souffrance inhumaine, et elle n'a pas été entendue. Mais elle a fait bouger les consciences. Ce débat en est un des reflets. -
Michèle MIALANE
Il me sembnle que le grand problème c'est que de quelque façon qu'on présente les choses, les médias servent TOUJOURS à occulter le fond du probème.
Les gens ne fonctionnent plus que dans l'émotionnel , alors qu'ils sont INCAPABLES D'EMPATHIE avec des cas aussi éloignés de leur vécu personnel.
Je me rends d'autant mieux compte que j'ignore tout de Chantal Sébire que je crains bien de ne rien ignorer d'un autre cas qui pour le moment ne fait pas la Une des médias, à savoir celui de Lydie je ne sais plus qui, meurtrière de sa fille handicapée et acquittée..
Dans un cas comme dans l'autre- et je pense que Chantal Sébire voulait faire avancer le dossier du suicide assisté- la personne prend le pas sur le problème, celui d'une médecine qui e sait plus gérer son propre pouvoir et celui dn rapport complètement perverti de notre société à la mort.
Ce qui ne serait vraiment pas vendeur , ce serait de poser le problème à chacun : comment vous positionnez-vous par rapport à voitre propre mort ? À celle d'un proche incurable ?Êtes-vous prêts, par exemple, à passer le reste de votre propre existence (et cela peut durer des décennies) , à soigner un incurable, ou à supporter votre propre destruction, plus ou moins lente, et dans ce cas, qu'est-ce qui vous est indispensable pour gérer une telle situation ? Et jusqu'où est-elle gérable ?
Questions tabou dans un monde où le divertissement, au sens pascaliien, est roi. Et qui amèneraient fatalement à avouer que personne n'a rien à dire tant qu'il ne s'est pas trouvé dans ce cas. Que le législateur devrait par conséquent reconnaître à ceux qui s'y trouvent une liberté de choix. Qui présente un risque tès lourd de dérive dans le premier cas, et doit donc être "encadrée" mais aucun dans le secnd et devrait donc être totale. Mais qui serait dans les deux avant tout le procès de la médecine, or les médecins sont intoiuchables. -
Renard
Mais où est le monstre ???, je ne le vois pas !!!!!!!. Je découvre une Dame avec un très fort caractère, un esprit intact, une envie de se battre, posant une question: est il humain de m'imposer de telles souffrances et là j'aperçois le MONSTRE !!!!! -
viviane Palumbo
je pense que ce problème ne peut nous concerner que si nous y sommes confronter. Je m'explique : la minsitre de la santé avait dit : que cette femme ne voulait pas mourir à cause de la souffrance mais à cause du fait qu'elle était "défigurée par la maladie !! et alors, je pense que l'on ne peut pas ressentir ce que Chantal ressentait, nous n'étions pas à "sa place" elle voulait mourir digne, que la maladie ne gagne pas !! c'est raté, puisqu'il y a eu une autopsie !! encore une agresion contre l'esprit de cette femme libre qui voulait décider de son sort. mais son combat n'est pas vain, elle est désormais immortelle pour nous et sa famille, même si nous retiendrons ce visage torturé, je ne vois que la petite photo d'elle avant, belle, sereine. pourvu que si un autre cas semblable, mais c'est rare, se reproduit, nous pourrrons légiférer ou trouver une solution médicale pour ces personnes qui nous donnent des leçons de courage inouïes !! merci Chantal et bonne route.
viviane Palumbo -
christine giraudo
le monstre c'est celui qui ose prononcer ce mot envers cette femme courageuse qui a lutte sa maladie et qui a demande de l'aide et qui a crie au secours pour partir dans la dignite avec sa famille autour d'elle et que lui a t'on repondu debrouille toi .Avez vous entendu les propos minables de madame bouttin un matin sur rmc .J'espere qu'elle aura le courage en toute discretion de s'excuser envers sa famille.On a ose lui faire une autopsie avec les souffrances qu'elle a endure .Elle est partie seule -
MHélène
Quand il faut se montrer pour tenter de se faire entendre !...
Tel était probablement le recours devenu nécessaire de Chantal Sébire et c'est bien triste qu'elle ait été obligé d'en arriver à devoir "s'exhiber". Quand je dis "s'exhiber" ce n'est nullement pour moins lui adresser un quelconque reproche en la matière. Elle a fait comme elle a pu avec le silence de la médecine devant son cas.
Concernant les images, suis-je voyeuse ? Je peux évidemment me poser la question car "j'ai regardé" son témoignage comme bien d'autres. Cependant je pense qu'il y a un écart entre croiser une personne présentant une grave atteinte de son corps dans un transport public et "voir" Chantal Sébire à la télévision. Dans ce second cas, ses paroles ont accompagnées l'image et cela fait une grande différence avec ceux que nous pouvons croiser dans le métro et qui sont porteur d'un lourd handicap. Pour le dire autrement, la parole permet la rencontre. Et cette femme en nous exposant ses souffrances nous a permis de la rencontrer elle, en tant qu'être humain à part entière. En ce sens je ne me suis pas sentis "voyeuse" mais humainement concernée. -
Ervé
Autre monstre dont la surprenante métamorphose est pudiquement passée sous silence par la plupart des présentateurs : le nouveau recordman du monde du 50m et du 100m nage libre, Alain Bernard.
Tout à sa joie de pulvériser des chronos et apparemment inconscient de sa difformité, le nouveau phénomène ne demandera pas, lui, a être euthanasié. -
Gritche
La situation de Mme Chantal SEBIRE, doit nous interroger sur plusieurs points. Le premier est bien la représentation que nous nous faisons du monde qui nous entoure. Qu'est-ce que la normalité. Est-ce elle que l'on nous sert chaque jour. Celle des images glacées des magasines, retouchées, la silouette famélique des manequins anorexiques pour lesquelles certains déclarent qu'en France il n'y a pas de problème alors que les pays voisins réagissent. Ou bien est ce que nous voyons dans notre quotidien avec une majorité de gens communs, qui nous ressemblent vraiment. Mme SEBIRE, fait partie du monde que nous partageons. Nombre d'entre nous cotoient les handicapés physiques ou mentaux. Chacun se débrouille comme il peut. Alors lorsque le visage de Chantal SEBIRE apparait à la télévision. il nous renvoie à notre quotidien. Ceux qui font du voyeurisme avec leurs larmes de crocodiles, ne n'est pas nous, mais ceux qui tentent chaque jour de nous imposer un théatre de carton pate. Distillant de vérités et assénant des idées toutes faites, commercialement interessantes. Le second point est de constater le décalage énorme qui existe entre les médias, les politiques, les lobbies médicaux et autres, et nous. Mme SEBIRE, n'a fait peur qu'à ceux qui ne veulent pas savoir, ne veulent prendre position. Mais nous, à plus de 90%, nous voulons que nos idées des gens du commun que nous sommes soient prises en considération. Les pitoyables tentatives justifications des politiques et l'hypochrisie de nombreux médecins dont la plus part n'a aucune pédagogie élélementaire face au patient qui porte bien son nom et qui doit subir les diktats de ceux qui savent de quoi ils parlent. om nous ne sommes pas des voyeurs. Nous découvrons s'il était besoin, une femme, calme, intelligente, déterminée et pleine de sagesse qui se montre telle qu'elle est physiquement et mentalement. Nosu devons soutenir son combat. Et obliger les politiques à nous écouter. -
SylvN
Lu dans Libé .fr aujourd'hui:
Le procureur de la République de Dijon :
Jean-Pierre Alacchi, a indiqué jeudi matin qu'en l'état actuel des investigations il n'y avait «pas d'éléments suffisants» pour déterminer les causes de la mort de Chantal Sébire, dont «[large]l'apparence externe du corps ne présentait pas de particularité[/large]»
Pas de particularité, pas de monstre ! -
Lou
J'encourage les bien-portants du forum à aller voir le film "Le scaphandre et le papillon" -
Jean-Marie Gogue
Les médias ont exploité cyniquement un triste fait divers à des fins mercantiles. Beaucoup de braves gens sont tombés dans le piège.
Le problème de l'euthanasie se pose quand une personne en fin de vie n'a pas les moyens physiques ou intellectuels de se suicider. On discute alors sur le droit qu'un tiers aurait de la supprimer pour abréger ses souffrances.
Le problème du suicide est tout autre. Chacun a évidemment le droit de se suicider, s'il est en règle avec sa conscience. C'est précisément le cas de madame Sébire. -
poisson
Why would i carry such a weight on my shoulders?
D'un cas particulier on devrait tirer une loi générale? Mais pour tout comme ça alors, c'est sûr? Je croyais qu'on était en plein dans les statistiques concluantes, par exemple 5000 morts par tabagisme passif, hop, une loi?
Et les pays du tiers monde? On va créer euthanaseurs du monde? -
Laurent bazin
Je ne suis pas sûr de partager votre point de vue Sébastien.
Exposer ce visage cela permet peut-être au contraire de conjurer le voyeurisme, de nous arracher à une sorte de terreur sacrée et aux clichés qu'on plaque sur tous les "pseudos-monstres".
Je suis toujours étonné de voir combien la difformité est absente dans la plupart de nos rues et de nos magazines. La moindre apparition de ces "monstres" apparaît dans ce contexte, comme une exhibition et une violence.
Certaines images, parce qu'elles ne "spectacularisent" pas la laideur, nous permettent de l'accepter. L'handicapé ici n'est plus un monstre, paré de vertus magiques, et terrifiantes. C'est un humain comme les autres, pleins de nuances, de contradictions. Il n'est plus écrasé par les mythes qu'on lui associe trop souvent.
Je comprends que vous ne vous sentiez pas voyeur, face à ses images parce qu'elles humanisent Chantal, et ne la réduisent pas à son seul visage. Il en va sans doute autrement quand le visage est présenté dans la presse à sensation, à seule fin de produire une émotion formatée, rigoureusement déssinée, vulgaire, et sans suprise.
Bref, pourquoi ne pas montrer plus souvent les gens ayant un handicap physique, si c'est pour les montrer mieux.
Je ne pense pas que la laideur soit un tabou qu'il faille protéger, au contraire, peut-être faut-il la rendre plus visible pour rappeler que l'humanité ne s'arrête pas à l'épiderme. -
henri buzzi
Comme il est dit plus haut :
LE MONSTRE N EST PLUS LA DAME
MAIS LA MALADIE QUI "LA RECOUVRE " oui !
Quant au reste "la télévision " est_elle un miroir ou non ? -
Madeleine SCHOTT
Fallait oser. Madeleine -
Moudi
J'ai l'impression encore une fois, mais c'est très fréquent sur ce site, que beaucoup de gens parlent du phénomène en lui-même, l'institutrice, la tumeur, le président, la loi, la mort, toussa toussa, oui, d'accord, mais oublient le principal. On voit que ça passe sur TF1, que c'est diffusé partout, que cette femme utilise les médias, qu'elle utilise sa difformité, qu'elle diffuse son message, toussa toussa, oui, d'accord, mais ce n'est pas encore ça. On voit que les spectateurs réagissent, on constate qu'on est tous des voyeurs, mais qu'on arrive à en parler, car le digne message de cette femme atteint son auditoire comme elle le voulait, toussa toussa, oui, d'accord, mais il manque quelque chose.
Sur ce site de méta-journalisme, n'ayons pas peur d'analyser l'analyseur... (à vous de m'analyser après si ça vous fait plaisir). Dans cet article, attardons-nous sur le titre : "Le monstre, le présentateur, et nous". N'est-ce pas éclairant ?
Je crois qu'il y a une illusion persistante, et particulièrement prégnante dans ce genre de cas "limite", dramatique et choquant, comme quoi on aurait un accès direct aux "faits", aux personnes, aux émotions. Je vois cette femme à la télé, et elle me parle. Je la vois, là, elle est libre, elle se bat, elle est courageuse, elle me parle de ses souffrances, et je vois sa douleur, je pourrais presque la toucher, et l'absorber, et la sentir dans mon corps. C'est une expérience éprouvante, tout le monde le dit ici.
Mais le médium est toujours là. C'est son rôle profond, d'être "au milieu", de faire écran entre l'extérieur et nous. Je pense que c'était le sens de cette disposition de trois termes en titre : nous ne pouvons pas toucher le monstre, il y a toujours un filtre entre lui et nous.
On peut le voir aussi comme un négociateur, un fin commercial : il nous présente le monstre, bien emballé comme il faut, mais qui sait ce qui s'est négocié derrière ? Est-ce Chantal Sébire qui a choisi le cadrage, qui a choisi les photos pour illustrer le reportage, qui a écrit le commentaire, qui a choisi la durée d'enregistrement, qui a monté le tout ? Mais non, c'est impossible, elle n'est pas journaliste. Et je ne veux pas dire qu'elle n'a pas les qualités ou le savoir-faire pour tout cela (qui sait), mais qu'elle n'a pas le droit de faire ça, on ne lui reconnaît pas ce domaine de compétences. ça, c'est un boulot qui est fait par un journaliste, et personne d'autre. Et surtout, elle fournit son image, mais son image ne lui appartient plus.
Les gens aiment le vrai, les histoires vraies, les vrais gens, les vrais drames. C'est comme ça que je le ressens, moi aussi. Cette femme raconte son histoire. Qu'elle utilise sa douleur pour passer un message politique, d'accord. Qu'elle utilise son visage pour remuer les tripes des gens, d'accord. Et quand je la vois, je crois que rien n'est plus fort à ce moment là que ce lien incroyable qui se tisse entre elle et moi. Et dire que c'est un monstre de foire, mon dieu ! Non ! Inadmissible ! Mais vous ne la voyez pas ? Vous ne sentez pas sa détresse ? Et moi, alors ? Vous ne voyez pas comme je me sens oppressé et triste de l'écouter ? Mon émotion, c'est pas de la vraie émotion ? Ben oui, il y a l'émotion de Chantal Sébire, et puis il y a la mienne d'émotion. Et j'ai l'impression que je suis en parfaite communion avec cette femme quand je la vois. J'ai mal pour elle, et c'est pas du cinéma.
Mais justement, à quel point suis-je aveuglé pour croire que j'ai de l'empathie pour cette inconnue ?? Comment moi, j'arrive à croire que cette femme me parle ?? A croire que la regarder, c'est participer à son action et donc l'aider, à croire que je ne suis plus voyeur de voir celle qui se montre ?? c'est ça la magie du journalisme ! C'est s'effacer pour mieux donner l'impression que l'on est reliés. TF1 est "présentateur", il me présente Mme Sébire et il me présente à Mme Sébire en même temps, en temps que spectateur anonyme et pseudo-interlocuteur, quand elle parle à la caméra. Elle aussi doit sentir qu'elle me parle, on a dû lui sortir ça avant qu'elle n'ouvre la bouche, pour qu'elle n'ait pas l'impression de soliloquer dans le vide. Et c'est le grand talent du jité de TF1, faire oublier qu'il existe. Contrôler l'ensemble, en habile marionnettiste condescendant, veiller sur nous de son regard bienveillant et humaniste, pendant que les bons sentiments pleuvent sur la ville. Et c'est là que j'essaie de reprendre le questionnement de Sébastien : oui, nous sommes aussi voyeurs qu'au temps des cirques de freaks, mais Barnum a changé sa redingote et son discours. Il nous déculpabilise complètement, nous sommes des voyeurs parfaits : invisibles et éthiques, cachés et empathiques.
Et je suis toujours seul devant mon écran, qui n'a jamais si bien porté son nom. Bien entretenu, discret puisque complètement transparent, l'écran évite soigneusement de me faire rentrer en contact avec ce qu'il daigne bien aimablement montrer à mon appétit de mateur boulimique et moral. -
Pierrot La Lune
"Seul problème, quand tout est montré, on finit par se demander s'il y a quelque chose qui « ne doit pas être vu »."
Votre article est en tout point intéressant.
Vous êtes-vous posé la question à propos de la chute des tours du WTC le 11 septembre? La controverse sur ce sujet qui s'exprime sur internet aussi fort qu'elle est tue dans les médias officiels vous a-t-elle inspiré une réflexion à ce sujet, une investigation? Que pensez-vous du livre de Jean Guisnel et Guillaume Dasquié, "l'effroyable mensonge"?
Merci et bonne continuation. -
Roland Lang
Tiens, cela aurait été intéressant d'essayer de faire sans... (la vidéo) - remarque de Sébastien.
donc pas de débat sur l’euthanasie à la télé, ni à la radio et pas de chronique @si
Il existe cependant des moments où nous pouvons penser l'avoir trouvée, cette limite du tabou. C'est quand ce sentiment de gêne (et non de dégoût) s'éveille en nous comme une voix intérieure qui nous dit : « Tu ne devrais pas voir ça ».
Vive les infos à la radio, il y a moins de « fait divers ». Autre avantage des infos à la radio : on peut faire autre chose en même temps : bricoler, cuisiner … -
Esther13
Monter le visage de Madame Sébire est en effet très ambigü car ça me fait penser qu'une autre personne souffrant le martyr autant ou plus qu'elle si c'est possible serait beaucoup moins crédible si ça ne se voyait pas physiquement? et si elle souhaitait mourir, sa demande serait moins légitime?
Quoi qu'il en soit, quelle que soit le degré de souffrance, (notion toute relative, le degré de souffrance étant proportionnelle à notre capacité à supporter cette souffrance), l'être humain a cela de différend avec l'animal qu'il peut décider de mettre fin à ses jours et je revendique pleinement ce pouvoir. Quand une personne décide qu'elle ne peut plus supporter de souffrir, qu'il vaut mieux mourir, elle doit pouvoir le faire en toute dignité. C'est à elle et elle seule de décider. C'est mon avis. -
Dr House
Faut-il tuer les monstres, c'est finalement la question qui est posée.
J'ai l'impression que Sébastien est passé à coté de sa chronique en prenant l'angle du voyeurisme. Car dans le cas de cette malade, est-ce la télé (et les journaux papiers) qui utilisent cette femme pour attirer le public ou est-ce elle qui utilise les médias pour défendre une cause, provoquer un débat...? Visiblement, c'est elle qui a décidé de se montrer. Ceci a d'ailleurs été évoqué par plusieurs ASInautes. Et le fait de se montrer comme un "monstre" empêche finalement toute discussion car tout le monde se dit que finalement ce qui lui arrive est vraiment monstrueux, insuportable, intolérable, invivable. Et dans son cas, chacun finit par se dire que finalement l'euthanasie ça n'est pas une mauvaise solution. Et c'est là qu'il aurait été intéressant d'avoir l'avis et le point de vue de Sébastien.