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MAGZZ
Merci à vous deux. -
MAGZZ
Oui, SVP, je ne peux voir que la dernière chronique du 18 février.
Merci. -
MAGZZ
Bonjour,
Est-ce que quelqu'un peut me dire pourquoi je ne peux pas revoir et réécouter les précédentes chroniques de Mathilde Larrère ?
Merci -
gomine
finalement, la chronique en plateau marche vraiment très bien,
on le voit aux regards des invités, l'étincelle dans leurs yeux, admiratifs...
merci encore -
remiphilibert
Merci pour ce document. A propos, je vous recommande la lecture du livre "Passeur" de Raphaël Krafft sorti en janvier. Passeur, c'est le récit d'une autre désobéissance civile, celle d'un journaliste indépendant qui à l'occasion d'un reportage décide d'aider deux réfugiés soudanais à entrer en France par le col de Fenestre dans le massif du Mercantour.
C'est ce même journaliste qui est à l'origine avec Véronique Samouilof du volet n°2 du documentaire "Histoire des migrants - 1943 Saint Martin Vésubie, l'histoire d'un millier de juifs" diffusé en septembre 2016 et mentionné ci-avant par BIBI..
Le lien : France culture/Fabrique de l'histoire - Histoire des migrants - 1943 Saint Martin Vésubie, l'histoire d'un millier de juifs -
BIBI
En 2016 sur France-Culture une série d'émissions consacrées aux migrants, la deuxième était consacrée à St-Martin-Vésubie, lieu de refuge et de passage pour un millier de Juifs en 1943.
https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-des-migrants-24-1943-saint-martin-vesubie-lhistoire-dun -
DéLecteurdeVraiThé
Avec Mathilde Larrère, une chose est certaine et prouvée, trop de qualité ne tue pas la qualité
J'ai apprécié cette lettre de mama Herrou dont le nom est à lui seul un ironique clin d'oeil à son histoire personnelle (le mot Allemand Herr... mais en fait ce nom est d'origine bretonne et signifie "vaillant" et regardez comment il est venu ce nom jusqu'au comté de Nice, certainement par les mers, il faut cliquer les dates sur la carte ). Mama Herrou qui reprend la lettre du déserteur pour modèle et donne cette magnifique image de la souche morte
J'ai aussi apprécié ce rappel des Justes qui doivent servir d'exemple et ne sont pas figés dans le marbre pour des commémorations, le passé travaille toujours le présent comme nous le dit Mathilde Larrère
Ici en Alsace à Strasbourg, la frontière n'est plus qu'un souvenir douloureux et pour nous les cabanes disparues des douanes au Pont de Kehl sont aussi futiles que les deux bâtisses de l'Octroi du XVIIIème qui servaient de postes frontières dans les faubourgs d'autrefois de Strasbourg, et l'un de ces Octrois jouxte le bâtiment de Arte et en est devenu une annexe, et l'autre la bâtisse du Conseil de l'Europe près du Parc de l'Orangerie et sert d'abri à ces kurdes qui depuis des années réclament la libération de Abdullah Öcalan des geôles turques.
Et aucune frontière ne résiste.
Une plaque à la gare de Kehl rappelle que c'est là que Freud quitta le sol Allemand pour trouver refuge en Grande Bretagne, et aujourd'hui sur les quais de la gare, les cabanes des douanes Allemandes ont été démolies vu leur inutilité, Kehl n'est plus qu'un faubourg de Strasbourg. -
Cultive ton jardin
J'ai beaucoup aimé, moi aussi, l'histoire de la souche... ce qui reste d'un arbre mort.
La prochaine fois que j'en rencontre un, FDS, je lui dis: Ne reste pas planté là comme une souche! -
Annie Sétoualé
Mathilde, vos rubriques sont d'utilité publique. J'espère que vous resterez avec nous :) -
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BIBI
Merci pour cette chronique.
Dans Rien où poser sa tête, Françoise Frenkel, contrainte de fuir l'Allemagne en 1939, raconte sa vie de fugitive dans le sud-est de la France et les aides qui lui sont venues de personnes dont Cédric Herrou est le successeur.
Livre écrit en 1945 à Genève, retrouvé récemment à Nice et réédité chez Gallimard avec une préface de Patrick Modiano.