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DéLecteurdeVraiThé
je ne vais pas être très original
et faire comme les autres commentateurs/trices
merci à Mathilde pour toutes ces infos et ces rappels qui nous indiquent bien que la pénibilité avec Macron , c'est qu'il nous ramène au XIXe siècle, à l'ère pré-sociale
La Frace en marche à reculons
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Polos
Merci pour cette chronique. On apprend plein de choses comme d'habitude.
Il manque peut-être un rapide aperçu de la situation dans les autres pays européens au moment du vote de la loi de 1910, en particulier en Allemagne.
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JeanneD
Merci Mathilde. Sur ce thème je voudrais parler de la retraite des agricultrices... déjà le mot agricultrice n'est entré dans le Larousse qu'en 1961, eh oui! Et ce n'est pas pour autant qu'elles ont eu une reconnaissance car ce n'est qu'en 1999 qu'elles ont été reconnues comme "conjoints d'agriculteurs ' et ont pu bénéficier d'une protection sociale. Et ce n'est que depuis 2010 qu'elles peuvent s'associer dans un Gaec avec leur conjoint.
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Asinaute sans pseudo 75cda
Excellente chronique, merci Madame
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cécile clozel
jamais compris pourquoi ceux qui se tutoient irl font semblant de se vouvoyer dans les émissions. M'est avis que le fameux "entre soi", c'est comme l'alcoolisme : ça fait bien plus de ravages quand c'est honteux.
perso, j'aime autant penser que, comme vous bossez ensemble, vous avez des relations un peu simples et cordiales.
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Cultive ton jardin
Passionnant et documenté avec précision, comme dab.
Contrairement à freT, je trouve que les petites imperfections de style et de vocabulaire donnent de l'expressivité à l'ensemble.
Pour ce qui est du vocabulaire, précisément, je note une précieuse "conquête", le remplacement du mot "acquis" par le terme bien plus évocateur de "conquis".
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freT
S'il m'est arrivé d'être irrité de la "gauchitude" parfois lourde de Mme L.arrere je bien dois reconnaître que ses chroniques sont toujours fouillées et pointues, ce disant, je pense à une autre intervenante du site...
Prolongeant la comparaison (même si ce n'est pas raison, comme dit le dicton), j'ai remarqué que Mme Larrere refuse de céder au tutoiement parce qu'elle est en situation de chroniqueuse. J'aime beaucoup cette posture qui relève, à mon humble avis, du respect que l'on doit à son auditoire. Personne n'est dupe, bien évidemment que les équipes et intervenants d'ASI se tutoient dans la "vraie vie" ; mais prolonger celui-ci en plateau génère ce détestable sentiment de l'entre-soi ; vous savez, l'entre-soi que le "Français de base" ressent quand il lit, ici ou là, que tel homme politique mange, côtoie, couche avec telle femme journaliste (l'inverse peut être vrai, je n'en ai malheureusement aucun exemple), cet entre-soi politico-médiatique voire médiatico-médiatique, en l'occurrence.... L'entre-soi des aficionados de Twitter, de l'élite en quelque sorte.
Ceci dit, Mme Larrere, faites néanmoins attention aux erreurs d'accords, qui, si elles ne sont pas rédhibitoires, restent peu agréables pour les oreilles :-) :
"les premiers concernés c'est [sic] les militaires" (vers 03.02)
"l'Etat se préoccupe (...) du sort des plus âgés, elle [sic] le reconnait comme un droit" (vers 07.55)
tout comme l'emploi du registre familier : viré, bordel...
...mais ces derniers points peuvent être excusés au regard du réel travail fourni dans la matière de la chronique. Chronique dont j'attends avec impatience le volet 2 !
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Nastasia
Je suis super fan des interventions de mathilde, merci pour cette chronique passionante. Je voudrai vous suggerer si possible d'en faire une sur l'histoire de l'impot sur la fortune . Car j'avais ecoute une emission de Henri Guillemin sur youtube, disant que les deputes alors au pied du mur pour voter cet impot vers 1914, ont prefere se mettre en route pour la guerre plutot que de lacher du lest, car apres tout ca rapporte bien a l'industrie. Je simplifie expres pour etre claire, il etait bien plus nuance bien sur mais je voudrai en savoir plus et dans quelle mesure le marche prefere la guerre pour ne pas lacher du lest sur les populations. Ce rapport la me semble-t-il est interessant, bien au dela des ideologies.