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Ervé
Une très forte odeur de pourriture au sein de l'équipe de France de rugby en tournée en Argentine.
Après que l'un des joueurs a été exclu et renvoyé en France pour avoir déclaré dans une vidéo qu'il mettrait un coup de casque au premier Arabe qu'il croiserait, deux autres ont été arrêtés par la police de Buenos Aires pour viol. -
Limonchell:o)
La France a peur et les chaînes privées se régalent en mettant de l'huile sur le feu,comme d'habitude.
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Paddy
En revanche, depuis jeudi soir, on s'étale sans barguigner sur la "remise en ordre", le "nettoyage" du parti travailliste par Keir Starmer, qui a viré 300 militants dont J. Corbyn, soupçonnés d'antisémitisme. Au Royaume uni aussi, une accusation bien pratique pour se débarrasser de tendances "trop à gauche". Mais bien entendu, pas trace d'enquête sérieuse ni d'arguments étayés. Un peu comme la corruption de Lula en son temps, présentée comme un fait avéré par nos braves "journalistes".
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Zap Pow
"Les actes et paroles racistes se multiplient depuis le premier tour. La télé n'en parle pas."
On ne va tout de même pas faire un foin d'incidents qu'on ne peut accrocher à LFI et relier à son prétendu antisémitisme.
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JEAN FERRUC
On est en train de rentrer dans le très dur, les violences policières - un papier de ce jour Dans MDP rapportait 80% (glups) de sympathisants RN dans cette corporation - n'étaient qu'un apéritif. Évidemment si les medias mainstream n'évoquent pas le sujet, la question si des représentants de la Répugnance Nazionale condamnent les violence ne se pose pas. Pratique lâche et mortifère. Il y un écho avec les affaires des "disparus de la Deule" il y a une dizaine d'années impliquant potentiellement des groupuscules neo-nazis. La justice a classé les affaires en " chutes et noyades de victimes en état d'ébriété... faits avant-coureurs extremement flippant...
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simplet
Il y a quand même un sérieux problème dans le traitement de l'information dans ce pays. Bien des journalistes devraient se remettre en question.
C'est pas possible d'avoir ainsi participé à diaboliser la gauche tout en ayant dédiabolisé l'extrême droite. Il faut essayer de comprendre les ressorts d'un tel phénomène englobant une majorité des rédactions.
Comment en est-on arrivé là sans que personne dans les médias mainstream ne soulève le problème?
Si ça continue comme ça, on va vraiment déraper dans un système délirant dont on aura bien du mal à sortir. En tout cas un système où les mots "démocratie" et "journalisme" seront devenus des mots creux.