ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • DéLecteurdeVraiThé 7 avril 2016 à 17:54
    Merci Robin Andraca de nous tenir informé aussi de ceux qui font l'information sous des formes non officielles, peut être brouillonnes, amateurs mais finalement plus vraies que les officielles car en plein dans le mouvement. Même si une certaine vanité se cache hélas derrière ces Périscopeurs que s'arrachent désormais les médias officiels.

    Bien entendu, on est plus sensible aux informateurs plus informés sur le fond du mouvement, et qui en partagent l'inspiration, comme ceux dont vous parlez aujourd'hui et qui nous proposent Radio Debout.

    Merci Robin

  • Yann Benena 6 avril 2016 à 17:36
    Le survol de manifestations par drones est interdit. C'est sans doute pour ça que il n'y en a pas.

  • Oblivion 6 avril 2016 à 09:23
    « Une surveillance de la surveillance qui avait, à l'époque, inquiété deux journalistes du Guardian. Dans une tribune publiée en décembre 2011, Noel Sharkey et Sarah Knuckey, s'étaient émus de cette nouvelle forme de Big Brother, que même Orwell n'avait pas vu venir. »

    Orwell n’a pas décrit de technologie qui servirait au quidam pour surveiller la police et des manifestants, certes.

    Mais il a bien décrit l’esprit de la surveillance de masse poussée à son extrême :
    Dans 1984, la surveillance de la population n’est pas exclusivement exercée par un organe central.
    Chacun doit surveiller ses proches et les dénoncer en cas de comportement suspect.
    La Police de la Pensée s’exerce grâce aux enfants qui ont pour mission de surveiller leurs parents, aux collègues
    de travail qui observent leur collègue à chaque moment, à l’ami qui dénonce l’ami, etc.

    La surveillance totale passe par, au minimum, trois formes :
    - le télécran,
    - les hélicoptères qui observent aux fenêtres (eh oui ! des formes de drones !)
    - la surveillance de chacun par chacun.

    Il ne reste au citoyen plus aucune intimité personnelle.

    C’est toute l’ironie de ce que nous vivons aujourd’hui, la surveillance n’est pas que le fait de la NSA, des GPS,
    des fichiers policiers, etc…
    Avec la technologie que nous possédons tous entre les mains (téléphone mobile, ordinateurs, Périscope et autres drones),
    et au nom de principes louables (l’information, la lutte contre les dérives de la police), nous en venons à appliquer
    à tous ce que nous ne voudrions voir appliquer à nous-même.
    Des manifestants et des policiers se retrouvent en garde à vue et en prison sur la bonne foi de vidéos, qu’elles soient captées
    au sol ou par les airs.

    Grand frère vous regarde avec les meilleures intentions, mais il vous regarde.

  • Revolution 5 avril 2016 à 19:57
    "Community Manager"? Comme Obama?
    Et en France/français ça donne quoi, "Community Manager"? Faire des selfies avec des pop-stars?

    Vous pourriez nous en dire un peu plus sur ce zouave?


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.