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Didon
J'ai travaillé dans l'Oise voici une vingtaine d'années et, à l'époque, ce journal était appelé "Oise crado" tant il fourmillait de saloperies aussi diverses que variées.
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robin
à la décharge de la presse de proximité, ces entreprises pour faire des économies, au lieu d'investir ont massivement licencié obsédés par la masse salariale, résultat: ils n'ont plus les moyens humains de faire vraiment de l'information et encore moins de l'investigation, ce qui arrange bien leurs patrons milliardaires et leurs supplétifs politiciens
rien que les élucubrations du golfeur américain suffit à remplir les pages de leur torchon consacré presqu'exclusivement aux faits divers, surtout aux faits et gestes des policiers et militaires, seuls l'autorité et l'inégalité les intéressent avec les immigrés, les syndicats, les normes environnementales entravantes, les terroristes, les offices de contrôle...
ils pensent que l'IA va leur fournir assez de contenu!
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Limonchell:o)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Nad%C3%A8ge_Lefebvre-------,a eu un bon patron en politique.
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Ouldyamin
Et les voisins de Fakir, ils en ont touché un mot ?
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Manu
C'est formidable de vivre dans une « démocratie » dont une élue consomme du temps à se demander comment elle pourrait nuire à un journal.
Tout va bien !
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lord
Superbe article. J'ai voté pour l'accès gratuit
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Paddy
Du grand classique : un/une responsable politique qui-défend-la-liberté-d'expression cherche à faire taire toute voix d'opposition. Ce cancer se multiplie à tous les niveaux, tous. Le plus inquiétant, c'est de voir comment il se banalise, et le grand silence qui l'entoure. Un silence qui lui aussi, développe ses métastases. Les nouveaux maitres du pouvoir ont intégré cette (hélas) vérité : il suffit d'insister sans céder, la pilule finit toujours par passer.
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Modam
Grandeur et décadence des « barons » locaux, et de la PQR qui leur sert la soupe !…