Une journaliste poursuivie pour avoir filmé l'automutilation d'un adolescent

Justine Brabant - - 84 commentaires

Filmer un jeune qui se mutile, est-ce se rendre complice de violences ? Une journaliste de TAC Presse est poursuivie en justice pour avoir filmé pour "Zone Interdite" (M6) un mineur pratiquant la "suspension", une forme de mutilation particulièrement spectaculaire.

Filmer un jeune qui se mutile, est-ce se rendre complice de violences ? Une journaliste de TAC Presse est poursuivie en justice pour avoir filmé pour "Zone Interdite" (M6) un mineur pratiquant la "suspension", une forme de mutilation particulièrement spectaculaire.

Elle a été renvoyée en correctionnelle par le Parquet de Toulouse pour "complicité de violences", et risque 5 ans de prison et 75.000 euros d'amende.

Le "marquage de la peau" chez les jeunes, du simple tatouage à la scarification : c'était l'objet d'un reportage de l'agence TAC Presse, diffusé le 8 octobre 2006 lors d'un numéro de Zone Interdite (M6) consacré aux comportements à risque...

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