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  • lucjean14 14 juin 2018 à 19:35

    M6 condamnée pour "fake news" c'est pour quand?

  • Oblivion 14 juin 2018 à 17:54

    Ce que ne dit pas non plus Capital, c'est que, comme le notait Carlos Rienzi, président d’une association d'usagers italienne sur TF1 : "On n'a fait qu’investir sur les trains à grande vitesse, mais en réalité tout le reste du réseau, celui des travailleurs du quotidien s'est largement dégradé, il y a toujours du retard et les trains sont de plus en plus sales."


    C’est drôle, on dirait comme chez nous, où pendant trente ans, le TGV a été privilégié.

    C’est d’ailleurs pour cette raison que Coline n’est pas contente sur sa ligne pour aller au boulot.

    Il faudrait lui expliquer que les sous-investissements sur sa ligne ont été un choix politique.


    Quand ce n’est pas la gare Montparnasse qui tombe en panne, c’est Saint-Lazare. Brétigny.

    La SNCF fait ses carottages dans le tunnel du RER A (Oh !, regarde, y’a déjà un tunnel, pourquoi qu’on en fait un autre ?)

    Côté RATP (normalement moins touché), le RER B (deuxième ligne ferroviaire de France en fréquentation) déraille cette semaine, (je crois que c’est la première fois dans l’histoire du RER, à vérifier).


    Mais c'est la faute aux salariés.

  • Jiemo 14 juin 2018 à 14:28

    "deux mécanos allemands qui en cas de retards ou d'absence d'un conducteur sont amenés à le remplacer au pied levé. "Cela permet d'éviter de supprimer le train" " ...ce qui avant la partition en différentes entités existait à la SNCF , un conducteur pouvait tirer pratiquement n'importe quel type de train , seules ses habilitations pouvaient limiter son utilisation, de plus il existait en période tendue une "réserve" (RAD). Donc DB n'a rien inventé ni innové , cela existait aussi chez nous !


  • ramon 4 14 juin 2018 à 12:20

    Pourquoi M6 fait-elle appel aux CRS et à l'argent public ?


    Si ses journalistes étaient po-ly-va-lents, ils pourraient, à la fois, raconter n'importe quoi dans un reportage, puis faire le service d'ordre devant les réactions des publics concernés.

  • lhilha 14 juin 2018 à 10:59

    Il faut donc trouver des raisons de ne pas désespérer, ceci pourrait-il en devenir une? https://www.youtube.com/watch?v=BYpcVPu_rbc

  • Paddy 14 juin 2018 à 09:26

    L'article démontre, s'il en était besoin, le niveau de propagande atteint par, non seulement M6, mais toutes les chaines de télévision, au profit des dominants et bénéficiaires de ces politiques "libérales".

    Le commentaire de Karlbourd dit l'essentiel, bien complété par celui du détecteur : la tonte se poursuit intensément, avec, dans une large mesure, l'assentiment bêlant des brebis. Ce matin sur France Inter, encore une occasion de s'offusquer à l'unisson du journaliste du Point sur ce pays comptant 1% de la population mondiale et distribuant 15% de l'aide sociale. Quel scandale. Un pays qui distribue à tout va, quelle inconscience ! Vite, il faut remédier à cela. Pas d'inquiétude, la France ne devrait pas tarder à (re)devenir un pays raisonnable, où chacun est bien à sa place.

  • karlbourd 13 juin 2018 à 20:46

    J'ai entendu dire que Elise Lucet elle même avait fait un "envoyé spécial" à charge contre les cheminots (à vérifier peut être ) . ALors si ELise Lucet est elle même colonisée par la doxa libérale, c'est que vraiment les forces qui façonnent les directions dans lesquelles doivent aller les médias sont très fortes et plus que jamais hégémoniques. Au moins dans le monde des médias dominants, parce que dans le reste de la population, en tout cas chez moi et beaucoup d'autres, une colère couve et "mûrit". Ils devraient se méfier parce que ces reportages de propagande ouverte pour la violence sociale pourraient un jour se transformer en preuves à charge contre eux. Je leur conseille d'effacer vite ce genre de preuves de leur corruption...).
     Une partie, et pas la moindre, de la  force de ce discours dit à tort "libéral" (qui libère t'il sinon la cupidité des dominants?) tient dans le retournement des mots qu'on se laisse imposer. La violence sociale s'y travestit sous au mieux des euphémismes hypocrites (la régression vers l'esclavage du salarié  y est nommée "flexibilité" ou "polyvalence"), au pire sous des mots mensongers (les "cotisations sociales" deviennent des "charges" sur les épaules de ces pauvres riches dont la créativité, qui réclame yachts, maisons gigantesques climatisées, voyages en avion à tour de bras, est ainsi entravée. Il faut bien comprendre que pour  qu'un riche "premier de cordée" sauve les pauvres, il faut préalablement  qu'il les appauvrisse pour se mettre ensuite avec plaisir  au travail pour les sauver).
     Il faudrait résister et dé-nommer ces façons de nommer la réalité. ces mots sont des lunettes qui prédéterminent les pensées, et donc l'action ou l'inaction des gens......


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