patrick naze 22 juillet 2011 à 00:05
Sublime! Le récit de ce merveilleux activiste doit être rajouté dans l'anthologie de l'humour noir d'Andre Breton, et son nom doit figurer dans nos prochains manuels scolaires!

joelle lanteri 21 juillet 2011 à 12:21
Vous n'êtes pas rentré comme ravaillac dans la grande histoire ,mais votre geste compte ,il n'est pas inutile de les renvoyer à ce qu'ils sont des mouches sur une tarte !!!

Anthropia 21 juillet 2011 à 09:48
C'est tout, une tarte à la crème, c'est tout ce que les indignés produisent.

Et pour le reste, ce que j'aime chez @si, c'est qu'on a l'info utile, la bonne traduction du bon papier, au bon moment. Merci pour cette année pleine d'infos que vous avez suivie avec constance et détermination.

Personnellement, j'aurais aimé un peu moins de DSK,
un peu plus de romans contemporains pour Dans le Texte,
je regretterai vraiment La Ligne Jaune
et suis tellement contente du retour d'Alain Korkos,
Pour le sujet sur la guerre,cet été, merci à Justine Brabant.

http://anthropia.blogg.org

Compunet 21 juillet 2011 à 07:40
ah ben je viens de tomber dans vos vite-dit sur cet article : http://www.arretsurimages.net/vite.php?id=11742
en voilà deux autres qui se sont accouplés par amour...
(désolée :))

J.F. Sebastian 20 juillet 2011 à 20:48
[mode casse-pieds activé]
Reprendre de manière extensive un article, même en le traduisant, et n'avoir qu'un texte de commentaire qui n'est pas de l'analyse journalistique mais une présentation, ça tombe en dehors du droit de citation. Je comprends l'initiative, mais sur le plan légal, on explose la ligne jaune.

D'un autre côté, on n'est plus à ça près, vu que l'icône du dossier Murdoch est aussi une violation du droit d'auteur ( image de Darrow pour Vanity Fair, modifiée et repompée en dehors de toute information journalistique, et sans même pouvoir accéder au nom de l'auteur ou à la source...
http://www.vanityfair.com/business/features/2009/11/michael-wolff-200911?currentPage=1
[mode casse-pieds désactivé]

Al Ceste 20 juillet 2011 à 20:08
Oh p…, quel texte !

En voilà un qui a réfléchi, qui a vu la dimension fumigéno-farcesque de cette vraie-fausse audition.

Qui sait que Don Rupert et ses sbires familiaux ne seront jamais vraiment jugés et condamnés à hauteur de ce qu’ils ont commis. Que ceux qui paieront le plus sont des lampistes, des gens qui eux n’en étaient pas à se faire des coucougnettes en 18 carats comme leurs boss mais à simplement gagner leur croûte et celle de leur famille – la liste des gens qui font un boulot de maverdaverde est bien plus longue que celle des héros de la pureté doctrinale (et je ne jurerai pas que je n’aurais jamais fait partie de la première).

Il y a quelqu’un dont on ne parle guère, c’est la toute jeune Madame Murdoch. Sa réaction vigoureuse peut s’expliquer par un réflexe de mère-poule. Mais aussi par la rage de voir son coffre-fort sur pattes en train de fondre au soleil du scandale. Lui est crouni, il a déjà un pied dans la tombe. Elle est jeune, et a dû se frotter à la couenne d’une vieillasse pour arriver. Si c’est une arrivée à la case "Il n’y a plus d’argent au numéro que vous avez demandé" alors qu’elle comptait bien, une fois débarrassée de l’octogénaire, vivre enfin non plus sur un tas de rides mais sur un tas d’or…