DéLecteurdeVraiThé 3 avril 2017 à 13:39
J'ai peur d'entendre le commentaire du fou aliéné (un pléonasme n'est pas de trop pour le qualifier) s'il voyait cette photo.

Faab 3 avril 2017 à 10:47
News du Royaume où ça parle de Brexit et de guerre avec l'Europe (la vraie, avec les canons et tout...) : Brexit talks: EU will not go soft on Gibraltar issue, diplomats say.

Résumé in french : sur le sujet du différent Royaume-Uni/Espagne sur Gibraltar, Michael Howard, un ancien du gouvernement Thatcher parle d'expédition militaire comme pour la guerre des Malouines parce que Theresa May a oublié d'en parler, et que désormais, les pays de l'U.E. penchent naturellement du côté d'un de leurs membres.

Bon, je suppose que les uns et les autres vont surjouer l'affaire, et il pourrait être intéressant de voir jusqu'à quel point le Brexit va être dramatisé même si, au fond, ils vont chercher à s'arranger pour que ça ne change pas grand chose (les exécutifs décident dans l'U.E., ils feront pareil sans elle, sans même un parlement européen pour se mêler de leurs deals).

Et comme dirait D.S. : pour nos jeunes abonnés, 1982, guerre des Malouines, Royaume-uni vs Argentine, avec étrange "union sacrée" de la junte militaro-catho et de péronistes, cette aventure foireuse ayant malgré les quelques centaines de morts eu au moins pour effet de faire chuter le régime militaire.

tosh 3 avril 2017 à 03:02
C'est le Daily Mail .... a partir du moment ou on accepte l'existence des tabloïds ce genre de potacherie existera.

RRJL 2 avril 2017 à 21:36
Moi qui avait un doute positif sur Corbyn ...

Un travailliste devrait être là pour défendre la part du revenu des travailleurs dans la richesse produite par les entreprises (et il y a beaucoup de travaille).

Sa façon d’interpréter l'humour, on s'en contre fout. Occupe toi de faire le job pour lequel on te paie, plutôt que de diviser sur des queues de poire.

manu@home 2 avril 2017 à 12:45
D'habitude le sexisme réduit les femmes à leur corps et les disqualifie pour quoi que ce soit d'autre. Mais Thersa May s'en fiche bien: elle a le pouvoir. Alors si les journaux préfèrent parler de ses jambes que de contester ses décisions, cela doit bien l'arranger.