Alan King 26 mai 2008 à 04:59
A mon avis, la note en bas de page de la couv de Time (Really, we're pretty sure this time) n'est pas prudente mais simplement ironique, pour en rajouter volontairement sur le ridicule d'une campagne qui n'en finit pas, comme le signale régulièrement l'émission The Daily Show sur Comedy Central, avec leur accroche humoristique pour annoncer une chronique sur la campagne : "the long flat seemingly endless bataan death march to the white house" (la longue, insipide et apparemment interminable marche de la mort qui tue vers la maison blanche).

Gilles Klein 24 mai 2008 à 11:37
@ Estelle

J'ai choisi, en effet, de formuler en latin, en ayant fait pendant 7 ans (j'ai fait du grec ancien aussi)

Fandasi pour clavier 23 mai 2008 à 11:07
On peut dire Time ne fait pas dans l'@symétrie.

Estelle Marque 23 mai 2008 à 09:59
En français : Janus bifront, en latin : Janus bifrons.... oui, je sais .... mais ...

Gilles Klein 23 mai 2008 à 06:50
Tout à fait Guillaume, j'ai vu cette publicité, mais j''ai choisi de me cantonner aux couvertures de Time pour garder une unité visuelle

delphes 22 mai 2008 à 23:53
ah, ça m'étonne pas des américains ça ! ce goût des combats un contre un, à l'antique... le vrai combat, quoi, avec des hommes, des vrais (presque), qui se battent à mains nues (presque)
tout est une affaire de personne ; et ce problème s'est étendu au monde entier (comme tout ce qui vient des états-unis, et ça m'énerve)

Purle Haze 22 mai 2008 à 19:37
Il y a pas a dire les consainguins c est pas la joie :p

Guillaume R. 22 mai 2008 à 19:27
Bonjour,

Pour une fois que je suis assez cultivé pour apporter une petite info en plus, je me prive pas !

La couverture avec les visages d'Hillary Clinton et Barack Obama coupé en deux et le "There can only be one" est un gros clin d'oeil à la campagne de publicité lancée par la NBA pour le début des play-off. Les 16 meilleures équipes du championnat s'affrontent alors dans ses phases finales au meilleur des 7 matchs. Pour cette campagne, la NBA a réalisé de nombreux spots (au moins une quinzaine) où les joueurs phares des équipes se rencontrant parlaient face à la caméra avec ce slogan : There can only be one, et la même mise en scène que sur la couverture du Time. Vous pouvez par exemple voir ici le spot mettant en scène Chris Paul et Jason Kidd, les deux meneurs respectifs de la Nouvelle-Orléans et de Dallas, deux équipes qui se sont affrontées au premier tour des play-offs.

Voilà voilou :-)