Jiemo 26 mars 2018 à 15:08

Philippe P. ? ... souvenirs , souvenirs !

Météor 26 mars 2018 à 12:54

A ajouter en fin d'article : le doyen a dû démissionner.

http://www.lemonde.fr/campus/article/2018/03/24/violences-a-la-faculte-de-droit-de-montpellier-le-doyen-demissionne_5275960_4401467.html

alain-b 24 mars 2018 à 14:06

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 24 mars 2018 à 13:20

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Cultive ton jardin 24 mars 2018 à 12:38

"Un attentat terroriste qui fait des morts, c'est gravissime. 

Mais ce qui vient de se passer à Montpellier est gravissime également."

Juliette, qui écrit cela plus bas, a complètement raison. Il vient de se passer quelque chose de gravissime. 

"Des étudiants chassés d'un amphi par des tabasseurs cagoulés, avec l'aide probable du doyen de l'université de droit de Montpellier": 

Il me semble qu'avec cet événement on a passé un cap. On le dira plus tard. On oubliera peut être que "nos" médias, non seulement n'avaient pas vu la gravité, mais n'avaient pas vu l'incident. On oubliera que ce silence même, ajouté à l'événement, était en lui-même une sérieuse alerte.

zozette 24 mars 2018 à 10:46

Il est assez étonnant de constater que la majorité des journalistes ne savent pas ce qu’est une université ou une faculté. Parler du doyen de l’université de droit de Montpellier est une absurdité. Bon, allons-y ! Procédons par analogie ! L’université est le siège social et les UFR (anciennement « facultés ») sont les usines. On est président d’une université, c’est à dire PDG du groupe. On est directeur d’UFR, c’est à dire « directeur d’une des usines appartenant au groupe ». 

Par ailleurs, dire — comme le font certains journalistes —  « les étudiants n’arrivent pas à s’inscrire à la fac de Paris I » est stupide. Paris I est une université. Il suffit d’aller sur internet pour constater que la « fac de droit de Montpellier » s’appelle en réalité « UFR droit et sciences politiques » et qu’elle est dirigée par un directeur.

Ervé 24 mars 2018 à 09:13

Hier, quand le lieutenant-colonel de gendarmerie Arnaud Beltrame (malheureusement décédé cette nuit des suites de ses blessures) a pris la place d'une otage au Super marché de Trèbes, Eugénie Bastié, journaliste au Figaro et rédactrice en chef de Limite, a commis ce tweet :

Ne jugeons pas trop vite cet homme en héros. il a peut-être mis des mains aux fesses à Saint-Cyr.

Tweet très vite retiré, face aux réactions outrées et au injures suscitées. Une catastrophique tentative d'humour qui devrait la poursuivre très longtemps.

Sémir 24 mars 2018 à 07:22

C'EST LA PRIVATISATION A COUP DE TRIQUE DANS LA GUEULE.

Tant pis pour ceux qui n'ont pas défendu leurs droits face à des voyous qui leur feront payer très cher leurs étude.

Avatar 24 mars 2018 à 02:01

Pas malheureux de ne plus payer la contribution à l'audiovisuel publique, et d'avoir arrêté la télé comme principale source d'information.

Ke-sais-je 23 mars 2018 à 22:40

Je me souviens de Mai 1968.

Je me souviens de la Fac d'Assas.

Je me souviens du Professeur Mazeaud.

Je me souviens du Professeur Duverger.

Mais, je me souviens aussi , hélas,  des militants cagoulés d'extrême droite.

Je me souviens des Fafs

Je me souviens des coups .

Je me souviens du "gentil" Gérard Longuet.

Je me souviens ....

" Il faut que tout change pour que rien ne change "

juliette 23 mars 2018 à 20:06

Un attentat terroriste qui fait des morts, c'est gravisssime. 

Mais ce qui vient de se passer à Montpellier est gravisssime également. 

Il n'y a rien à comparer, les deux sujets doivent être traités.

Un doyen d'une fac de droit qui, à minima, cautionne et est fier d'une action punitive digne du S.A.C., c'est insupportable. Ne pas parler de ça est scandaleux. 

il n'y avait même pas de blocage, juste des étudiants qui voulaient dormir dans l'amphi et qui étaient là depuis quelques heures. Ils ont sûrement discuté, débattu, échangé et une fac doit être un endroit de débat et d'échange

Et même s'ils avaient bloqué quoi ce soit, ça ne justifierait pas cette violence.

Cette information est effrayante, le témoignage du doyen est ahurissant.  J'espère que les journaux télé vont se rattraper et que cette expédition punitive sera largement condamnée.

Toutes mes pensées pour les victimes des attentats et leur famille et tout mon soutien aux étudiants et aux profs de la fac de Montpellier.

Merci pour cet article.

Finbien 23 mars 2018 à 19:57

Comment peut-on accepter de telles exactions? Est-ce que les journalistes sont allés enquêter pour savoir qui étaient ces hommes cagoulés non identifiés (à part le doyen qui botte en touche)? Le préfet? Ça commence à sentir pas très bon tout ça. Tu parles d'un état de droit... Serait-ce après tout Le Pen qui aurait été élue? 

https://www.youtube.com/watch?time_continue=63&v=4-7njjII9Kg

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 mars 2018 à 19:41

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M.Pat 23 mars 2018 à 18:53

il faut reconnaître que l'actualité de la mi journée était légèrement chargée et un poil plus tragique que ce qui s'est passé dans cet amphi...

tosh 23 mars 2018 à 18:13

"Mais il en aurait sûrement fallu davantage pour retenir l'intérêt des télés nationales. "

c'est pas du journalisme ca .... 

avez vous demandé aux télés le pourquoi du comment ?  c'est un peu léger comme enquête.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 mars 2018 à 17:34

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