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Ervé
Pas superflue, cette éducation sexuelle !
En effet, selon un sondage du Gorafi, 89 % des hommes pensent que le clitoris est un modèle de Toyota.
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Cocomuze
Au début les animateurs ont rigolé, mais le garçon expliquait qu'il avait maintenant du mal à avoir des rapports sexuels. Là, je me suis dit… c'est limite du viol, à partir du moment où il n’était pas consentant !
Non non, ce n'est pas "limite", c'est un viol, caractérisé, et apparemment tous ces hommes, en 2019, ont trouvé ça très drôle. On n'est pas sorties et sortis du sable.
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Bruanne
Comme je ne suis pas du tout les réseaux sociaux je suis effarée en découvrant le partenariat avec les produits laitiers.
Jamais de la vie j’aurais imaginé associer les produits laitiers et radio sexe !
Pourquoi les cibles se correspondent-elles ?
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Bruanne
Pourquoi quand un média parle de sexe il donne la parole soit à des toubibs ( vrais ou faux) soit à des stars de porno ?
Y’aurait pas un discours intermédiaire un peu intéressant et majoritaire à porter ?
Oui, les pathologies existent et c’est bien d’en parler, et la pornographie existe aussi et c’est bien d’en parler aussi.
Mais il y a une immense majorité de relations sexuelles ni patho ni porno, non ?
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Le Radoteur
Est-ce-que les Produits Laitiers ont mis en exergue le beurre "Charentes-Poitou ça rentre partout" (dixit Coluche faisant référence à une scène du 'Dernier tango à Paris' dont Maria Schneider avait été traumatisée car réalisée à son insu).
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Browny
Il faudrait que je regarde pour me faire un véritable avis, mais ce qu'en décrit l'article ici est juste déprimant.
Je trouvais qu'il y avait un bon équilibre sur l'émission radio évoquée : des gens "qui parlent comme nous", certes (difool, la petite bande qui allait avec), mais aussi la voix rationnelle, plus mure et raisonnée d'un vrai docteur pour mettre de la distance, et puis mine de rien, oui, une femme (c'est un peu misérable que ça aille pas de soi, que ce ne soit qu'une exception dans l'équipe, mais il y avait au moins ce point de vue féminin parfois salvateur). Tout ça était très complémentaire, dialoguait plutôt bien ensemble, ça apportait une réponse saine à la foule d'incertitudes et de confusion des coups de fils reçus, souvent englués dans les phobies et préjugés adolescents.
Là, répondre des réflexions préjugés à des peurs préjugés, n'avoir pour interlocuteur que l'univers de potes qu'on connaît déjà, se départir totalement de tout point de vue médical ou psychologique... je vois pas vraiment ce qui peut en sortir de bon. Et c'est un peu à l'image de l'époque, ou le youtubeur et ses semi-savoirs bancaux est ton premier prescripteur de connaissance.