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  • sspicco 25 septembre 2020 à 06:57

    Dans le premier extrait j’ai vu:

    une grosse baraque... qui me fait penser que cette famille a les moyens de choisir des vêtements un peu plus chers...et peut être un peu plus responsables... ?

    une dame qui pousse la poussette derrière la maman qui n’a plus que deux enfants...?

  • Lorie 24 septembre 2020 à 06:20

    Vive le retour du zoo humain de nos ancêtres tant décrié de nos jours. Tient c'est une noire qui est dans la cage!

  • Jean-François Armengaud 23 septembre 2020 à 17:31

    De toute façon tout le reportage sentait le frelaté. Ce n'était qu'un long publireportage à la gloire de cette enseigne française bien de chez nous. Je ne serais pas surpris que ce soit la même agence de marketing qui en ai définit le concept. Alors qu'elle fournisse aussi les figurants est dans la logique des choses.

  • fpaule 23 septembre 2020 à 16:49

    On sait que cette cliente KIABI adoooore KIABI (bon d'accord, c'est la directrice d'une agence de marketing ayant Kiabi comme client, mais c'est un hasard)

    On a fait un sondage : 100% des femmes interrogées adoooore Emmanuel M. (bon d'accord, on a pu sondé que sa femme, mais c'est un hasard)

    Vive la liberté de la presse

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 septembre 2020 à 13:30

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Animal Collective 23 septembre 2020 à 13:19

    Je dois dire que j'aime beaucoup cette idée de disposer des précaires dans des cages en verre une partie de la journée pour qu'ils mettent en valeur des vêtements

    Un mix entre peepshow et homme sandwich qui a de l'avenir avec tous les chômeurs qu'on a sous les bras...


    -signé un  ̷m̷u̷s̷i̷c̷i̷e̷n̷ ̷  chômeur

  • RYP 23 septembre 2020 à 12:58

    Venant d'une communicante ce n'est pas très professionnel, je dirais même plus c'est assez V..... !

  • Tony A 23 septembre 2020 à 11:28

    "Nous cherchions une famille, cliente régulière, qui allait faire ses courses de rentrée à Kiabi. Nous n'en avons pas trouvé en nous rendant directement en magasin".


    Soit le journaliste est un nul, soit l'avenir de Kiabi est bien compromis.

  • Heidi 23 septembre 2020 à 09:45

    "Nous avons alors demandé à Kiabi de nous ouvrir leur fichier clients, ce qu'ils ont refusé" - euh, dans quel monde il vit?C'est 100% illégal. D'autant plus depuis les avancées du RGPD.

  • Ghis 23 septembre 2020 à 08:49

    A nouveau, impression d'un reportage sexiste (du moins la séquence montrée), c'est une femme qui habille ses filles, qui réfléchit aux vêtements qui leur manque et qui va acheter les vêtements avec ses enfants, pas d'homme dans la séquence. 

    Certes, c'est sans doute généralement le cas (et c'est le mien ;), mais est-ce qu'il n'aurait pas été possible de tourner différemment, de montrer les petits prix de Kiabi autrement (but de la séquence si j'ai bien compris) ? La question ne s'est même pas posée de l'image que cela peut renvoyer au public qui le regarde : c'est "normal" que ce type de choses soit géré par une femme.


    Certes la raison de ces petits prix (conditions de travail des employés par exemple) et comme dit dans un autre commentaire, le "besoin" de consommation ne s'est pas non plus posé...

  • Maïdo 23 septembre 2020 à 06:13

    Je n'ai pas vu le reportage mais ce qui me choque le plus dans votre aperçu, c'est l'éternel soutien à ce mode de consommation. Pas de remise en question du modèle Kiabi, c'est une nécessité économique, ça ne se discute pas. Pour la planète, on repassera plus tard, trop tard...

  • Le cas échéant 22 septembre 2020 à 21:49

    Avec un tel sens inné de se prémunir de tout conflit d'intérêt, cette dame devrait assez vite se voir proposer un strapontin ministériel.

  • Max Médio 22 septembre 2020 à 21:35

    C'est comme les avis sur les sites booking.com, amazon, uber, tripadvisor, facebook,  doctolib... etc. Tout est bidon et frelaté. Dans le même sens voir le marketing politique et eupéhmisé sous l'appellation mensongère de " communication ". Mensonge sur mensonge ne vaut ?


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