Jiemo 19 octobre 2016 à 23:00
Pitoyable réunion de DP (délégués du personnel) sur Caca 8 !

...pendant ce temps là , à Amiens ...

Sebastien Lemar 19 octobre 2016 à 19:42
Il est un peu vain, et en tout cas pas très Kritikdémédia, de comparer les mérites respectifs des amuseurs patentés de la Télévision Française.
Comme le dit pedron ci-dessus: on s'en tape.
Maintenant si on veut vraiment faire l’exégèse du phénomène Hanouna vs Guillon, une rapide analyse néo-classique fera l'affaire:
1. Tout ce qui est rare est cher.
2. L'intelligence de Guillon est rare, donc elle est chère .
3. L'intelligence d'Hanouna est très rare, donc elle est très chère .

Après, pour le reste, c'est juste une affaire d'audience: Guillon ne se fera pas virer tant qu'Ardisson le produira parce qu'il rapporte, bon an mal an, sa petite thune: Guillon c'est pas une gagneuse comme Hanouna, mais quand même, vu du côté de Mac Bolloré, ça fait quand même ses petits millions, au bout du compte.

Se souvenir, sur l'humour, Porte, Guillon et la "politique" -> pourquoi Didier Porte n'est plus sur les médias qu'on critique.
Et c'est pas triste.

DéLecteurdeVraiThé 19 octobre 2016 à 19:23
Quand j'entends parler de Dieudonné, je sors ma culture...

pedron 19 octobre 2016 à 18:46
On s'en tape !

emilie bouyer 19 octobre 2016 à 18:38
Hanouna soutient Morandini ? Ce sinistre personnage ne recule devant aucune saloperie.

Al Ceste 19 octobre 2016 à 17:51
Hanouna, ce n'est plus le melon qu'il a, mais une citrouille. S'en prendre à Guillon, même et surtout avec le courageux renfort de ses larbins, c'est un Solex qui veut battre une F1 au 100 m départ arrêté. L'humour de Guillon est souvent ravageur, celui d'Hanouna ne dépasse pas le niveau cacaprout.

L'argument du gros salaire, ça pourrait le faire si lui-même était payé avec des clopinettes (ce qui serait approprié) et s'il avait consacré une émission aux golden hellos et aux golden parachutes des patrons qui ruinent leur entreprise (quand je dis « leur » c'est faux : ce ne sont pas de patrons à l'ancienne, qui risquent leurs fonds propres dans une aventure industrielle)

Ils imaginent un Guillon cherchant à se faire virer : pas de danger qu'eux, berniques collées à leur Bolloré, gens dont aucune autre chaîne ne voudrait*, s'y risquent.

* Par contre, je les vois bien faire les animateurs au banquet annuel des Amis de la chasse au gros.