* * * Stanley MILGRAM™ * * * Soumis à aucune autorité 3 août 2009 à 18:06
My Opinion Way
Comme d’habitude, on préfère les transpositions à l’original, c’est toujours la même musique mais les paroles ne sont pas identiques !

Stan 0.001g

Julot Iglésias 3 août 2009 à 14:46
C'est pas beau, "Opinion Way", comme nom, pour une société.

Ça fait cheap, je trouve.Ça sonne ringard, un peu comme Johnny Hallyday.

En tous cas, c'est l'impression que ça ma fait, à moi, la première fois que j'en ai entendu parler.

Préjugé défavorable, ça s'appelle. C'est pas objectif. Bien sûr, y'a pas de quoi être fier. Et je suis pas fier, je l'avoue, honteux.

Tout de même, je me dis aussi qu'Opinion Way a surgi comme un diable de sa boîte, au moment où Sarko lançait sa campagne électorale. Ça doit jouer aussi, dans l'image.

Pour revenir à l'appellation Opinion Way, je me demande si nous sommes nombreux à la trouver tarte. Car, au delà d'un certain pourcentage, c'est plus un préjugé, c'est une opinion : une officine qui étudie l'opinion et qui ne se soucie pas de sa propre image dans l'opinion ne m'inspire pas confiance .

Peut-être auraient-ils dû, avant de choisir ce nom, demander une étude à la Sofres ou à l'Ifop. C'est pas les instituts de sondages sérieux qui manquent.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 23 juillet 2009 à 15:01

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choucroute 22 juillet 2009 à 22:55
Intéressant article mais, malheureusement, je trouve qu'il se termine deux paragraphes trop tard.

J'ai beau retourner le sondage d'OpinionWay pour Métro dans tous les sens, je ne vois pas en quoi il y a une erreur ou en quoi les proportions sont étranges (mais je suis fatigué, c'est peut-être pour ça !).
Si j'interprète bien : Boutin perd sept points quand Darcos en perd deux mais, malgré cela, Darcos reste moins populaire. Où est le problème ?

Par ailleurs, le découpage du visuel du sondage est assez mal choisi, à mon avis, car il manque la colonne NSP. En voyant juste cette image, sans aller voir l'image d'origine sur le site de Métro, on risque donc de se demander pourquoi la somme des deux nombres ne fait pas 100%.

Ptilou 22 juillet 2009 à 20:13
Très bonne synthèse de tous les acteurs intervenant dans ce dossier.

Ainsi donc, le prix final payé par l'Elysée correspond à celui de départ (du producteur de sondages) augmenté de celui de l'intermédiaire (du cabinet de conseil, qui fait la culbute). Mon dieu quelle découverte ! Dans la distributrion, on voit ça tous les jours... et en toute légalité, la DGCCRF et Christine Lagarde en tête veillent au grain...

A part renégocier une convention Elysée/Cabinet Conseil en bonne et due forme, comme le proposerait justement la Cour des Comptes, je ne comprends pourquoi le PS se pâme ! Au contraire, ils ont enfin la preuve que l'Exécutif fait fi des experts et spécialistes d'aujourd'hui pour ne piloter qu'avec l'opinion publique, dont on sait ce qu'elle vaut : du vent !!