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  • Cultive ton jardin 3 juillet 2017 à 16:18
    Me voilà bien déçue, moi qui écoute beaucoup (trop!) France Info et qui ai manqué cet article: j'y ai cru (patate crue) au charme européen de Macron. Eh non, c'est une blague, mais j'avais pas les détails. Si même Quatremer est déçu... il est mal, notre [s]Louis XV Napoléon le Grand[/s] Napoléon le Petit.

  • emilie bouyer 28 juin 2017 à 20:25
    Et le voilà qui invite Trump le 14 juillet. !!!!!!! il y en a un qui avait invité el assad . bon. la honte ne nous quitte pas.

  • JIEM 92 27 juin 2017 à 14:02
    Bonjour
    Le petit Napoléon est déjà en 1815.

  • Yanne 26 juin 2017 à 21:31
    Comme l'écrivait le magazine Marianne dans ses grandes heures :
    On lèche, on lâche, on lynche.
    Ce n'est qu'une question de temps : si au début on lèche, à la fin on lynche.

    Une autre façon de dire 'Tout nouveau tout beau"

    Ce qu'il y a d'assez amusant, c'est le fait qu'on ait dit à Macron : baissez votre déficit, faites des réformes libérales, et vous pourrez revenir, on vous écoutera !
    Mais de toutes façons, si on le jette la première fois, on le jettera toujours, Les exigences seront toujours plus variées et fortes, et la situation économique des pays qui ne peuvent maîtriser leur monnaie sera toujours plus mauvaise. Et ce sera une occasion sans cesse renouvelée de gagner en leadership pour les Allemands.
    C'est à Macron de dire : Ôte toi de là, Angela, que je m'y mette !
    Mais comme il est libéral, c'est-à-dire qu'il s'est donné les moyens de son impuissance politique, il repartira forcément la queue entre les jambes, pour se servir de prétexte à ses réformes libérales. Le but politique est évidemment qu'il y ait des dominants et des dominés dans un type de processus en faisceau. Une Allemagne dominante justifie la domination sur les autres pays de l'UE, mais aussi la domination des élites sur les dominés à l'intérieur de ces pays.
    Au sommet, nous sommes dans une construction de type religieux, les uns justifiant leur domination sur les autres par les autres dominations : si la domination est un processus normal, alors elle doit exister à tous les étages, jusqu'en haut, que ce soit Dieu, la Vierge Marie, ou la Main Invisible du Marché.
    Il n'y a pas d'autre idéologie politique chez les libéraux, puisqu'il est sous-entendu mais patent, que l'économique sert à la jouissance des dominants.

  • constant gardener 26 juin 2017 à 18:37
    Mais qu'attendre d'autre des médias [s]du régime[/s] subventionnés par le régime de Macron?

  • sandy 26 juin 2017 à 18:01
    Ce sommet européen n'est pas un combat contrairement à ce que laissent penser les différentes mises en scène.

    D'abord parce que tout est décidé bien avant ce "sommet" et tout continuera de se décider bien après. Il n'y a pas eu de vote à ce que je sache.

    Ensuite parce que nous avons des protagonistes qui sont sensiblement sur les mêmes lignes politiques. Et toutes leurs divergences affichées ne sont en réalité que des désaccords à la marge. Sur l'essentiel ils sont totalement d'accord.

    Et ça on ne le souligne pas assez.

    Aussi, s'il ne s'agissait que de com et de comportements puérils (chacun espérant tirer la couverture pour lui pour soigner son image), alimentant les commérages de la cour et de ses aristocrates, on pourrait s'en foutre. Mais malheureusement ces mises en scène ont la désagréable conséquence d'alimenter artificiellement les nationalismes bien souvent, et ça c'est un peu plus dérangeant.


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