sleepless 14 août 2014 à 00:08
Orwell ou l'horreur de la politique, remarquable bouquin.

Lucas Taïeb 13 août 2014 à 10:34
Juste en passant : un peu étonné, quand j'entends à la radio parler ces jours-ci des "intellectuels de gauche qui étaient tous maoïstes", de ne jamais entendre rappeler l'existence de Guy Debord, qui fut pourtant à l'avant-garde de l'anti-maoïsme.

MORASSE 13 août 2014 à 10:28
S'il est encensé aujourd'hui, c'est souvent du bout des lèvres. Le Monde a préféré en faire des tonnes sur le marchand de glaces Bertillon... ah ah ah ! Reusement, Laureen Bacall vient tout sauver. Bonne journée...

Al Ceste 13 août 2014 à 08:26
Déstabilisée, Macciocchi peine à répondre. Une passe d'armes qui a coûté cher à l'auteure italienne : les ventes de son livre ont "cessé net", selon Libé.

Ah ce n'est pas notre décolleté masculin qui aurait été déstabilisé, lui. Vous pouvez bien démonter toutes ses impostures, BHL vend toujours autant.

Faut dire qu'il a en France ce que n'avait pas Macciocchi : un réseau d'obligés.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 12 août 2014 à 20:37

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Alain Korkos 12 août 2014 à 20:28
Sous son vrai nom de Pierre Ryckmans, Simon Leys a traduit et longuement annoté Les propos sur la peinture du moine Citrouille-amère. J'en avais un peu causé par là.

un_et_un_font_trois 12 août 2014 à 17:01
Je pense qu'un rappel de ses démêlés avec le gouvernement belge, en particulier les affaires étrangères n'eût pas été superflu. D'autant que ses enfants en payent aujourd’hui encore le prix, et sans doute pour le reste de leur vie.

Julot Iglésias 12 août 2014 à 16:51
La video de la confrontation entre Simon Leys et Maria Antonietta Macciocchi est pathétique.
On est en même temps heureux de voir triompher la vérité et accablé au spectacle de l'aveuglement auquel peuvent conduire le militantisme et le besoin de certitudes.