sandy 4 mars 2014 à 20:41
Cela met bien en évidence qu'en France un député propose arbitrairement des lois, alors que dans une démocratie le député est quand même censé représenter des gens.
On a déjà pu observer l'absurdité d'un gouvernement qui propose des lois en réaction à l'actualité.
Voilà maintenant un député qui propose des lois pour répondre à des accusations publiques.

claude315 4 mars 2014 à 09:55
Toute cette mascarade n’est possible que par la cupidité des médias qui donnent un échos sans précédent à ce non évènement. Je rêve d'une salle vide de médias malgré convocation, sachant par avance qu'ils n'auraient rien à nous dire.

IT 4 mars 2014 à 02:42
Chiche donc ?

Pour : 4
Contre : 180

On se croirait en Suisse.

Fan de canard 4 mars 2014 à 00:57
L'est cuit, le gaillard. Reste à savoir quels autres dominos risquent de tomber, il est pas du genre à oublier les copains.
Je me demande si le plus risible, avec ses propositions de mesures dont il serait le premier, en dehors de ce contexte, à voter contre; n'est pas qu'il se croit toujours au gouvernement.
Pauvre UMP, j'imagine que ce ne devait pas être déjà facile avec des gens comme Lefevre, Morano, Bertrand, Balkany...
Il n'a pas volé son titre de président du parti finalement, il est comme un poisson dans l'eau.

emilie bouyer 3 mars 2014 à 21:22
C'est la comedia del arte, grand guignol, télé réalité....Le champion toutes catégories s'appelle Copé, tellement pathétique qu'il en devient drôle.Sera pas président, le monsieur, ça c'est sûr...

Julot Iglésias 3 mars 2014 à 20:32
Journalistes fâchées avec l'orthographe :

[quote= Fabienne Sintes - Radio France]
Je ne rendrais (sic) le pot de de confiture que lorsqu'on aura compté combien de doigts il y a dedans.

[quote= Charlotte Chaffanjon - Le Point]Cette histoire de comptabilité mise à dispo dans une pièce sous scellée (sic) est incroyable.

JC2 3 mars 2014 à 19:46
En gros ce que dit Copé, c'est qu'il ne donnera les comptes de son parti (on se souvient de comment c'est devenu son parti, d'ailleurs) que si les deux loi sont votées, lois qui l'obligeront à donner ses comptes de toute façon.
Si j'étais parlementaire socialiste, je proposerai la loi numéro 2 pour la transparence totale des partis, et j'enterrerai la 1. Juste pour enquiquiner le monde (à l'UMP, pas au journal).

Sur que le PS verrait d'un bon oeil la publication de ses comptes...

Malagom 3 mars 2014 à 19:44
Pauvre Copé, il doit être vraiment à la ramasse, pour nous sortir de telles calembredaines.

consensus 39 3 mars 2014 à 19:39
NPA, Charlie Hebdo, Le Point , gauchistes de tout bord... continuez sans vergogne votre entreprise de diffamation sur le dos d'un homme politique digne et intègre, Mr Jean François Copé, un homme pétri de convictions qui dérange les gagne-petit, les rabougris, tous ceux qui n'ont pas encore compris que le maire de Meaux était le seul capable de redresser un pays livré à la vermine communiste interventionniste et à des journalistes qui n'ont aucune déontologie.
Un jour, vous regretterez d'avoir sali l'honneur de Mr Copé, citoyen exemplaire qui retrouvera bien vite sa dignité, quand les médiocres se seront tus devant les preuves irréfutables de son honneteté, preuves qui seront étalées à 20 heures sur le plateau de vrais journalistes comme Mr Pujadas ou Madame Claire Chazal.

Mr Copé, ne baissez pas les bras, nous sommes nombreux à vous soutenir !

charlie.lapared 3 mars 2014 à 19:38
Je crois que le tour de passe-passe de Copé est loupé... on a vu les cartes qu'il essaie de cacher dans ses manches...
Pauvre mec ! Pain au chocolat, tous à poils et maintenant transformer Giesbert en pauvre victime... c'est vraiment loupé de chez loupé ;o)

CC 6500 3 mars 2014 à 19:05
mais qu'est ce qu' on s'en br...de ce pauvre Copé !

olivier vasseur 3 mars 2014 à 19:01
Notez que, dans l'affaire, M. Copé a fait un heureux : l'huissier charger de poser les scellés garantissant la transparence des comptes. Et oui, c'est une profession dans laquelle on a guère l'occasion de rire.... "la transparence sous scellés", c'est la première blague d'huissier dans l'histoire de la profession.