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  • kiki22 21 août 2016 à 21:18
    Cette journaliste me paraît bien crédule sur les mouvements extrémistes islamiques, elle est américaine ou bien n'a-t'elle jamais contacté d'universitaires spécialistes du sujet ?

    Et puis depuis quand l'EI a fait moins de mort que le régime syrien dans cette guerre ?

    D'après les chiffres le bilan meurtrier est largement partagé des deux cotés !

  • cristobool 10 août 2016 à 23:08
    Article intéressant, mais du coup on aimerait savoir après un an de travail ce qu'il y a dans ces fameux documents !

  • * * * Stanley MILGRAM™ * * * Soumis à aucune autorité 10 août 2016 à 09:15
    Rukmini Maria Callimachi a égallement écrit dela poésie :
    'The Anatomy of Wildflowers'
    Traduction Google

    Le premier jour de l'été, ma grand-mère
    plonge ses mains dans les organes secrets
    de la terre, et tire des fleurs -

    un trandafir, roumain rose, un pissenlit
    et la violette. Ses mains ne sont pas tendres,
    comme les pétales de cette sauvagerie earthís.
    Je suis toujours envie de toucher leur brusquerie.

    Dans Brashnov, nous nous réunissons ce que nous pouvons trouver
    puis marcher sur le chemin à Poiana.
    Elle tient des fleurs sauvages et je saisit
    les plis mouvants rapidement de sa jupe.

    Dans la cuisine, ma grand-mère lave le foie
    de la violette. Avec un couteau à pain, elle coupera
    le pancréas de la rose. Je regarde par dessus son épaule
    comme elle se propage et ouvre la trachée
    du pissenlit et arrange les longues tiges

    dans un bol en verre. Tout le monde sait que je ne suis pas peur
    de cette anatomie. Je suis cinq ans, et ma grand-mère est grand
    et plein de mots.

    Sept étés, je suis douze
    et ma grand-mère est Tijuana.
    Il est Août et le cancer a déménagé
    de son sang à son foie et le médecin
    ouvre son corps comme la tige de la rose sauvage.
    Que sait-il de la fleur-picking-
    d'enlever le gros intestin de la jacinthe,
    de couper l'oesophage de l'Marygold?

    Ma mère est fière que je ne regarde pas.
    Elle dit que je serai un médecin, comme mon père,
    que je vais apprendre à regarder les touffes de cheveux
    tomber du pissenlit.

    Tout au long de la nuit, je suis assis par ma grand-mère
    et lui tenir la main, en lui disant les noms
    de fleurs en roumain: trandifir, labele,
    cristanteme. Ma grand-mère a renversé
    ses paroles comme les pétales de la aster sauvage.
    Elle doesn parler quand je lui le lilas apporter
    et de jasmin. Ses mains sont douces quand j'atteins
    de les toucher. J'ouvre sa paume, comme le cœur
    de la violette, et lui donner la moiteur
    de la douce, la terre sombre.

    On the first day of summer, my grandmother
    plunges her hands into the secret organs
    of the earth, and pulls out flowers –

    a trandifir, the Rumanian rose, a dandelion
    and the violet. Her hands are not tender,
    like the petals of this earthís wildness.
    I am always longing to touch their bluntness.

    In Brashnov, we gather what we can find
    and then walk the path to Poiana.
    She is holding wildflowers and I am grasping
    the quickly shifting folds of her skirt.

    In the kitchen, my grandmother washes the liver
    of the violet. With a bread knife, she will cut
    the pancreas of the rose. I watch over her shoulder
    as she spreads and opens the trachea
    of the dandelion and arranges the long stems

    in a glass bowl. Everyone knows that I am not afraid
    of this anatomy. I am five, and my grandmother is tall
    and full of words.

    Seven summers, I am twelve
    and my grandmother is Tijuana.
    It is August and the cancer has moved
    from her blood to her liver and the doctor
    opens her body like the stem of the wild rose.
    What does he know of flower-picking-
    of removing the large intestine of the hyacinth,
    of cutting the esophagus of the marygold?

    My mother is proud that I do not look away.
    She says I will be a doctor, like my father,
    that I will learn to watch the clumps of hair
    fall off the dandelion.

    All through the night, I sit by my grandmother
    and hold her hand, telling her the names
    of flowers in Rumanian: trandifir, labele,
    cristanteme. My grandmother has spilled
    her words like the petals of the wild aster.
    She doesnít speak when I bring her the lilac
    and jasmine. Her hands are soft when I reach
    to touch them. I open her palm, like the heart
    of the violet, and give her the wetness
    of the sweet, dark earth.

  • abracadabra 9 août 2016 à 20:01
    Très bon article en effet, même si j'ai quelques doutes sur sa story telling concernant la récupération des documents (mais c'est sans doute parce que j'ai mauvais esprit)...

  • Al Ceste 9 août 2016 à 19:05
    Dans les « étrangetés » (pour ne pas dire autre chose) de cet État, c'est que son projet n'a rien à voir avec ce qui habituellement caractérise une civilisation : un art (mot pris au sens le plus large), une littérature, une architecture (des temples grecs aux pyramides aztèques en passant par les cathédrales et les bouddhas de Bamyan). Liste non limitative.

    Leur seul projet : détruire tout ce qui n'est pas eux.


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