Paddy 5 mai 2017 à 10:09
Avec tout ce que compte l'édition comme ouvrages de référence, aller chercher "Métronome", c'est comme s'en référer à "Jours de France" pour analyser l'histoire politique des années soixante.

patrick 5 mai 2017 à 10:05
Laurence De Cock parle d'une accumulation d'erreurs ? Alors qu'elle n'en pointe que très peu et surtout par des tweets ! Polémique sans intérêt ou alors il fallait répondre par un article.

rimbus 4 mai 2017 à 02:44
Comment peut-on se revendiquer historien "de gauche" ? Soit on est historien, donc chercheur impartial, objectif, honnête, et quand on a fini son boulot on vote comme on veut, ça ne regarde personne, soit on est un propagandiste qui raconte une histoire biaisée pour des raisons idéologique.
Je dois être naïf ou alors je n'ai pas compris ce que vous entendez par historien de gauche.

M_ 3 mai 2017 à 20:15
Je suis pas abonne au figaro, comment je fais pour lire l'article original ?

Strumfenberg ( Aloys von ) 3 mai 2017 à 18:40
Ben flûte alors ! On a besoin de repères, on compte sur les repèrologues que sont, entre autres, les historiens, et qu'est-ce-qu'on a ? Du sable ! Rien de stable ! Je veux des racines, je veux une identité qui bouge pas ! Chuis pas un Juif errant !