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  • MartinMartin 16 avril 2018 à 10:56

    "Initialement, je pensais partir sur le risque des fermetures de petites lignes, mais ...ma rédaction en chef m’a demandé de partir plutôt sur une famille qui doit changer son programme."   tout est dit,  la journaliste s'est pliée à la demande du journal et a agi pour donner un produit conforme à la demande.  Quand les cheminots font gréve, ils se font incendier par la presse éditorialiste aux ordres, mais quand la presse aux ordres se fait huer, il faudrait compatir ? 

  • ManuTOO 15 avril 2018 à 17:48

    << Dans un autre tweet la journaliste insiste encore : "Ce que je demande, c'est de replacer mon boulot dans son contexte, et de ne pas me faire insulter!"  >>


    En 1ère lecture, tête en l'air, j'avais zappé le mot "journaliste" et j'avais donc été persuadé que l'auteur était un conducteur-de-train-priviligié-comme-c'est-pas-permis-et-qui-en-plus-emmerde-le-monde-à-faire-la-grève.


    Surpris par le possible léger hors-contexte, j'ai relu et donc non, c'était en fait la journaliste.


    Je pense que sa phrase résume bien le fond du problème. Si maintenant l'ensemble des journalistes du monde pouvait appliquer sa demande à l'ensemble des sujets qu'ils traitent, et bien l'humanité aura fait un grand pas... :-)

  • Kadiz 14 avril 2018 à 10:08

    Elle veut rien dire la conclusion de cet article... Ca vous dérangerait de produire une once d'analyse?

  • Yanne 13 avril 2018 à 23:38

    "Au final ça n’a pas abouti, c’était un lundi de Pâques, les gens n’était pas joignables".


    Ou plus probablement, ils avaient tous pris le train pour aller en vacances, en tenant compte des jours de non-grève, et ils se prélassaient loin de Twitter.

    Et donc les gens qu'ils disaient chercher n'existent pas. Simple lubie de journaliste...

    Ou préjugé de droite...


  • evemarie 13 avril 2018 à 18:06

    et ça ça dérange personne ? 'ma rédaction en chef m’a demandé de partir plutôt sur une famille qui doit changer son programme."' enfin , des le départ y'a forcément des familles qui ont envie de raconter leur déboires , s'ils en ont. Vous savez que Sarko a fait une lois restreignant le droit de greve , du coup y'a des trains, plus chiant de trouver des mécontents de la greve, et je tracts pour les services public et les gens veulent les garder sauf certains (pas bcp) des vieux mâles, ou des sans enfants , ce sont qq les seuls qui veulent du Macron , pas étonnant ils ont voté massivement pour lui ... 

  • jean-françois copé-décalé 13 avril 2018 à 15:33

    La défense d'Aude Vernuccio est pitoyable. La critique ne portait pas sur la distribution de la parole, éventuellement déséquilibrée au profit d'une des parties prenantes du conflit, mais sur la méthodologie de son reportage qui a consisté à s'appuyer sur des présupposés et un cadrage réducteurs (lézusagers gênés par la grève pauvres enfants ils ne partiront pas en vacances) pour ensuite chercher de braves gens aptes à remplir cette case dont elle avait préalablement tracé les contours.

    C'est si difficile que ça à comprendre ? Et si douloureux d'admettre que ce genre de pratiques pose un problème déontologique ?


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