-
Max Médio
Bravo Coline
Excellent !
Un Rastignac, un Bel Ami, ... ?
C'est du Labiche - oh ma biche ?
Sauf qu'avec les NTIC, l'histoire va beaucoup plus vite et que ça ne remplit plus qu'une seule page.
Forcément la vie en 124 caractères du gendre est aussi vide que rapide...
Manquerait plus qu'un orage magnétique efface tout.
Pas pour rien que les USA ont peur de Kim Jong Un.
-
Jayraymie
Grably travaille pour son beau père. Pas les meilleures conditions d'indépendance et de neutralité journalistique. En même temps, ils s'en moquent puisque le journalisme n'est juste devenu qu'une déclinaison du métier de chargé de comm dans ces groupes de presse.
-
isaton
Un travailleur du sexe en somme, non ?
-
JD
J'ai voté pour que l'article soit plus visible, hé hé.
Il manque juste les brushing pour être dans Dynasty.
-
Thomas
Merci pour la chronique. Laissons la bronca bronquer et merci pour votre travail!
Mais ça :
"Même si ceux qui ont fait "monter" le jeune journaliste (...) nous affirment (...)que c'est pour ses seules qualités professionnelles, qui est dupe ?"
Ca c'est en creux la limite d'@si. Si vous aviez démontré un népotisme, vous l'auriez claironné. Là non, alors vous vous rabattez sur le clin d'oeil, "personne n'est dupe". Pile je gagne, face tu perds. Préjugé renforcé quel que soit le résultat de l'enquête. Qui devient de facto inutile journalistiquement (certes, elle peut résiduellement faire office de stabilo ou de friandise). C'est bien sur @si qu'on a des chroniques sur le biais de confirmation, non ;) ?
Je précise que je ne critique pas l'enquête mais la lecture que vous en faites ce matin,et qui, je trouve, lui met une balle dans le pied. Et oui, j'imagine bien que la vie privée de ce journaliste n'a pas du le desservir. Mais ce "personne n'est dupe" me semble vraiment critiquable, précisément parce qu'il à vocation à vous dispenser de toute réponse aux critiques. Vous penserez que je chipote, mais hier, sur Twitter, vous avez répondu au journaliste "Les lecteurs jugeront". Je préfère ça à "personne n'est dupe". Qui, au passage, fait passer les éventuels non convaincus pour des benêts. Si vous voulez bien, on va se faire notre opinion nous-même, merci.
Un petit commentaire au passage : cette chronique n'aurait pas eu lieu s'il n'y avait pas eu quelques vaguelettes à votre endroit sur Twitter. Ca donne une idée de l'importance de la bronca. Je ne suis pas sûr que le miroir déformant qu'est ce réseau numérique, et les petites blessures d'égo qu'il suscite, ne vous aveuglent pas un peu .
Et pour finir : oui, merci de l'avoir dit au détour d'une phrase, la transparence est critiquable ou pas, chez tout le monde, y compris à @si. A la lueur de ce genre d'enquête, avez-vous en interne une discussion sur ce qui peut être amélioré chez vous, toutes proportions gardées bien sûr ? On aurait bien aimé lire ça.
-
Pince-mi sophiste de passage
Tout ceci rappelle furieusement ce qu'écrivent les Pinson-Charlot sur la consanguinité dans la tribu des happy few qui tiennent le manche.
-
Le Radoteur
"...Puis j'ai demandé à Alain si ça l’embêtait que je prenne le poste. Il m'a répondu 'Je ne m’y opposerai pas'", raconte l'heureux recruté.
Puisqu'il vous dit que cela n’embêtait pas son beau-père. Vous voyez le mal partout.
On ne peut même pas dire : <il ira loin ce petit>. Puisqu'il a déjà pas mal avancé.