Qosmos, la start up française accusée de complicité de torture en Syrie

Vincent Coquaz - - 8 commentaires

Après les sites spécialisés, la presse traditionnelle se penche sur le dossier

Une société française, qui travaille pour les services de renseignement français et qui a été soutenue par des fonds publics français, accusée de "complicité d'actes de torture" en Syrie. @si fait le point sur un dossier défriché depuis trois ans par les sites spécialisés en sécurité informatique Reflets ou Owni, et suivi de près par Le Monde depuis l'ouverture du volet judiciaire début 2014.

L'enquête sur le rôle qu'aurait joué la société Qosmos dans la fourniture de matériel informatique d'espionnage au régime de Bachar Al-Assad en 2011, progresse... doucement rapporte Le Monde, qui a "pu la consulter". Cette information judiciaire a été ouverte en avril 2014, par le pôle "génocides et crime contre l'humanité" du Tribunal de grande instance de Paris, suite à une plainte déposée en 2012 par la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH) et la Ligue des droits de l'homme (LDH). Selon ces dernières, Qosmos a aidé à "parfaire les moyens de répression [du régime syrien] &a...

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