Pschit, abracadabrantesque : quand Chirac répondait sur les "affaires"
La rédaction - - 41 commentairesBréviaire de l'esquive télévisée
Les affaires rattrapent (enfin ?) Jacques Chirac. Après toutes ces années, c'est finalement celle des chargés de mission de la Ville de Paris qui devrait amener l'ancien président de la République devant le tribunal correctionnel, pour "abus de confiance" et "détournement de fonds publics". Cette décision, prise par la juge Xavière Siméoni, est le point d'orgue de quinze années d'affaires politico-judiciaires visant les mandats de l'ancien maire de Paris. Quinze années marquées aussi par des interviews présidentielles, dans lesquelles les affaires ont été abordées, parfois longuement. Comment les journalistes interviewaient-ils le président d'alors sur ces questions ? @si a ressorti ses archives.
Les affaires rattrapent (enfin ?) Jacques Chirac. Après toutes ces années, c'est finalement celle des chargés de mission de la Ville de Paris qui devrait amener l'ancien président de la République devant le tribunal correctionnel, pour "abus de confiance" et "détournement de fonds publics". Cette décision, prise par la juge Xavière Siméoni, est le point d'orgue de quinze années d'affaires politico-judiciaires visant les mandats de l'ancien maire de Paris. Quinze années marquées aussi par des interviews présidentielles, dans lesquelles les affaires ont été abordées, parfois longuement. Comment les journalistes interviewaient-ils le...