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poisson
Quand on n'a jamais entendu le mot incel de sa vie, on se sent incapable de lire cette article.
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Kankolongo
« En se concentrant sur la psychologie ou la psychiatrie, c'est comme si la misogynie disparaissait, ou était excusée »
Je rappelle que le recours à la psychologie, à la psychiatrie, à la sociologie, à l’histoire, etc., est une tentative de trouver une explication, de comprendre le mécanisme qui mène un individu à se comporter de telle ou telle manière, et non d’approuver ni d’excuser ledit comportement. Il en a été question abondamment sur ce forum à propos du refus de contextualisation historique du 7 octobre 2023.
À part cela, remplacez masculinisme par “racismeˮ et vous retrouverez les mêmes biais médiatiques, le même type de discours, d’attitude de minimisation, etc. Je pense qu’il est quasi impossible d’être “racisteˮ, d’extrême droite, et ne pas être misogyne. Il s’agit de gens qui ont un problème avec la différence.
Il reste, pour moi, à comprendre comment s’articule le “racismeˮ, la vision extreme-droitiste du monde chez les femmes “racistesˮ, avec la différence sexuelle.
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Fenriss Asgard
De mémoire au canada ils avaient vachement minoré les premiers attentas Incels, allant jusqu’à taire le fait que les victimes étaient uniquement des femmes. Heureusement que les féministes ont gagné, qu'est-ce que ce serait sinon....
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Asinaute sans pseudo 398e6
> Depuis les attentats de 2015 en France, la manière dont on se représente le fait terroriste est réduite à l'islamisme
Cela etait vrai il y a peu encore mais maintenant, le mot est utilisé pour parler de l'éco-terrorisme ou de simple greve, de mouvement de gauche en general.
L'impossibilité de qualifier ces actes mascus comme terroristes ne vient donc pas, a mon humble avis, d'une association necessaire à l'islam, mais du fait que dans le fond, les medias qui en parle ne sont pas fondamentalement en desaccord (il suffit de lire Causeur ou Cnews pour voir comment le mouvement #MeToo y est qualifié)
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Docteur Panel
Merci pour cet article sur ce phénomène glaçant. Je suis surprise de n'y voir aucune allusion aux suprémacistes (façon A. Breivik) alors que j'ai le sentiment (sans avoir creusé le sujet) qu'il y a une grande proximité entre ces deux mouvances, tant dans leurs mobiles que dans leurs dérives terroristes.
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Architruc d'Autruche
En se concentrant sur la psychologie ou la psychiatrie, c'est comme si la misogynie disparaissait, ou était excusée.
Les analyses qui mettent de côté la psychologie et la psychiatrie m'ont toujours parues suspectes.
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Ivoire
Ce n'est pas que lié à "Me Too". Pour rappel, La tuerie masculiniste au Québec en 1989.
Et un tres beau documentaire sur France.tv Mascus, les hommes qui détestent les femmes
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Max Médio
Le catalogue s’étoffe. Comme s’il n’y avait pas déjà assez de cons en politique, il faut qu’il s’en crée toujours et encore de nouveaux. La capacité créatrice de l’ineptie est intarissable. On va bientôt manquer de papier ou de bande passante devant l’énormité du phénomène.
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Cyril Lacaud
Stéphanie Lamy et l'affaire Fact and Furious, pour moi ça disqualifie totalement cette personne. Interview pour le Figaro (affaire Peltier-Lamy) – La Menace Théoriste (menace-theoriste.fr)
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Eliane Daphy
« Stephanie Lamy, chercheuse spécialisée sur les discours de désinformation et experte des masculinismes » Merci de qualifier correctement vos sources / intervenantes-intervenants. Merci de cesser de qualifier de "chercheuse ou chercheur" des gens qui n'ont ni fonction ni titre ni diplôme, aucune appartenance au monde de l'ESR (recherche et enseignement supérieur). Vous embrouillez votre lectorat avec ces imprécisions. Stephanie Lamy n'est pas «chercheuse spécialisée», qualifier cette dame de "spécialiste" "experte" ou alors ajouter "chercheuse free-lance ou indépendante". Vous reproduisez ces erreurs constantes dans les médias pour gonfler l'importance des intervenantes & intervenants. Ne pas être précis sur les titres et fonctions revient à enfumer les lecteurs/auditeurs en ne leur permettant pas de situer correctement le discours.
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john z'guéner
Patriarcat médiatique....
En plus de minimiser les actes et la violences du mouvement, la manière de le présenter le dissocie complètement de l'extrême droite (cela ne semble en fait pas du tout avoir été évoqué), à laquelle les masculinistes sont pourtant très liés. Double invisibilisation: celle des violences et des victimes, et celle du projet politique.
Pourtant, ce ne sont pas les figures d'extrême droite masculinistes qui manquent. Comment expliquer cet absence de lien entre les deux mouvements, si ce n'est par l'extrême droitisation des médias? Il y a alors une sorte de bienveillance, qui amène non seulement à minimiser l'extrême violence de ces hommes, et leur haine, mais également à taire leur penchant politique.