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ManuTOO
"le juge fait une balance entre tous les intérêts en présence : les intérêts des victimes et l'intérêt général".
Nommer les victimes n'a quasiment aucun intérêt général mais peut causer un énorme préjudice aux victimes et aux futures enquêtes.
Cet argument est complètement lunaire.
Comment le juge a-t-il pu suivre la défense ?
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Mag
ça parait très important de compléter l'article. Verley et Saporta sont approximatifs dans leur défense, c'est très moche.
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Wisssh
Questions : comment un PV d'audition devient-il accessible à un journaliste ? Est-il légal d'en divulguer le contenu ?
J'imagine que c'est une des "armes" d'un journaliste d'investigation.
Dès lors, la question n'est plus juridique, mais morale.
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Ah bon !
En rapport avec la dernière émission où j'ai pu " apprécier " de trois hommes journalistes leur soucis du respect des sources politiques, des "off" qu'il leurs sont confiés. Va falloir apprendre du côté des victimes à spécifier "c'est du off" lors du dépôt d'une plainte.
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Traroth
Qu'apportent le fait de citer des noms de victimes qui ne veulent pas être nommées à son livre ? C'est scandaleux. Et la justice valide cette agression ? Ca créé effectivement un précédent très dommageable, et on peut s'attendre à ce que dans les prochaines années, les victimes hésitent encore un peu plus à prendre la parole et à s'adresser à la police et à la justice, puisqu'on ne peut pas leur faire confiance.
Il y a quand même un fait indiscutable dans cette affaire : quand un policier ou un magistrat vous dit que votre témoignage ne sera pas divulgué publiquement, ça n'est pas vrai ! Encore un rappel que notre police et notre justice ne sont pas dignes de confiance.
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Ata Raxie
Plutôt qu'un livre-enquête, certaines préfèreraient un mandat d'arrêt et un ordre d'écrou....
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Ah bon !
Ah, enfin, un journaliste qui ne pratique pas le "off " !