ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Caym 6 février 2014 à 12:13
    Je suis peut-être à côté de la plaque mais c'est en premier lieu madame Bettencourt qui a engagé des domestiques, c'est elle qui laisse entrer des gens dans sa vie privée (les petites mains ne sont peut-être que des meubles après tout).

    Je demande comment qu'elle aurait été la réaction de la cour à propos d'un enregistrement pirate d'un grossiste de drogue sur ses méthodes de blanchiment fait par un petit dealer, vie privée ?

  • poisson 6 février 2014 à 07:16
    Si j'ai bien compris tout s'est arrangé "à l'amiable", le linge sale s'est lavé en famille. La justice a nonlieuté tout ça.
    Reste une estocade à médiapart (et le majordome peut-être, je ne sais pas?) pour achever de mettre toute la poussière sous le tapis. La question est de savoir jusqu'où le rôle de la justice est d'encourager ce qu'on ressent comme une certaine occultation. En bref sans ces enregistrements et leur exposition sans détours, quoi? Abus de faiblesse et détournement fiscal, a minima.

  • JC2 6 février 2014 à 02:52
    Curieux d'avoir l'avis de la Cour européenne, mais ça va prendre des années...

    Une chose qui n'est pas claire pour moi dans cette affaire, c'est si Médiapart aurait été tout autant condamné s'il avait publié des articles sans diffuser les enregistrements, mais en les citant comme source ? Plenel justifie la publication des enregistrements comme élément permettant à ses journalistes de prouver la véracité des faits, mais il pouvait tout autant se réfugier derrière une formule du type "des enregistrements que nous avons pu consulter blablabla", comme pour n'importe quel autre document que les journalistes ont plus ou moins légalement (PVs et autres fuites judiciaires entre autres). L'effet aurait été largement moins fort, je comprend le choix de médiapart, mais quid de l'aspect légal de la chose ?

    Quant à l'argument de l'avocat général, exprimé comme ça je ne le comprend pas dans le cadre d'une QPC. Que le législateur ait choisi de protéger la vie privée, admettons, mais ce qui compte ici c'est de savoir si le législateur est en conformité avec la constitution, pas ce qu'il a souhaité protéger.

  • Fan de canard 6 février 2014 à 01:15
    Bataille perdue, ou manche perdue, David ? Ce n'est pas la même chose, il faut choisir.
    Tout mon soutien à Mediapart dans cette affaire.


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.