-
Athanase Broutechoux
"Lui n'en démord pas: c'est prendre le sujet par le petit bout de la lorgnette" (lui = Macron)
Ce président n'a sans aucun doute jamais regardé au travers de jumelles ou de longue vue, sinon il saurait, de toute éternité, que pour bien voir et justement au loin, il est préférable de regarder par le petit bout de la lorgnette.
Lui se contente de regarder par le gros bout et il ne voit rien, que du flou, du gros flou et rien de compréhensible.
C'est bien la peine d'avoir pour épouse une prof de français à la retraite !
-
Brenda Relax
La tête à toto, poudre de perlimpinpin etc... Macron l'Enfant aime utiliser des expressions liées à l'enfance pour qualifier les positions d'opposants. Si ça ce n'est pas du mépris et de la fuite sur le fond...
Ce type est un détestable vendu, j'en ai la conviction depuis que j'ai appris l'histoire avec le SRM avant même 2017. Et chaque jour ses actes et paroles me confirment dans ma conviction.
Heureusement qu'il est bien protégé par les institutions, dont les médias.
Sinon vous avez vu ? Multplication des articles sur les parasites qui profitent des alloc' en ce moment, ça sent les articles commandés pur préparer le terrain. La télé s'y est aussi mise avec entrain, comme LCI.
-
MainInvisible
Les journalistes qui ont rapporté le 'bonne' parole jupitérienne vont-ils être poursuivis d'avoir brisé le secret défense de ce Conseil de défense de l'apensée (a : préfixe privatif) de notre petit marquis poudré.
-
Cobalt 60
L'UE adopte une taxation des super profits. J'ai hâte voir par quelles contorsions not' bon roi et son ministre de l'économie vont parvenir à retourner leurs vestes.
-
Ke-sais-je
" Off " : jamais , Not' Président ( dit le Bien-aimé ) est le Roi des " on "....
( et jamais , on détrône ce Roi )
-
poisson
Je me suis demandé à quand remontait la création de l'APP.
On imaginerait un truc récent tant on voit l'association au service du pouvoir.
Non pas du tout. Créée lorsque la presse, contre pouvoir effectif, avait besoin de se défendre face au pouvoir (voyage d'Émile Loubet en Russie 1902, ça nous rajeunit pas), formalisée en 1928 (alors que l'on nommait "ministère de la propagande" le "ministère de l'information" de Giscard, supprimé par Mitterrand).
C'est la presse qui a changé.
Le parterre des journalistes, le parterre des députés, des sénateurs et autres élus de droite (incluant quelques soi-disant de gauche) étaient parterre avant, prêts à accepter qu'on nous mange tout crus. Chacun d'eux enlève, et non pas met, sa pierre à l'édifice et, en leur for intérieur, doivent penser Macron nous aide pas.., on fait avec car ça permet de se cacher, mais sans nous il ne tiendrait pas 5 minutes!
-
DéLecteurdeVraiThé
Commentaire en OFF :
Je lis l'article et arrivé à "La preuve encore samedi prochain, avec le lancement officiel de son grand parti présidentiel, Renaissance" j'éclate de rire
un parti qui n'en finit pas de se renommer et de renaître, c'est le mythe du phénix
vous l'avez vu notre phénix qui se prend des tartes en "ON" dès qu'il ouvre la bouche ou appelle Poutine ou va voir les copains d'Arabie Saoudite
-
Odyssée
Merci Paul pour cette analyse rafraîchissante... on reconnaît bien là l'art de la manipulation si bien décrit dans "le traître et le néant", dont je recommande une fois de plus la lecture. Suis curieuse de voir comment le manipulateur en chef va passer l'hiver. Il pourra faire du off tant qu'il voudra, d'autres feront du "on" - et pas que...
-
Rémi 973
Sachant que le off est intenable, ne cherche t'il pas simplement à tester son autorité auprès des journalistes ?
Identifier qui lui reste le plus fidèle ?
-
HBO
Ce qui est pratique aussi à travers la reformulation du "off", c'est de créer la confusion entre les positions d'un président et celles des journalistes de tous bords. Voire que le "off" serve d'amplificateur d'opinions (de part et d'autre !).
Les rédactions peuvent ainsi se cacher dans leurs colonnes derrière le doute (et vice-versa pour le président).
"Simple reformulation neutre ? Adhésion outrancière ? Caricature ?"
À la lecture des articles, la question peut aussi être :
"S'il y a parole d'autorité, de qui est-elle ?
Du chef d'État ou de cette grande rédaction que j'apprécie / que j'abhorre ?".
Implicitement, les lecteurs et lectrices peuvent accorder un crédit exagéré à la parole d'autorité choisie intérieurement, inconsciemment, arbitrairement. Bref, rien de factuel. Pratique donc, pour jouer sur la marge de doute face aux futures contradictions ou, à l'inverse, amplifier le propos face aux flagorneries, et déplacer le curseur sur ce qui plaira le mieux, déplaira le moins, ce sera selon, tout en évitant le débat réel sur le contenu. On imagine bien des "Ce n'est pas ce que j'ai dit" ou bien des "Je vous laisse apprécier en substance ce que j'ai dit".
On ne peut pas nier que ce président est 100% raccord avec notre ère médiatique actuelle : sous contrôle oligarchique, sans réel contenu sur lequel s'appuyer ... mais qui fait du buzz ! avec pléthore de fake news induites bien volontairement (ici avec la marge d'erreur des reformulations), des journalistes qui ont de moins en moins de droits pour informer et sont de plus en plus soumis à un "effort de guerre" : celui de la propagande ultralibérale à travers l'image lissée des puissants. -
Factory
Même en off ça pue le mépris et la suffisance. Il va falloir trouver autre chose...
-
JEAN FERRUC
Une personne qui refuse la contradiction est au fond de lui un despote. Le charisme ne se décrète pas, il doit etre mis à l'epreuve... Macron n'est qu'un coquelet qui la ramène.
-
Tatanka
L'exercice du pouvoir ne s'improvise pas. Mettez au pouvoir des pas doués...
-
Bartabac
Dommage qu'il n'y ait pas un bouton OFF ?AGNESSSSSSSSS........
-
Davesnes
Je vous recommande la lecture de "Bien entendu c'est off" de l'ancien journaliste du Monde Daniel Carton, dont voici quelques extraits.