GIGI 17 septembre 2013 à 18:59
parlez-en bien parlez-en mal mais parlez-en;
vive Ségolène Royal:
elle aurait été élue en 2007, les français ne seraient pas dans la panade
dans laquelle ils sont !

cva 8 septembre 2013 à 02:01
On s'intéresse aux propos de la dame, à la dame, ou à ce qu'évoque l'article, la confusion entre interview et "off"?
Le off, c'est un moyen de dire ce qu'on ne peut officiellement dire, non?
Qui manipule qui?
Soit la dame à tenu ces propos (1), soit elle ne les a pas tenus (2).
1. Elle sait qu'elle n'a rien à y gagner, surtout au Point, et qu'elle a déjà été obligée de démentir ; à ce niveau ce n'est plus de l'imprudence mais du suicide.
Mais on ne connaît pas l'usage du magnetophone ou du téléphone enregistreur, au Point? Trop de déontologie peut-être.
2. Elle ne peut se contenter de dire "je n'ai jamais dit cela": la journaliste n'est pas complètement mythomane ou idiote ; si elle a déformé ou sorti du contexte un propos, quel était donc ce propos?
Pour les propos tenus sur NVB, on voit assez comment SR a pu glisser une remarque légèrement méprisante en passant; et c'est devenu une perfidie une fois sorti de son contexte, ou plutôt de son cadre, celui d'une discussion informelle.
mais attaquer frontalement son camp comme cela?
L'idée du démenti qui n'en permet pas moins de faire passer le message reste la seule cohérente.
Sans compter le buzz, bon pour le journal comme pour la dame.
Sauf que normalement cela ne devrait marcher qu'une fois.
Merci à Sébastien de l'avoir rappelé.

Aline Marchetto 6 septembre 2013 à 14:01
Oh là non vous allez pas faire comme la presse mainstream parler des potins des diverses perruches politiques ou médiatiques, leurs amours, leurs humeurs, leurs petits twetts relayés sans fin, leur pôvre vie mise sur le net et tout le tra la la de leur vie qui n'interesse que les éditocrates.

EN plus Ségolène Royale ou pas n'a vendu dans son poitou natal que 60 livres signés de sa main. C'est dire la merditude ou elle se trouve en ce moment, sa non vie, sa non oeuvre, ses robes, ses escarpins, bref du papier gâché et des postillons envolés pour rien ..

Ok je te me tire ailleurs.

Manazo 6 septembre 2013 à 13:16
Le Figaro et Le Point ayant depuis longtemps démontré leur irréprochable honnêteté quand ils [s]s'attaquent à[/s] parlent du PS, on peut donc évidemment leur faire une confiance absolue. Jamais ils ne déformeraient des propos ou ne les sortiraient de leur contexte pour nuire aux adversaires de l'ump, jamais. (2nd degré, hein...)

Malagom 6 septembre 2013 à 00:21
Le pire c'est qu'elle n'a pas tort... Et même qu'elle a raison...

CC 6500 5 septembre 2013 à 20:09
la Vierge du Poitou!
La présidente du conseil régional ,qui fait monter sur un autorail des panneaux solaires pour faire marcher la pompe à eau des chiottes...,
en démonstration de sa marotte:"les transport doux"..!

Bracam 5 septembre 2013 à 17:48
Seki Sego, ola léga ?

morvandiaux 5 septembre 2013 à 16:57
fallait-il s'arréter sur l'image ?

smodel 5 septembre 2013 à 16:47
Reste que tout ce qui intéresse les journalistes locaux et nationaux ce sont les petites piques entre les personnalités, jamais le fond... en même c'est ce qui fait vendre...

Strumfenberg ( Aloys von ) 5 septembre 2013 à 15:54
Infinie complexité de la haute politique...Les noms de Machiavel, Montesquieu, Vico, Flodor nous viennent tout de suite à l'esprit.

Towand 5 septembre 2013 à 15:11
Franchement, tirer sur une ambulance...