ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • BIBI 20 décembre 2016 à 11:57
    "La petite Bana-al-abed et de nombreux enfants ont pu être évacués".
    En 44 les survivants des bombardements du Havre, de Lorient, de Caen et tant d'autres avaient des mines plus hagardes et des regards plus hallucinés. Ces enfants ont bonne mine, ne semblent pas avoir souffert de la faim, et ont l'air heureux. Ceux qui les accompagnent aussi.
    http://www.lemonde.fr/big-browser/article/2016/12/19/bana-al-abed-et-de-nombreux-autres-enfants-ont-pu-etre-evacues-d-alep_5051183_4832693.html

    Au Nigéria: la famine; dans le silence des médias et l'inaction des gouvernements.https://translate.google.fr/translate?hl=fr&sl=en&u=https://www.theguardian.com/world/2016/nov/16/75000-children-in-nigeria-could-starve-to-death-within-months-says-un&prev=search

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 17 décembre 2016 à 20:05

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • BIBI 17 décembre 2016 à 14:01
    Un petit rappel:
    Quatre millions de musulmans tués dans les guerres occidentales depuis 1990

    1ere Guerre du golfe (1991) : 200 000 morts en Irak
    Sanctions brutales contre l’Irak (1993-2001) : 1 700 000 morts en Irak
    “Guerre contre le terrorisme” (2001-2014) : 1 300 000 morts : 1 000 000 de morts en Irak , 220 000 en Afghanistan (estimation basse, d’autres sont bien plus importantes), 80 000 au Pakistan ; Yémen et autres pays non étudiés.

  • matd53 17 décembre 2016 à 12:28
    Pierre Le Corf gagne en crédibilité avec cette nouvelle vidéo :
    https://www.facebook.com/pierrelecorf/posts/10154989219614925

    La guerre médiatique prend de l'ampleur! J'ai l'impression que les grands médias sont en train de perdre, ça se voit dans les commentaires.
    Et Arrêt Sur Images se place du mauvais côté : au lieu d'analyser les biais de ces grands médias qui pensent détenir la vérité (grosso-modo en lisant Twitter depuis Paris ), ASI s'attaque à ceux qui les défient depuis la Syrie, sans réussir à démonter leurs arguments.

  • BIBI 17 décembre 2016 à 06:34
    Et réponse de Dominique Fernandez.
    http://www.academie-francaise.fr/reponse-au-discours-de-reception-de-m-andrei-makine

  • BIBI 17 décembre 2016 à 06:27
    Discours de réception de Andreï Makine à l'Académie française:
    http://www.academie-francaise.fr/discours-de-reception-de-m-andrei-makine
    Extrait:
    Comme tous les livres engagés, les romans d’Assia Djebar éveillent une large gamme d’échos dans notre époque. Ces livres parlent des massacres des années cinquante et soixante, mais le lecteur ne peut s’empêcher de penser au drame qui s’est joué en Algérie, tout au long des années quatre-vingt-dix. Nous partageons la peine des Algériens d’il y a soixante ans mais notre mémoire refuse d’ignorer le destin cruel des harkis et le bannissement des pieds-noirs. Et même les mots les plus courants de la langue arabe, les mots innocents (le dictionnaire n’est jamais coupable, seul l’usage peut le devenir), oui, l’exclamation qu’on entend dans la bouche des personnages romanesques d’Assia Djebar, ce presque machinal Allahou akbar, prononcé par les fidèles avec espoir et ferveur, se trouve détourné, à présent, par une minorité agressive – j’insiste, une minorité ! – et sonne à nos oreilles avec un retentissement désormais profondément douloureux, évoquant des villes frappées par la terreur qui n’a épargné ni les petits écoliers toulousains ni le vieux prêtre de Saint-Étienne-du-Rouvray.

    Il serait injuste de priver du droit de réponse celle qui ne peut plus nous rejoindre et nous parler. À la longue liste des villes et des victimes, la romancière algérienne aurait sans doute eu le courage d’opposer sa liste à elle en évoquant le demi-million d’enfants irakiens massacrés, la monstrueuse destruction de la Libye, la catastrophe syrienne, le pilonnage barbare du Yémen. Qui aurait, aujourd’hui, l’impudence de contester le martyre de tant de peuples, musulmans ou non, sacrifiés sur l’autel du nouvel ordre mondial globalitaire ?

    Assia Djebar ne pouvait ne pas noter cette résonance soudaine que suscitaient ses œuvres. Ainsi, dans son discours de réception à l’Académie, se référait-elle à... Tertullien qui, d’après elle, n’avait rien à envier, en matière de misogynie, aux fanatiques d’aujourd’hui. Que peut-on répondre à cet argument ? Juste rappeler peut-être que nous vivons au vingt et unième siècle, dans un pays laïc, et que presque deux millénaires nous séparent de Tertullien et de sa bigote misogynie. Est-ce suffisant pour que certains pays réexaminent la place de la femme dans la cité et dans nos cités ? Et que les grandes puissances cessent de jouer avec le feu, en livrant des armes aux intégristes, en les poussant dans la stratégie du chaos, au Moyen-Orient ?

  • Jack 16 décembre 2016 à 22:09
    Et ce que faites-vous de ce témoignage d'une journaliste britannique Vanessa Beeley, vous allez la décrédibiliser elle aussi? Après Eva Bartlett et P. le Corff, elle non plus ne chante pas la même chanson que nos médias bien informés!
    https://m.youtube.com/watch?v=R87yEY_s2xk

  • Vincent Coquaz 16 décembre 2016 à 17:57
    "Mais toi, « camarade », tu te pares de vertus « progressistes », « anti-impérialistes », voire « socialistes », « communistes » ou même « révolutionnaires ». Et c’est au nom de ces vertus que tu tentes de nous convaincre aujourd’hui qu’il ne faut pas se tenir résolument aux côtés de la population d’Alep assiégée et massacrée, et qu’il ne faudra pas se tenir demain aux côtés des populations des autres villes syriennes déjà assiégées et bientôt massacrées."

    http://resisteralairdutemps.blogspot.fr/2016/12/massacres-alep-lettre-un-camarade-qui.html par Julien Salingue (Acrimed)

  • rimbus 16 décembre 2016 à 16:46
    Assad n'est pas Moubarak. Pas de chance, notre diplomatie s'est trompé. Pourtant le scénario syrien semblait magnifique, sur le papier, comme il l'a été en Egypte : on vire le méchant dictateur, on organise des élections qui portent au pouvoir des religieux, et on termine par soutenir un général qui organise un coup d'état et nous achète des armes, beaucoup d'armes, et ainsi notre balance commerciale s'améliore.

    Et voila que cette brute de Poutine, sous l'excuse fallacieuse que cette tanche de Bachar l'appelle au secours, fout tout le business en l'air.

    Deux solutions s'offrent alors : reconnaitre la victoire du "régime" (j'aurais préféré qu'on l'appelle "junte" mais bon…), laisser tomber les rebelles et passer pour des salauds et des cons, ou envoyer encore plus d'armes aux rebelles, et du gros calibre cette fois-ci, continuer le combat pour tenter de renverser la situation en passant pour des humanistes.
    Alors je pose la question : La paix vaut-elle que nous passions pour des salauds et des cons ?

  • Djac Baweur 16 décembre 2016 à 12:16
    Je mets ça là.


    "La propagande russo-syrienne à propos de la bataille d’Alep bat son plein. Sur YouTube, la seconde vidéo la plus vue en ce moment émane ainsi de Russia Today France, preuve de sa puissance sur internet."


    "Oui, il y a à Alep des djihadistes et des salafistes (le tiers du total des combattants environ et souvent extérieurs à la ville) dans les rues d’Alep-Est comme il y avait des salauds dans les rues de Sarajevo. Oui, ces salauds peuvent avoir pris en otage une partie de la population. Oui, la population d’Alep-Ouest a également été frappée aveuglément par les rebelles. Oui, les souffrances d’Alep-Est sont instrumentalisées. Oui, des informations fournies par tous les camps sont fausses (quelques exemples ici). Cela n’empêche pas pour autant des souffrances immenses d’exister… comme ont pu exister les souffrances de Homs, de la Goutha et autres, victimes de ce qui reste, au mieux un emploi maladroit des forces (« C’est la guerre », « Ils n’ont pas de munitions de précision », « Les X font pareil à Y », etc…) au pire, ce que je crois, une politique assumée de terreur. On peut tourner les sources dans tous les sens, Assad reste le plus grand salaud d’une région qui n’en manque pas et il ne sert à rien d’en appeler aux autres pour d’un seul coup l’exonérer. Au passage, son titre autoproclamé de « rempart contre le terrorisme » fait, en étant gentil, rire jaune quand on se rappelle le nombre de victimes, y compris françaises, des organisations soutenues par ce régime."


    "Mais si tu veux absolument des preuves, contente-toi d’ouvrir les yeux et pose-toi cette question simple : comment la Syrie a-t-elle pu être détruite ? Quand tu commentes les images des villes rasées en disant qu’il y a « de la violence des deux côtés », tu occultes un détail : qui possède les armes nécessaires pour des destructions d’une telle ampleur ? Pour le dire autrement : qui peut mener des bombardements ? Où sont les avions des forces d’opposition syriennes ? Où sont les hélicoptères des forces d’opposition syriennes ? Où sont leurs tanks ? Cachés sous terre, comme la surpuissante armée de Saddam Hussein qui menaçait le monde entier ? Combien les forces d’opposition syriennes ont-elles détruit d’avions ? [...]
    - Avant de me dire que la rébellion syrienne, quand bien même on aurait pu avoir au départ de la sympathie pour elle, est aujourd'hui confisquée par des forces réactionnaires issues de l'islam politique, et que certaines de ces forces n'hésitent pas à s'en prendre violemment à des civils ou, variation sur le même thème, que c'est vraiment tragique de bombarder des civils mais que c'est parce que les terroristes se cachent parmi eux, quand ils ne les utilisent pas comme boucliers humains, souviens-toi que c'est le discours de ceux qui veulent justifier les campagnes de bombardements meurtriers sur Gaza, et demande-toi si c'est un argument.[...]
    On ne parle pas ici d'un exercice de rhétorique sur Facebook par commentaires interposés, mais de milliers, de dizaines de milliers de vies. On ne parle pas d’une divergence entre nous sur l’appréciation de tel ou tel événement, mais de ton silence complice ou de tes misérables contorsions face à l’une des plus grandes tragédies de notre temps. On ne parle pas d’un simple désaccord politique, mais d’une véritable rupture."

  • Oblivion 16 décembre 2016 à 12:14
    Entrepreneur à l’âge de 12 ans
    homme politique (conseiller régional)
    Entrepreneur dans un nouveau concept de boîte de nuit
    conseiller en communication
    projets scientifiques en partenariat avec la Nasa
    startups (avec le projet Civiliseed)
    Fondateur de We are superheroes
    Fac de droit pendant presque trois ans
    Étudiant spécialisé dans le cinéma
    Créateur d’une start-up dans le cinéma

    Infirmier
    humanitaire
    enseignant

    Et j’en oublie peut-être.

    Y serait-y pas légèrement mégalomane, le gars ?

    Bravo France Télévisions de bien choisir vos sources !

  • Le Barjack 16 décembre 2016 à 11:55
    Vous avez reçu Chomsky, vous avez réalisé de superbes émissions sur la propagande (Chaliand/Ourdan par exemple) et vous nous sortez un article aussi peu nuancé. Déçu.

  • Faab 16 décembre 2016 à 10:16
    Test de polémique :
    Merci à Vincent Coquaz de pointer ces voix du renouveau du "peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne" comme disait De Gaulle qui définiront la juste alliance selon leur goût de croisé.
    On y verra plus clair quand Trump aura fini son alliance avec Poutine, quand Marion Maréchal bossera avec Breitbart News, certains seront alors peut-être gênés de s'apercevoir qu'en défendant la "liberté", à dénoncer le "deux poids deux mesures", à vouloir l'avis de "l'autre bord", à s'attaquer à l'impérialisme américano-occidental, ils ont soutenu des pouvoirs "blancs" autoritaires à velléité impérialiste calculant déjà comment ils allaient se partager le gâteau des ressources des basanés.
    Finies les conneries des arabes et des iraniens, vos gueules les palestiniens, va falloir faire profil bas les chinois, le pétrole et le gaz pour les hommes, les vrais, les "great again", pas comme ces fiottes européennes et le clown français qui se croit une puissance avec son petit Charles De Gaulle (le porte-avion...) et son business d'armes avec les bédouins du Golfe.

  • pierrounet 16 décembre 2016 à 09:41
    Cet article est, pardonnez cette facilité..."Cocasse"....Sauf que le sujet ne l'est pas du tout....

  • Cultive ton jardin 16 décembre 2016 à 09:15
    C'est étrange, la montée en charge des injonctions à prendre parti dans cette guerre à laquelle nous ne comprenons pas grand chose, et de laquelle nous arrivent tant d'informations dont la fiabilité est sans cesse remise en question? Quand nous aurons pris parti, que ferons-nous? Et que font, que peuvent faire ceux qui ont pris parti?

    Autant il s'impose moralement à nous de trier le vrai du faux et de conclure quand nous devons (et pouvons) agir, puisque précisément l'action que nous mènerions alors en dépend, autant il n'existe là ni urgence, ni obligation. Sauf celle, en effet, de ne pas nous laisser tromper par une propagande dont nous avons tant d'exemples par le passé. De ne pas nous laisser manipuler par des infos trafiquées. Sans prendre forcément parti. En attrapant les petits bouts de vérité qui nous sont accessibles, en n'oubliant pas la leçon de toutes les manipulations dont nous avons été les dupes (ou pas?) par le passé.

    Nous n'avons oublié ni Hiroshima, ni Guantanamo, ni les "frappes chirurgicales", ni les "armes de destruction massive", ça devrait nous mettre à l'abri de trop de crédulité envers les informations qui nous viennent massivement de "notre" camp. Les infos qui les contredisent, venant de "l'autre camp", nous devrions les prendre, certes avec des pincettes, mais les prendre quand même, des fragments de vérité s'y glissent. De temps en temps, parmi tant de doutes, une information surnage, qui semble fiable... jusqu'à preuve du contraire.

    Il y a, dans le dernier Diplo, un article intitulé "Qui sont les rebelles syriens?" Pas encore lu. Je vais le lire, bien sûr, mais quelle urgence? L'association, très locale, dans laquelle je milite est en grand danger, et je peux, peut être, y faire quelque chose, en prenant les bonnes décisions sur la base d'informations correctes. Et pourtant sans garantie de ne pas me tromper.

    Sur la guerre en Syrie, je peux me tromper, ou voir juste, même en mode colibri, je ne changerai rien à rien.

  • DéLecteurdeVraiThé 16 décembre 2016 à 09:08
    Il y a bien longtemps, au moment où tombaient les statues de Lénine et que le Pape d'alors se félicitait et que claironnaient les trompettes de l'occident capitaliste sur un air "On vous l'avez bien dit, le capitalisme et la religion sont les deux mamelles de l'humanité", certains avaient pressenti qu'il fallait faire attention à l'honneur perdu de la Russie, qu'on ne pouvait ainsi se réjouir d'une situation qui ramenait une des deux puissances mondiales à un amas de tanks rouillés, de centrales atomiques à ciel ouvert...

    Depuis les choses ont changé, la machine russe forte de ses décennies de contrôle de l'information a réussi à reprendre du poil de la bête, en l'instance de l'ours belliqueux.

    Ici même à Strasbourg, nous avons la construction d'une église orthodoxe badigeonnée d'or tandis que de l'autre côté du canal qui amène au Parlement européen, la nouvelle ambassade turque s'élève avec son architecture digne de Mussolini et que de l'autre côté de la ville Erdogan édifie le nouveau Centre culturel turc, faisons lui confiance pour mêler adroitement la religion avec une dose de culture. Et nous avons aussi le centre culturel russe qui nous bombarde de petites soirées cinématographiques et concerts fleurant bon la Russie éternelle et Yvan Le Terrible.

    On est loin d'Alep mais on sent d'ici la perfection des manipulations et surtout on voit le nouvel aveuglement à l’œuvre où certains dans leur enthousiasme confondent Pierre Le Grand et Poutine.

  • BIBI 16 décembre 2016 à 07:54
    Bonjour Vincent Coquaz : vos deux dernières chroniques:

    1) Sans journaliste sur place d'où viennent les infos sur Alep.

    2) Pierre Le Corf " l'humanitaire français".

    Je suggère: 3) Quelles sont actuellement les activités de la compagnie de relations publiques Hill&Knowlton. Elle a un siège à Paris, un à Londres.

    Elle est à l'origine du témoignage entièrement faux d'une pseudo-infirmière, témoignage qui avait pour but de faire accepter aux opinions publiques occidentales la guerre du Golfe en 1990.

    Le 14 octobre 1990, une jeune femme koweïtienne, appelée par les médias « l'infirmière Nayirah », témoigne, les larmes aux yeux, devant une commission du Congrès des États-Unis. L'événement est retransmis rapidement par les télévisions du monde entier :

    « Monsieur le président, messieurs les membres de ce comité, je m'appelle Nayirah et je reviens du Koweït. Ma mère et moi étions au Koweït le 2 août pour passer de paisibles vacances. Ma sœur aînée avait accouché le 29 juillet et nous voulions passer quelque temps au Koweït auprès d'elle. […] Pendant que j'étais là, j'ai vu les soldats irakiens entrer dans l'hôpital avec leurs armes. Ils ont tiré les bébés des couveuses, ils ont pris les couveuses et ont laissé mourir les bébés sur le sol froid. J'étais horrifiée. Je ne pouvais rien faire et je pensais à mon neveu qui était né prématuré et aurait pu mourir ce jour-là lui aussi. […] Les Irakiens ont tout détruit au Koweït. Ils ont vidé les supermarchés de nourriture, les pharmacies de médicaments, les usines de matériel médical, ils ont cambriolé les maisons et torturé des voisins et des amis. J'ai vu un de mes amis après qu'il a été torturé par les Irakiens. Il a 22 ans mais on aurait dit un vieillard. Les Irakiens lui avaient plongé la tête dans un bassin, jusqu'à ce qu'il soit presque noyé. Ils lui ont arraché les ongles. Ils lui ont fait subir des chocs électriques sur les parties sensibles de son corps. Il a beaucoup de chance d'avoir survécu. »

    Ce témoignage était entièrement faux. La jeune fille était la fille de l'ambassadeur du Koweït à Washington Le gouvernement du Koweït exilé avait commandé cette campagne de manipulation des opinions publiques à Hill-Knowlton pour la modeste somme de 10 millions de dollars.
    Le gouvernement américain aurait payé 14 millions de dollars à cette compagnie pour l'avoir aidé à présenter aux opinions publiques l'intervention occidentale sous un jour favorable.

    Liens donnés plus haut.

  • pierrounet 16 décembre 2016 à 07:18
    Citation: "Gaveriaux s’interroge elle aussi sur les motivations de Le Corf, notant surtout qu’il est "[large]absolument impossible de vivre à Alep Ouest sans la protection du régime[/large]".

    Ah bon? C'est nouveau?
    Je croyais qu'au contraire ce régime honni passait son temps à "massacrer sa population"...
    Faudrait savoir!

    Parfois je me demande si on n'est pas, très tranquillement, en train de nous préparer une troisième Guerre Mondiale...

  • Marc HENNETON 16 décembre 2016 à 07:01
    Je souhaiterais un peu de recul et une analyse objective de la part de @si, sinon je ne vois pas l'intérêt de rester abonné.

  • MyrETON 16 décembre 2016 à 06:11
    Comme toujours par temps de guerre : impossible de démêler les propagandes, car il est bien certaine que la syrienne ou la pro-russe n'ont rien à envier à l'occidentale.... La vérité? Dans 5 ou 10 ans, peut-être.


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.