Photo nue sur Twitter, vidéo de Perpignan : Snapchat, derrière le "revenge porn"

La rédaction - - Nouveaux medias - 19 commentaires

Quand les photos et vidéos "éphémères" restent

Deux affaires en trois jours. La photo d’une jeune fille mineure en plein acte sexuel et la vidéo d’un viol présumé ont été diffusées sur Twitter et Facebook entre le 1er et le 3 janvier 2016. Derrière la question de la diffusion de contenus à caractère sexuel sans le consentement des victimes, aussi appelée "revenge porn", une application a été utilisée dans les deux cas : Snapchat. De simple application d’envoi de "photos éphémères", l’appli est devenu un mode de communication très répandu chez les plus jeunes, notamment depuis de profondes modifications apportées par ses fondateurs.

C’était l’un des premiers mots clés populaires sur Twitter en France de 2016 : le nom d’une jeune fille d’une quinzaine d’années, que la famille préfère ne pas voir figurer dans les articles de presse, raconte Libération. En quelques heures le 1er janvier, 60 000 utilisateurs l'avaient mentionné. En cause, une photo d’elle prise en plein acte sexuel avec un garçon du même age. "On perçoit ses jambes nues, et son visage témoigne de sa stupeur d’être surprise pendant ce moment intime alors qu’elle s’accroche à la nuque de son compagnon", détaille le quotidien. Certains s’amuseront mê...

Lire sur arretsurimages.net.

Cet article est réservé aux abonné.e.s