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Max Médio
Avec Emmanuel Macron, il n'y a pas eu besoin d'attendre le covid-19 pour savoir que la population est juste bonne à (sur)vivre comme elle peut en attendant la mort.
N'importe qui ayant fait de la montagne sait qu'il n'y a qu'un seul premier de cordée. Et que s'il se fourvoie, c'est toute la cordée qui part, lui avec.Les métaphores à Macron sont aussi nulles que sa politique.
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cécile clozel
il me semble qu'il y a une différence importante entre ce que nous vivons aujourd'hui et les épidémies passées : ce n'est plus l'économie "de base" qui préoccupe les ploutocrates, mais le système financier. le caca rente, plus que la survie des pme qui font vivre au quotidien...
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Nastasia
Merci infiniment pour ces mises en perspectives historiques regulieres sur votre site.
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Tony A
Le 23 février, O. Véran dans l'article de l'Express , déclarait aussi :
"Nous agissons vite, nous agissons fort"
On peut mesurer un mois plus tard la justesse de ce propos.
Alors que la vague n'est pour le moment (mais ce n'est hélas que provisoire, les courbes étant exponentielles) pas plus forte que celle d'une grippe saisonnière le système de santé est déjà secoué comme jamais.
- Manque de masques
- Manque de tests (l'OMS recommande de tester au maximum)
- Manque de lits (on en a fermé 69 000 depuis 15 ans, c'est ballot)
- Manque de personnels (on lance déjà des appels aux volontaires, retraités, étudiants, professions paramédicales, peut-être demain les dames patronnesses...)
Il est, toutefois, un domaine ou le gouvernement agit vite : promesse de millions de masques, promesse de tests... pour quand le gros de l'épidémie sera derrière nous... et bien sûr, destruction de ce qui reste du droit du travail (RTT, congés payés...)...
Et un autre pour lequel il agit fort : on verbalise à tout va. Le type qui sort son chien une rue trop loin... Les fous qui escaladent une paroi rocheuse en risquant de contaminer les foules d'alpinistes... Les parents d'un défunt à la sortie d'un enterrement... C'est vrai, des larmes potentiellement infectées sont une vraie menace pour les rues désertes...
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Martin S.
Je trouve qu'on a fait des progrès depuis la peste noir.
Cela dit la peste noire était beaucoup plus grave que notre petit covid19.
On a fait des progrès, mais on peut faire mieux :
Quand on dit " il n'y a pas d'épidémie en France" il faudrait dire il n'y a pas encore d'épidémie en France, mais ça va venir.
Quand on dit confinement de la population quoi qu'il en coûte, on confine tout le monde (sauf bien sur les indispensables) quoi qu'il en coûte et on s'assure que le confinement est réaliste pour toute la population et pas seulement pour ceux qui ont assez de m2 pour y rester plus d'un mois sans devenir fou.
Quant à la guerre, si c'est vraiment la guerre alors comme disait Roosevelt aux industriels vous n'êtes plus là pour fabriquer des frigo ou des chaises, mais pour faire des avions des bateaux et des tanks. Donc en dehors de tous ce qui est alimentaire et l'énergie, l'industrie doit faire des masques et des tests de dépistage, le reste peut attendre...
Si l'état à fait des erreurs nous ne sommes pas en reste avec un confinement qui est un peu lent à se mettre en place dans toute sa rigueur de façon volontaire et responsable car nous sommes encore en démocratie.
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Basile
Génial. Merci pour cette édifiant miroir tendu entre civilisations à plusieurs siècles de distance. Les mêmes peurs, les mêmes réflexes. Malgré des contextes très différents, l'humanité ne change pas tant que cela.