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Taloublue
et --excusez moi si j'ai mal lu ou pas compris-- Fincki reste t il ou pas sur Frce Cult?
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freT
Que penserait Finkie de cet "homme qui a foutu trois enfants qu’il avait de sa mère, desquelles il y avait une fille qu’il avait fait épouser à son fils de façon qu’en foutant celle-là, il foutait sa sœur, sa fille et sa belle-fille, et qu’il contraignit son fils à foutre sa sœur et sa belle-mère." ? (DAF de Sade, "Les 120 journées de Sodome, 1785)
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Ervé
Interrogé sur Europe 1, Jack Lang assure qu'il ne fréquente pas ce milieu (celui des proches de Duhamel) et, tenez-vous bien... non, tenez vous mieux... déclare : Je combats et j'ai combattu l'inceste, la pédophilie. J'ai été un militant permanent.
En tant qu'agent infiltré, sans doute.
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Brenda Relax
Je dois pas être câblé correctement, je ne comprends pas pourquoi on parle d'inceste et pas de viol. En plus l'inceste tel qu'il est défini par la loi, ,n'est-ce pas pas des relations sexuelles entre proches parents, du même sang, si j'ose dire. Là c'est le beau-père. Est-ce que Carla Bruni et Raphaël Enthoven, c'était un inceste ? Bref, je ne comprends pas, mais j'avoue ne pas m'être beaucoup renseigné sur cette affaire de Familia Grande spécifiquement.
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toinon778-105528 toinon778
peut-on rappeler - sans risquer d'être hors sujet - que le domaine de l'inceste n'est pas le seul dans lequel Finkielkraut affirme des positions conservatrices et réactionnaires. Le lien commun entre toutes ces positions c'est la défense de la domination sexuelle et sociale d'une "élite" intellectuelle et/ou économique qui ne veut pas voir ses privilèges remis en cause.
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Asinaute sans pseudo 3535c
MANUEL DE FRANCAIS DE LYCÉE :
"1984 - Finkielkraut, La sagesse de l'amour"
Un exemple :
Hâtier, ANTHOLOGIE LYCÉE - FRANÇAIS 2DE/1RE ÉD. 2019 - LIVRE ÉLÈVE
https://www.editions-hatier.fr/flip/flex/97822189867720?token=0a878889aff2bf341e4c8f4d69fa42b8&complet_present=1#
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Jean-Jacques Régnier
Alors, que va faire, demain matin, France-culture qui ouvre son micro le samedi matin à l’intéressé ?
Giangi -
JeNeSauraisVoir
Voilà une nouvelle occasion pour Alain Finkielkraut de rejoindre la ‘société victimaire’ qu’il jalouse tant, l’ayant continuellement en ligne de mire. Il me semble toutefois que l’évolution balbutiante ou confirmée de l’opinion publique était prévisible et que cela nous réserve encore de bonnes surprises.
En effet, il nous est possible de comprendre à l’avance que les raisonneurs qui se fondent immodérément sur l’autorité qui pourrait être conférée à leur jugement – en raison de la position qu’ils occupent (ou pensent occuper) dans le débat public - ces raisonneurs qui se contentent de camper des positions possiblement admissibles (ou qu’il n’est pas facile de réfuter simplement) sont souvent aveugles à la fragilité de ce qu’ils avancent.
De tels personnages qui se pensent ‘iconoclastes’ sont légion dans la sphère médiatique. Ils font un point d’honneur de montrer leur constance dans l’incarnation d’une position intenable, ils en font même leur raison d’exister, ce qui n’est pas incohérent avec le fait que leur singularité mais également ce qu’ils savent faire le mieux c’est justement de jouer les équilibristes sur du vraisemblable !
On les retrouve un beau jour tout étonnés de voir leur château de carte lamentablement éparpillé et encore une fois ils sont bien seuls à s’étonner. En un mot : tremblez, raisonneurs iconoclastes !
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Christian GERARD
Et si c'était un "simple" réflexe de défense communautariste ? on l'a déja vu avec D. Strauss-Kahn et sa défense pitoyable du violeur par J.F. Kahn et beaucoup d'autres...
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Dobenas
Le femme de Finkielkraut devrait porter plainte pour goujaterie.
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Kenzaburo
La vieillesse est un naufrage
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Ulysse03
1. Dans les raisons de LCI de virer Finkielkraut, il y a bien entendu tout ce qui a changé depuis 2009. Il y a la prise en compte de toute l'évolution et de tous les changements dans l'opinion du fait des voix qui se sont élevées mais restons du côté de LCI.
Il y a peu, la chaine de Bouygues avait engagé en grande pompe un journaliste suisse de (mauvaise) réputation qui se révélait être un harceleur, journaliste recruté pour un créneau extrêmement important de la Chaîne. Donc, en peu de temps, on a eu Darius Rochebin et... on a, peu après, l'habitué des Medias, le "sulfureux" Finkielkraut qui a toutes les portes ouvertes dans les Medias pour y hurler sa haine de la "bienpensance" (en rire), des Gilets Jaunes et de la Mediacratie de "gauche" etc. On peut faire l'hypothèse que cet écart de la Chaine (pour Rochebin) et de renvoi pour Finkielkraut sont des tâches qui salissent la Chaîne. Une chaîne qui doit absolument rester dans la logique concurrentielle puisqu'elle a des adversaires de taille en face d'elle (BFMTV et Cnews). Il est donc vital pour elle qu'on ne la range pas comme une Chaîne sale, qu'on ne la définisse pas comme une Chaîne qui fasse l'apologie des abus sexuels etc. Du coup, après ces deux zozos, voilà une Direction-Redaction obligée d'agir vite, très vite.
Mauvaise langue, je pousserais même plus loin. Souvenons-nous de ce que disait le fils Buisson interrogé par Yann Barthes dans Quotidien : il assurait - bien placé qu'il était - que TF1, chaine Bouygues (comme LCI) s'était mise complètement au service de Sarkozy pour ses campagnes électorales. Comment ne pas mettre ceci en lien avec la volonté de LCI d'apparaître comme une Chaine propre, ouverte, sérieuse. C'est qu'un autre Président a besoin d'une Chaîne qui ne soit pas cataloguée comme refuge de pédophiles. Du coup, à tout prix, il faut se donner l'aspect d'une chaine respectable. C'est qu'en perspective 2022, cet autre Président doit pouvoir compter sur elle pour sa Propagande.
2. C'est vrai - et à juste titre - il faut parler des saloperies dégoisées par Finkielkraut qui va passer dorénavant son temps à écumer les TV et radios pour crier à l'injustice etc. Mais sortons de son cas individuel et regardons la pétition 2009 signée par le monde médiatique et artistique en soutien à Polanski. Que de noms ! Que de personnes qu'on aime et qu'on adore ! Cela en est effarant ! Essayez de retrouver la liste, vous serez consternés ! Quoi ? Lui ? Quoi ? Elle ? Incroyable cet aveuglement !
Toutes ces personnes ont-elles participé à ces changements qui ont eu lieu depuis cette date ? non. Ont-elles fait amende honorable ? Non. Pas un mot. Pas un seul regret d'avoir soutenu Polanski. C'est bien plus pratique de se taire, de se terrer et de laisser le seul Finkielkraut à la vindicte "populaire". Il est en effet préférable de s'apesantir sur ce philosophe et sur ses odieuses diatribles que sur, par exemple, Milan Kundera, oui l'estimé auteur, le combattant, le résistant. Car que disait en... 2010, Milan Kundera dans ses arguments pour défendre Polanski ?
3. Mon billet de blog de... mai 2010 :
"Et Polanski ? Ô le Pauvre Polanski ! «L’accusation occupe entièrement sa tête (…), le prive de vie». Milan Kundera a manifestement la mémoire courte : «The Ghost Writer», dernier film de Polanski, est sorti sans encombres le 3 mars sur les écrans. «Entièrement sa tête» ? Dommage que le cinéaste n’ait pas eu une petite place pour la victime et pour d’éventuelles « excuses ». Mais peut-être que je n'ai pas parcouru toutes les déclarations du cinéaste ?
Le point de vue et la défense de Kundera en deviennent tarabiscotés. Pour excuser et gommer un abus sexuel sur mineure de 13 ans, voilà la conviction du Romancier : «C’est l’art européen, sa littérature, son théâtre qui nous ont appris à déchirer le rideau des règles juridiques, religieuses, idéologiques, et à voir l’existence humaine dans toute sa réalité concrète». Je pourrais à la rigueur applaudir à l’assertion mais je me demande quel rapport peut-il y avoir avec le procès qui attend le cinéaste ? L’Art (l’Europe) au-dessus des lois ? L’Art, la Culture européenne comme arguments décisifs de sa Défense ? Euh…Je ne pige pas.
Autre refrain déjà entendu ailleurs : «Roman est persécuté pour un acte qui a eu lieu il y a trente-trois ans». Devrait-on le laisser en paix pour cela et ne passer en procès que les actes d’abuseurs datant de 33 jours, de 33 minutes ou de 33 secondes ?"
Voilà où en était toute cette grande partie de l'intelligentsia française en ces temps-là. Heureusement, le combat s'est poursuivi et il faut saluer toutes celles (et ceux) qui ont fait et font bouger les lignes.
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André Gunthert
Je remercie vivement Pauline Bock d'avoir repris, vérifié et déployé mon hypothèse du "marqueur" Finkielkraut, dont la stabilité des positions permet de mesurer l'évolution des sensibilités et du débat public. Sur Twitter, certaines intervenantes ont prétendu que ma formule équivalait à tirer le rideau sur les combats féministes, et faisait le jeu des masculinistes. C'est évidemment un mauvais procès. Comme le confirme l'enquête de Pauline Bock, mieux que je n'ai pu le faire, l'accueil de la défense des pédocriminels par Finkielkraut a très manifestement évolué entre 2009 et 2021, et on peut légitimement s'en réjouir. Ce progrès ne signifie bien sûr en aucune manière que la France en serait quitte avec la culture du viol. Mais il serait à l'inverse paradoxal de laisser croire que les combats féministes sont incapables de changer la société.
Pour contribuer à l'analyse que propose Pauline Bock, et pour préciser ma pensée, il me semble que lla réception des propos de Finkielkraut permet de mesurer un progrès, non pas sur l'ensemble des aspects de la culture du viol, mais de façon plus spécifique sur la sensibilité à la pédocriminalité. C'est en effet sur ce point que le débat public a connu la plus importante évolution, notamment avec le livre de Vanessa Springora, Le Consentement. Ce témoignage a fait bouger les lignes sur une question essentielle, auparavant absente du débat: celle de l'emprise. A la différence de Samantha Geimer, qui n'était ni consentante ni amoureuse de Polanski, Vanessa Springora décrit sa relation avec Matzneff comme la fiction d'une relation amoureuse consentie. Mais ce "consentement" apparent doit en réalité être corrigé par la différence d'âge et d'ascendant qui sépare l'adulte de l'enfant, assure son emprise, et déguise sous les traits de l'émancipation ce qui est un assujetissement.
Cette inégalité de statut, à la source des violences sexuelles, était déjà la question centrale qui avait animé le mouvement #Metoo, à partir du modèle du harcèlement professionnel dans le domaine du cinéma. La prise de conscience de l'importance de l'emprise ôte évidemment toute pertinence à la justification de la pédocriminalité par la mise en avant de l'âge ou de l'expérience sexuelle de la victime – argument des prédateurs repris par Finkielkraut. Dans une relation de majeur à mineur, ce qui compte n'est pas l'âge de la victime, mais la différence d'ascendant entre les protagonistes. Inutile de préciser que l'agression de Samantha Geimer par Polanski, discutée en 2009 comme un "viol", coche toutes les cases de l'emprise, non seulement par la différence d'âge, mais aussi par le statut et la célébrité du violeur. Il ne serait plus possible de défendre aujourd'hui le cinéaste avec les arguments utilisés en 2009, car ils ont été invalidés par de nouvelles connaissances sur la réalité des violences sexuelles.
En d'autres termes, l'évolution des sensibilités ne s'effectue pas par un progrès magique du débat public, qui irait naturellement de l'avant. Elle s'appuie sur une nouvelle compréhension des faits, qui se diffuse dans la société à l'instar de toute connaissance nouvelle, par l'intermédiaire de témoignages et d'alertes, par la validation et le commentaire d'autorités, mais aussi par la controverse ou les paniques morales, ou encore par l'évolution juridique et institutionnelle. Les progrès de ces différents processus sont variables et parfois contradictoires, et on sera toujours fondé à regretter que sur des questions si cruciales, la société n'avance qu'à pas comptés. Mais en tant qu'historien des cultures, et en comparaison d'autres fronts du débat public, ce qui me frappe en l'occurrence est plutôt la remarquable avancée des mentalités. Cette avancée, dans le contexte d'une résistance acharnée des privilèges du patriarcat qu'incarne Finkielkraut, est dûe à la lutte inlassable de tous les acteurs, militants, témoins, chercheurs, politiques, juristes, journalistes… Constater que leur combat n'a pas été vain est rendre hommage à leur courage et à leur opiniâtreté.
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Oblivion
Il faut aussi souligner la tactique de tous ces défenseurs des violeurs : prétendre que la victime était plus âgée ou faisait plus âgée que son âge.
Finkie dit 14 ans quand Camille Kouchner parle de 13/14 ans. Il n’arrondit pas l‘âge de Samantha Geimer à 13, mais dit « 13 ans et 9 mois ». Goldnadel dit à propos du frère de Camille Kouchner 15, 16 ans. Je me souviens que la fillette Sarah « faisait plus vieille que 11 ans », etc., etc.
Tant qu’à faire, bientôt on va avoir « ah mais 3 ans, ce n’est plus un nourrisson ! ».
Par ailleurs, j’ai la gerbe de voir que ces experts en rien ne prennent pas du tout en considération l’existence du frère de Camille Kouchner et de Camille. Ces derniers doivent subir dans les médias la mise en doute de la réalité des faits (souvent mise en amnésie traumatique), alors que Guillaume Duhamel avait justement tenté de convaincre leur mère que son fils n’avait pas opposé de résistance. Manipulations typiques de l’agresseur.
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Ke-sais-je
Peut-être est-il permis de penser que notre ami Alain, quand il avait treize ans, a pu consentir à ce qu'un membre de sa famille lui fasse bénéficier de ses profonds services bénévoles ?
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Il y a aussi cet article qui me paraît très intéressant et qui vient compléter tout ce qui se dit et s'écrit sur le sujet.
https://www.frustrationmagazine.fr/familia-grande/
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Jimpzy
Vivement une analyse sur le très astucieux choix éditorial de Libé qui, mettant à profit la tempête médiatique Duhamel-Kouchner, en profite pour faire passer sous les radars la publication ni vue ni connue de ceci: https://www.liberation.fr/checknews/2020/01/10/liberation-a-t-il-employe-un-journaliste-pedophile-entre-1975-et-1995_1772006
Notons l’insistance à distinguer l’homme -pédocriminel publiquement assumé- de l’entreprise/institution qui l’a employé pendant 20 ans, accompagné de sa proie. Faut-il en conclure à une débarbarinisation des débats dès qu’il s’agit de « progressistes » ès moeurs [décontractés du gland]?
Rappelons qu’en 1995, si le chansonnier Patrick Font était apprécié de son binôme et de leur public, à ma connaissance DS n’était ni à Libé ni enclin à confondre un mineur de 15 ans avec un adulte. -
Cultive ton jardin
C'est bête, je vais être à contre-courant, limite pro-finkie (non, je blague!!!)
Pourtant, il est bien évident qu'un ou une ado n'est pas, n'est plus un enfant. Entre les deux, il y a tout simplement la puberté. "Détail" qui peut ajouter à la violence de la relation sexuelle avec un adulte, en augmentant le sentiment de culpabilité et en embrouillant la question du consentement.
On est en train de perdre de vue, complètement, le fait qu'un ou une ado peut très bien avoir des idées, des choix, des amours, des désirs personnels, et que ces idées-choix-désirs-amours sont à respecter. La référence à Greta Thunberg (merci Dreffon35) vient mettre ce détail (encore un détail?) en évidence.
Ce n'est pas l'aspect sexuel de l'abus qui fait le crime: c'est l'aspect domination. Auquel se rajoute la perversité d'un prétendu consentement auquel même la victime arrive à croire.
Une relation amoureuse entre un adulte et un adolescent est elle impossible? Interdite? Criminelle? Toujours?
Il y a 60 ans, on passait, nous les femmes, du rapport sexuel interdit au rapport sexuel obligatoire (t'es pas libérée!!). Ce qui a pesé lourd sur ces relations abusives avec des adolescents. Ne sommes-nous pas entrain de faire le chemin inverse?
Arrivée là de mon raisonnement, j'ai un peu peur... je clique "publier"? Ou j'efface? Bah, vivons dangereusement: je clique.
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Dreffon35
Je ne veux surtout pas défendre Finkielkraut, mais pour être tout à fait honnête, il faut mentionner que Greta Thunberg est atteinte d'autisme, et que généralement les réacs qui la considèrent comme manipulée "ajoutent" ça a son jeune âge
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pierrefroide
Cet article nest pas exact.
Ce n'est pas parce que toute relation sexuelle avec un mineur de moins de 15 ans est réprimée par la loi (ce qui est exact) que la question de la contrainte (et/ou violence/menace/surprise) n'est pas posée par cette même loi.
Si la justice estime qu'il n'y a eu ni contrainte, ni violence, ni menace, ni surprise, elle retient l'atteinte sexuelle, punie dans ce cas de 7 ou 10 ans d'emprisonnement (227-25 et 227-26 du code pénal). Dans le cas contraire c'est un viol puni de 20 ans de prison (222-3 du code pénal). Cette distinction, qui n'est pas négligeable, existe, même lorsque la victime est un mineur de moins de 15 ans.
C'est ce que Finkielkraut tente d'expliquer lorsque il dit que la justice se pose la question du "consentement".
En revanche, il n'y a effectivement (presque) pas de différence dans la loi entre un mineur de 4 ans et un mineur de 14 ans. Le code pénal ne fait pas de différence en dessous de 15 ans. Cependant, la Cour de cassation a déjà jugé, logiquement, que le "très jeune âge" d'une victime entraînait nécessairement contrainte ou surprise (05-81.316). De plus, en insistant sur la même gravité de l'acte dans les deux cas, on peut estimer que ce n'est pas "pareil" : les mécanismes/ressorts à l'oeuvre ne sont probablement pas les mêmes.
Enfin, la présomption de non consentement pour les mineurs de moins de 15 ans n'a PAS été introduite par la loi Schiappa, après un avis défavorable du Conseil d'État. C'est indiqué dans larticle du Monde auquel renvoie votre article. La modification ne porte que sur la définition la contrainte morale, qui s'applique aux moins de 15 ans, mais celle-ci doit être démontrée par l'accusation.
Je précise que je ne dis pas ici que la loi est juste, je ne fais qu'expliquer ce qu'elle contient. De même, je ne défends pas la présence de Finkielkraut sur ce plateau. Elle n'est pas justifiée pour s'exprimer sur des sujets qu'il ne maîtrise pas.