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Kankolongo
Donc, bidouillage d’interview.
M6 et la société de production ajoutent, par le biais d’une voix off, des propos non tenus par l’interviewé et plutôt l’inverse de ce qu’il a dit. Le journaliste de BFM TV (voir ASI, Pauline Bock // Villepin : Comment BFMTV a travesti ses propos du 28/11/2023) transforme les propos de de Villeppin en y ajoutant des propos qu’il n’avait pas tenus.
En justice (première instance), M6 & co recourent à une astuce juridique pour éviter de se faire condamner. Autrement dit, ils ne reconnaissent ni n’assument leur turpitude. BFM TV se contente d’un communiqué sur son site s’excusant auprès de ses téléspectateurs et non auprès de de Villepin. Ce qui est aussi une façon de ne pas reconnaître la turpitude de son journaliste.
Sacré monde où mentir, falsifier les interviews ne sont plus vécus comme des comportements moralement condamnés. Par conséquent, plus de culpabilité. C’est juste une affaire de "pas eu de chance". Du coup, la reconnaissance de sa faute par le journaliste Bertrand Yvernault (ASI Pauline Bock // Le "Journal du Centre" titre sur la "virilité" d'un pédocriminel du 06/12/2023) est vraiment à souligner, car c’est assez rare aujourd’hui. Ce qui n’enlève rien au fait que le titre de son article indique le poids du biais masculiniste encore présent dans l’esprit de beaucoup d’entre nous.
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Bartabac
Qu'est ce qu'il faut en faire de lavilardière , ah ça ira ça ira ça ira ...Saloperie de bourgeois !
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ramon 4
De la Villardière se serait éloigné de l'éthique journalistique ? C'est très étonnant.
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pompon
M'enfin! avec l'affaire Dupont M, les avocats savent désormais comment plaider...