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Bruanne
Makhno,
Le problème est simple : celui de l'équilibre, fragile, de la liberté d'expression personnelle de ceux qui à certaines heures de la journée s'expriment à titre professionnel.
Là, ce sont les journalistes du NYT, mais ça se pose aussi pour les élus, et les fonctionnaires.
Il me semble que l'utilisation d'un pseudo, soit pour signer dans la presse soit pour publier sur les réseaux sociaux est une solution simple. -
Makno
Je ne comprends pas trop les critiques qui lie liberte d'expression par rapport a ce qui est presente.
Ici grosso modo on est sur une question de ligne editoriale, par exemple, le NYT, veut paraitre sans parti pris politicien, qu'on demande aux journalistes de respecter cette ligne, me parait pas scandaleux. Ils peuvent "choisir" d'aller travailler pour des journaux qui ont des partis pris assumes.
Ce qui m'a "surpris", lors de cette election presidentielle c'est de voir dans des journaux comme le NYT, WaPo and co, voire CNN, des jounalistes/articles se lacher autant, prendrent autant parti "sans gant", a l'instar de parutions militantes, c'est eloigne de l'image sur laquelle ils s'etaient construit. -
Jiemo
...est-ce la signature de la fin du quatrième pouvoir ? Ou est-ce le signal du déplacement de celui-ci vers d'autres supports ? -
Tony A
Le premier amendement c'est bon pour les rédacteurs en chef, mais pas pour les journalistes.
Vive "la plus grande démocratie" !