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Bruanne
Un "débat" sur un trottoir le jeudi à 18 heures ... qui c'est le gros boulet qui a eu l'idée de ce dispositif crétin ? -
Fan de canard
Eh ben, vous vivez de sacrées aventures trépidantes, monsieur Rochat :-)
Il faudrait valoriser le métier en amont, en fait: virer les éditorialistes véreux et journalistes chiens de garde (ou l'inverse) apporterait un grand bol d'air dans les finances, qui du coup auraient plus d'enthousiasme à faire du bon travail plus souvent. Mieux payés, du coup mailleurs journalistes, du coup plus de lecteurs intéressés, et donc plus de ventes. Donc du boulot pour les kiosquiers.
J'espère que ma méthode originale va porter ses fruits dans le semaines à venir.
Vous me tiendrez au courant, Sébastien ? -
petit - saconnex
la situation des kiosquiers est difficile.Près de chez moi ,mon kiosquier avait des tas problèmes et il a fini par fermer -
consensus 39
Auteur dramatique de premier plan, découvreur d'humoristes pétris de talent, animateur humble et créatif, Laurent Ruquier nous surprendra toujours car il surgit là où on ne l'attend pas.
Entouré de chroniqueurs brillants comme Steevy Boulay, de femmes racées et élégantes comme Christine Bravo ou Isabelle Mergault, il soutient la presse et les kiosques.
Décidément, c'est un homme public de premier plan et ne doutons pas que ce soutien de poids, nous permettra longtemps encore, de nous délecter des éditoriaux de Nicolas Demorand, journaliste à la plume brillante, chroniqueur littéraire modeste et génial et de disposer chaque semaine, du supplément saumon du Figaro.
J'espère qu'Eric Zemmour,,journaliste aussi talentueux que cultivé, Natacha Polony, une femme brillante aux fulgurances remarquables, notamment quand elle évoque le système éducatif français, le trop rare Eric Naulleau , le remarquable Jean Benguigui, qui n'a pas eu la carrière cinématographique qu'il méritait malgré sa très grande prestation dans Ripoux contre Ripoux le rejoindront dans ce combat pour une presse libre et indépendante. -
J.F. Sebastian
destinée à soutenir les kiosquiers de la capitale qui souffrent de la crise de la presse.
Quelle crise ?
http://www.paris.fr/accueil/accueil-paris-fr/paris-et-ses-kiosques-150-ans-d-amour/rub_1_actu_128930_port_24329
C'est ainsi que depuis 2005, 37 nouveaux kiosques ont été implantés à Paris. Sur cette même période, 71 kiosques ont par ailleurs été modernisés ou agrandis.
Le nombre de kiosques ouverts sur le domaine parisien est passé de 252 en 2005 à 340 aujourd’hui.
Si le nombre de kiosquiers est en forte hausse :
- peut-ont vraiment parler de crise ?
- le problème est-il vraiment la crise de la presse ou plutôt la hausse des points de vente qui fait sans doute baisser le chiffre d'affaires de chaque kiosque ?
La carte donnée dans l'article montre que sur certains grands axes ils sont particulièrement proches :
https://maps.google.fr/maps/ms?msa=0&msid=204653245074021838384.0004ba06affb771b0ca91&hl=fr&ie=UTF8&t=m&ll=48.860182,2.349629&spn=0.047015,0.108406&source=embed -
gemp (ASiiii c'est finiiii... ♫♩)
Cette enquête de terrain m'a fait éclater de rire à plusieurs reprises. Les mots-clés semblent particulièrement bien choisis, l'un d'entre eux (mis à part « Le Monde », un peu facile) permet même de retrouver un (seul) de vos articles au bas duquel on en trouve un autre ô combien vérifié (qui n'a néanmoins pas resservi depuis). -
AirOne
On trouve un paquet de tocard(e)s et de seconds couteaux (Ruquier, Ribes, de La Fressange...) à se prêter à cette mascarade mais y trouver Guillon pour Libé ne fait que confirmer ce que j'ai toujours pensé de lui, à savoir que c'est un faux impertinent bien plus consensuel qu'il ne le prétend. Aller faire la réclame du canard prétendument de gauche de Rothschild/Demorand, c'est quand même un peu beaucoup la honte quand on se prend pour un rebelle.
J'ai lu sur le site de Libé que le conseil de surveillance félicitait le cancre pour de prétendus bons résultats, alors que Le Figaro place Libé en lanterne rouge par rapport à ses petits camarades...
On a beau ricaner en lisant que ces rencontres font un bide, je dirai pour ma part que c'est un franc succès : au regard de la veulerie de ces patrons de presse, ils devraient être agonis d'injures et recouverts de tomates pourries. S'en sortir indemnes c'est une réussite en soi. -
Strumfenberg ( Aloys von )
La disparition des kiosques n'est qu'un aspect de l'agonie de Paris. J'ai connu le Paris fractal, celui des rues autarciques, où on trouvait tous les commerces, le curé, le toubib, le psy...Celui des quartiers autarciques, structurellement identiques au Paris global. Le retour en arrière est bien sûr impossible, et ce n'est qu'en gérant cette impossibilité qu'on pourra éviter - ou adoucir- le morne processus de muséification et de boboïsation auquel nous assistons impuissants.