abracadabra 26 mai 2016 à 18:52
Confirmé !

http://www.lemonde.fr/panama-papers/article/2016/05/26/panama-papers-le-senat-ne-saisira-pas-la-justice-au-sujet-des-propos-de-frederic-oudea_4927150_4890278.html

Faab 23 mai 2016 à 17:37
Avant de nous pencher sur les explications données hier par le patron de la banque (à retrouver en intégralité sur le site de Public Sénat),

Le lien indiqué dans cette phrase renvoie vers @si et au cas où vous vouliez parler de l'audition au Sénat : l'intégralité de celle du 11 mai.

kiki22 22 mai 2016 à 21:49
À vomir !

Vivement que les citoyens virent tous ces politiciens complices de l'oligarchie financière et passent à une démocratie législative directe !

Tony A 13 mai 2016 à 12:51
Il avait bien raison, le courtisan d'Ariane de Rothschild, poursuivie par les questions d’Élise Lucet :
"Madame, vous êtes intouchable " !

Bon, après faut pas jouer la vertu effarouchée quand des gens écœurés explosent leurs vitrines à défaut de pouvoir leur démolir la g...

Le colossal mépris du petit peuple, ça marche... un certain temps... puis ça casse.

DéLecteurdeVraiThé 13 mai 2016 à 11:57
Quel dommage que Consensus ne soit pas là pour nous sortir ces vérités (fausses et surtout si ironiquement mises en forme) car ce sujet s'y prête à ravir.

Je ne vais pas tenter de jouer les Consensus, n'ayant pas son savoir-faire en la matière, mais je vais oser l'imiter en disant qu'heureusement qu'il y a encore des Frédéric Oudéa en France pour nous faire un tour de magie à la Houdini car comment voulez-vous combattre contre des gens comme celui que je citais il y a deux jours monsieur Olivier de Jamblinne de Meux de la banque KBL.

Monsieur de something a été capable en 2015 d'émettre une thèse scientifique démontrant que le Luxembourg n'était en rien un paradis fiscal, ce qui permet à ce pays d'intenter en toute impunité et de manière surréaliste un procès contre des lanceurs d'alertes dont un journaliste.

Vive le culot, ce devrait être le 8ème art.

kawouede 13 mai 2016 à 10:41
Oui, on est tombé bien bas, mais faisons l'hypothèse qu'un Sénat plus à gauche aurait été plus courageux.
Donc : demandons à réformer le mode d'élection du Sénat (ou à le supprimer), mobilisons un peu d'énergie pour dénoncer cette lâcheté collective des sénateurs (droite et PS) - ils le méritent au moins autant que la loi travail light qui vient d'être passée au 49.3.

evemarie 13 mai 2016 à 09:27
Une autre tromperie et que tous font c'est "on est féministe" ... C'est le même mensonge, et vous voyez , on y peu rien . Vous ne bougez pas , alors pourquoi les 20% qui protège les 1% se generaient quand tout les mecs sont comme eux. C'est pour ça qu'on ne peut avoir d'égalité, liberté et fraternité, c'est qu'a tout les étage de la société y'a des oligarques , des bourgeois, qui ont leurs esclaves a la maison, et en plus des esclaves qui ne peuvent pas grand chose, et quand les femmes en parlent , du haut en bas la réponse est 'elle font chier les femmes' ou aucune réponse , ça c'est les medias , ils ne répondent jamais au critique de machisme, comme Hors série qui demande a C Jacquet si leur site en n'invitant 80% des mecs est machiste, elle répond oui , et Judith de ne pas relever et SURTOUT de ne rien changer. Quand les personnes sont le nez dans leur machisme la meilleure parade pour eux, c'est le mepris ou le déni, et de ne parler QUE des pedophile et violeur afin de masquer votre propre inégalité .

Georges Lucien 12 mai 2016 à 20:07
Voilà une nouvelle illustration de ce que Slavoj Zizek appelle "la porno-finance", situation où "nous sommes confrontés au cynisme indécent de l’ordre mondial, dont les représentants font mine de croire en leurs propres représentations de la démocratie et des droits de l’homme. Or les révélations des WikiLeaks et maintenant des Panama Papers accroissent notre honte à l’idée que nous tolérons ces puissants."
Il y ajoute une blague de son cru : Vous connaissez la blague de ce mari qui rentre prématurément à la maison et trouve sa femme au lit avec un autre homme. La femme prise en faute demande: «Que se passe-t?il? Tu m’as dit que tu ne rentrerais que dans trois heures.» Le mari, indigné, l’apostrophe: «Mais que fais-tu au lit avec ce type?» Réponse de l’épouse: «Ne change pas de sujet! Réponds d’abord à ma question!»