Maymor 2 octobre 2020 à 12:35

En fait ce qui me choque le plus c’est que l’enquête ne paraisse pas. Pourquoi les victimes potentielles ne pourraient elles pas obtenir réparation, pourquoi le nom de cet homme ne pourrait-il pas être lavé aussi, sans préjuger du résultat. Mais bon si le suicide d’un bourreau suffit à faire de lui une victime, ça me choque.

mathlma 2 octobre 2020 à 10:39

Très bon article (a voté).

JeanSé 2 octobre 2020 à 09:43

Très bon papier

Carnéade le Fataliste 1 octobre 2020 à 21:19

Ouf, je me demandais depuis celui de Carl Sargeant si @si ne traitait pas des suicides liés à #metoo pour raisons politiques, en fait c'est juste qu'il n'y en avait pas encore eu de connu en France.

un_et_un_font_trois 1 octobre 2020 à 20:17

Des journalistes dont la compétence principale est de juger si un fumet de poisson est assez salé se sont crus capables de traiter une affaire aussi sensible alors qu'une enquête de journalistes chevronnés était en cours...