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  • jcharles 19 janvier 2021 à 15:14

    "la figure familiale ou amicale - toujours un proche - de l'incesteur"

    Ce ne serait pas justement la définition de l'inceste ?

  • Cultive ton jardin 19 janvier 2021 à 09:35

    Ce livre de Sophie Chauveau, paru en 2016, avait éveillé l'attention de Camille Kouchner. Asi pourrait se pencher sur une question... qui vient immédiatement à l'esprit: pourquoi ce livre là est-il passé quasiment inaperçu, tandis que celui de Camille Kouchner déclenche un ouragan médiatique? 


    Quatre ans? La situation aurait tant changé en quatre ans? Ou bien c'est le fait que la famille de Sophie Chauveau n'était pas assez "grande"? Ou d'une monstruosité qu'on a pu croire "rare"?


    Et dans la note de Babelio, tout en bas, cinq livres conseillés classés "inceste". Peut être que c'est comme les graines, elles sont là, silencieuses. Puis quand les conditions sont favorables, température, humidité, encoleillement, elles germent soudain, toutes à la fois?

  • Tatanka 18 janvier 2021 à 17:15

    Quelqu'un pour penser que la situation psychologique actuelle de la population y est pour quelque chose?

    Merci couvre feu.....

  • Esteban 18 janvier 2021 à 11:29

    Je crois que Gainsbourg ne pourrait plus sortir Lemon incest aujourd'hui...

  • marco negre 18 janvier 2021 à 10:31

    comment définissez vous la relation brigitte trogneux et emmanuel macron ?

  • Cultive ton jardin 18 janvier 2021 à 09:43

    Quand la parole d'anciens enfants se libère, on a fait un pas en avant. Un petit pas, car ce qui doit maintenant se libérer, c'est la parole d'enfants d'aujourd'hui. On a un tout petit indice que ça pourrait commencer? Ou faudra attendre quarante ans? Les adultes ont-ils des yeux, des oreilles, un cerveau?


    Ça m'exaspère que le débat le plus acharné soit la question de la prescription. Ça veut dire qu'on anticipe qu'un silence de trente ans c'est pas encore assez? 


    Quand à celui qui ose parler de s'enliser "dans ces problématiques boboistes", j'ai peur de me salir en lui répondant directement.

  • Bipbip 18 janvier 2021 à 09:05

    ASI resemble de plus en plus au journal Le Monde, (dans sa version numérique) qui est enlisé dans ces problématiques boboistes, depuis que caroline Hasse assure la formation des cadres de ce journal. 


    Sujet traité ici avec peu de profondeur, genre ce qu'en pênse mon boulanger, pardon ma boulangère, quel pétrin ma bonne dame!!


    L'inceste c'est plus complexe et vaste que l'ennoncé.


    Une émission avec pédiatre, psychanalyste serait la bien venue.


    Les Twitters et autres imbécilités pour corriger les dérives, délits ou crimes? C'est un exemple grotesque.

    Le retour au régime de dénonciation véçu pendant la guerre de 39/45. Twitter au service des corbeaux..

  • Alain Korkos 18 janvier 2021 à 08:40

    S’il est vrai que la parole se débloque maintenant, il faut toutefois préciser que des victimes d’inceste tentèrent de se manifester via internet il y a bien longtemps : en 1999-2000, j’avais monté une petite entreprise d’atelier d’écriture sur le web. Et au bout de quelques mois, sans que je ne lance aucune consigne d’écriture dans ce sens, certaines de mes abonnées entreprirent de raconter par écrit l’inceste qu’elles avaient vécu. Et me demandaient conseil. L’internet était bien pratique : elles bénéficiaient parfois de l’anonymat, et toujours de la distance (certaines résidaient à l’étranger).
    Six cas en quatre mois. J’ai bien vite fermé ma petite boutique parce qu’il me semblait évident que ce phénomène, hors de ma compétence, n’allait pas s’arrêter.

  • totoro45 18 janvier 2021 à 07:42

    Il aura fallu une quinzaine d'années pour que la parole des enfants victimes d'inceste soit à nouveau audible dans les medias .


    En fait non, il ne s'agit pas de la parole des enfants .


    Ce sont des adultes qui témoignent .


    Et s'il est facile à un avocat de terroriser des enfants-victimes  à l'audience en les traitant de "menteurs", il sera peut-être plus compliqué pour lui aujourd'hui d'accuser avec la même véhémence des adultes. 


    Or donc en ces temps de libération de la parole des victimes, le ministre de la justice est un avocat qui en avait assez paraît-il que des adultes accusés de pédocriminalité perdent leurs procès .  










  • Maymor 17 janvier 2021 à 21:17

    On aurait pu citer Christine Angot parmi la génération de prédécesseuses.


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