-
Ervé
Pour Mélenchon, Chabot n'est plus une perruche.
Quel faux-cul ! Il ne pense tout de même pas qu'on puisse penser qu'il ne pense plus ce que tout le monde pense. -
J?r?mie M
eh bien, après avoir été abreuvé jusqu'à plus soif de la dorénavant célèbre séquence, il est bon de pouvoir en revoir la fin... et la suite !, vues d'un autre angle.
Un an après, dommage.
http://www.alexis-corbiere.com/ -
Choupovert Michel
Voici un lien vers une nouvelle vidéo (cachée?) qui montre la séquence de Mélenchon et les "petites cervelles" sous un autre angle et non coupée. ça change tout!
Manipulation des médias?
En attend l'éclairage d'asi sur cette affaire, voici une note intéressante d'Alexis Corbière -
Bebs
Dans fin de concession de Pierre Carles, à propos de David Pujadas interviewant Xavier Mathieu de Continental... -
alain-b
Déjà donné sur l'autre forum par mozinor, le lien [s]du tribunal[/s] du grand journal d'hier soir avec les explications de Mélenchon (partie 1). -
francis keymeulen
Je me répète, mais oui le denommé Felix Briaud le fameux « journaliste en formation », qui cherche noise à Mélenchon, n’est pas un innocent, il n’en est pas du tout à son coup d’essai, il était bien connu à Tolbiac pour ses attaques violentes anti militants, mi réac, mi machiste, toujours grossier et agressif, enquêtez donc de ce côté aussi… T'as tout faux mr Schneidermann ! Qu'aurait écrit Bourdieu sur cet épisode imbécile ! L'émetteur ne jouit d'aucun privilège. Pourquoi cette réaction " corporatiste " mr Schneidermann ? Les journalistes auraient ils une légimité de facto ? Ben, je crois que poser cette question, c'est y répondre, jai l'impression. -
francis keymeulen
oui mais le denommé Felix Briaud le fameux « journaliste en formation », qui cherche noise à Mélenchon, n’est pas un innocent, il n’en est pas du tout à son coup d’essai, il était bien connu à Tolbiac pour ses attaques violentes anti militants, mi réac, mi machiste, toujours grossier et agressif, enquêtez donc de ce côté aussi… -
Eric
"Dati et sa voiture de fonction" : quel rapport avec les thèmes d'Arret sur images ? -
gerard labouz
En donnant deux explications à la non publication , Briaud en fait n'en donne qu'une : il n'a pas eu le temps de poluer la campagne du deuxieme tour , ce qui amene a se demander pourquoi il prends aujoud'hui le temps de ne poluer que ses etudes : le jounalisme ce n'est pas faire le" buzz ";un peu serpent et un peu hyene .. -
Bebs
Serait il possible d'éviter de voir ce jeune étudiant sur un quelconque plateau d'@SI, sous pretexte d'avoir buzzé ?
Merci Beaucoup -
Boddisatva
A mon avis Jean-Luc Mélenchon a explosé sous le coup de l'émotion, sans doute que le sujet de la prostitution lui est trop délicat. Mais c'est lui qui a démarré là-dessus, il ne peut pas reprocher au journaliste d'avoir rebondi sur ses propres propos. -
Robert·
Sauf votre respect, vous êtes passé à coté.
Jean-Luc Mélanchon propose clairement un sujet au jeune journaliste (pourquoi deux jours après le résultat des élections , Le Parisien et quatre ou cinq radios
grand public font-ils leur titres sur la fermeture des maisons closes?). Les maisons closes ne sont donc pas le sujet.
Il commence même à le développer. C'est Félix Briaud qui insiste sur sur l'autre aspect (on dirait etc...). et qui y revient malgré le rappel de Jean-Luc Mélanchon comme quoi ce n'est pas le sujet.
La dérive est entièrement due à l'insistance de l'interviewer qui prétend avoir été entrainé sur le terrain de la prostitution. Effectivement ,on peut déjà deviner un futur interviewer de grande classe.
Mal placé
A mettre en fait en bas de la chronique de Daniel Scneidermann -
Yohooo
Comme on parle de la forme et non du fond du propos, le contexte est super important.
Or, on ne sait pas pourquoi Mélenchon réagit comme cela. Le début de la vidéo a été coupée.
Il y a plein de façon d'aborder un homme politique. On peut plus ou moins le provoquer. Comment Felix Briaud a -'il abordé Mélenchon ?
Personne pour répondre ? Normal, nous polémiquons sur un document dont nous n'avons pas l'intégralité.
Donc, toutes petites cervelles que nous sommes, nous faisons le jeu d'un journaliste qui a choisi de ne pas montrer les provocations (volontaires ou involontaires) qui ont abouti à la colère de l'homme politique, afin de la mettre en scène.
Cette manière de faire un scoop pour le scoop ne reflète pas ce que devrait être le travail d'un journaliste politique. Felix Briaud dit avoir réfléchi longtemps avant de publier cette vidéo. Peut-être réfléchissait-il à son avenir politique. Il est maintenant tout tracé.
Rétrospectivement, chez Chabot, on savait comment ça avait commencé. On voit la colère de Mélenchon monter face au refus de la journaliste (à tort ou a raison) de lui donner la parole. On le comprend, le débat tourne rapidement aux petites répliques envoyés par les intervenants trop nombreux sur le plateau. Cette situation énerve Mélenchon, ce qui provoque le "Allez au diable !"...
Dans la vidéo de Félix Briaud, il n'y a rien que de la polémique, sans analyse. Il est étudiant en quoi déjà ?
PS : Trop c'est trop Je me suis ré-abonné pour participer au forum -
JSAS
J'aurai réagi comme Mélenchon! aller lui chercher des poux sur la tête en l'embarquant dans un débat sur la prostitution, sous prétexte que ça intéresse les "GENS", en pleine manif politique entre les deux tours et à la manière d'un roquet lui mordillant les chevilles, fallait le faire!
Belle séance de travaux pratiques pour cet étudiant en journalisme.
Gageons que ce futur journaliste retiendra la leçon pour ne pas devenir un nouvel Aphatie... -
Hallucined Imposteur
La fable du très très mauvais casting.
Comment ne pas comprendre l'énervement de Mélenchon ? Un jeune journaliste bien formaté a la chance de lui poser des questions.
Mélenchon était là pour défendre ses idées et le journaliste, cherchant un pseudo scoop, l'entreprend sur les maisons closes.
Cherchez l'erreur !
Mélenchon ne pratique pas la langue de bois et s'exprime librement au risque de se mettre une proffession à dos.
Souvenez-vous, il y a peu, on parlait du journalisme de révérence.
A la place du journaliste, j'aurais eu honte de mon interview et ne l'aurait certainement pas mis en ligne.
On aurait vu mes limites à interroger un homme politique de stature : "Ouin, ouin, vous avez été agressif !" -
THERESE
Hou là là Monsieur Mélenchon a répondu sur un ton agacé à un étudiant en journalisme.
Il faut le montrer, le dénoncer c'est scandaleux.! Que fait Reporters sans frontières ?
Depuis quelques jours j'étais moi aussi agacée par l'abattage médiatique sur la réouverture des maisons closes : Marronnier en fleurs.
Sur le fond, ASI et d'autres sont bien indispensables pour nous aider à décrypter les petites et les grandes manipulations médiatiques.
Mais sur la forme: le contexte de l'interview, l'insistance du journaliste cela explique quelques propos un peu vifs.
La leçon de Mélenchon sera très utile je l'espère à cet étudiant.
Celui-ci est tout de même à l'école de Journalisme de Sciences-po. Il est habitué à plus dur que ça, je l'espère.
Depuis quelques années le recrutement s'est élargi et la bourgeoisie parisienne n'est plus aussi influente dans cette école. Au sein des cours on se castagne pas mal, à ce qu'on m'en raconte .
Je peux témoigner que mes proches étudiants dans cette école sont assez résistants pour supporter de se faire parfois "un peu remonter les bretelles".
Quant aux autres les misérables .. -
Jean-Claude Margerin
Dur d'être remis à sa place Hein les petites cervelles qui s'la pètent*
Il vous reste vos grosses têtes pour les ranger à l'intérieur et vos chevilles qui enflent pour porter le tout
flic, flic, flic... c'est le bruit que vous faites en parlant
Merci à @ S I d'avoir ouvert le débat
* (Ré) écoutez Didier Super -
Raphaëlle
Même s'il a ses raisons pour ne pas vouloir parler du sujet, ce qui est effarant dans la réaction de Mélenchon est son manque de respect.
L'étudiant pose des questions sur un sujet important (lorsqu'il dit que les prostituées sont dans les bois, il met aussi en avant un problème social). Et c'est Mélenchon qui aborde le sujet en premier. Ce dernier paraît comme sur la défensive.
Mais plus que le fond, c'est la forme qui choque. Qu'on soit d'accord ou pas, l'insulte n'est jamais une solution. C'est bien pour cela qu'il y a le débat. -
Totoro
Bonjour,
J'ai le sentiment que c'est la position de DS qui est la plus intéressante car caractéristique du journaliste 2.0. Internet aujourd'hui -- et surtout demain -- déboulonne le journaliste de son statut social car il abolit la séparation : que reste-t-il de la caste journalistique lorsque je peux interpeler l'homme politique directement sur tweeter ?
Notre jeune apprenti -Briaud- est donc, dans le cadre de sa formation, placé devant une alternative : Première option, il essaye de se faire sa place au Soleil et se rêve en Pujadas et consorts. Ne pas voir ici une critique poujadiste, il y a bien sûr d'excellents journalistes "institutionnels". Seconde possibilité, il prend son parti de l'évolution de la chaîne informationnelle et accepte la nouvelle précarité de classe que suppose de se retrouver à égale distance du citoyen et du pouvoir (politique, économique, culturel, etc.). Il sera alors médiateur d'information, plus libre peut-être, moins "installé", sûrement.
@SI a clairement fait le choix de la seconde voie, Mélanchon fustige dans cette séquence la première. J'imagine que Briaud est un garçon intelligent, son parcours académique semble en être une indication. J'espère très sincèrement qu'il aura vu dans cette passe d'arme, une fois passée la phase normale de la frustration et de la colère, un appel à la révolte plus qu'un encouragement à un réflexe corporatiste qui n'a plus lieu d'être.
Peut-être pourriez vous l'inviter pour tirer la chose au clair, j'aimerais bien savoir ce qu'à dans la tête l'élite journalistique en gestation. -
beyondtheeyes
Je ne conclus rien, je constate : en écoutant la vidéo au casque, à la seconde 26, au moment où Félix Briaud répond « En tout cas, on dirait que ça intéresse les gens, la réouverture des maisons closes », le ton de sa voix, pour moi, montre qu'il rigole sur la fin de cette phrase, du moins il me donne l'impression de ne pas prendre lui-même sa question au sérieux.
Sur le fond, si on prend la première partie de cette phrase, « En tout cas, on dirait que ça intéresse les gens »
- « En tout cas » : de toutes façons, c'est comme ça ?
- « on dirait » : on, mais qui ça on ? On dirait ? Ça c'est un fait avéré, indiscutable ? Quelles études ? Des sources ?
- « ça intéresse les gens » : quels gens, les lecteurs du journal Le Parisien, les gens en général, qui ? Qu'est-ce qui les intéresse ? Les conditions de vie inhumaines réservées aux prostituées ? Les réseaux mafieux ?
Quelqu'un aurait-il le verbatim de cet article du Parisien ? Que disait-il au juste cet article, au-delà du titre ? Posait-il de vraies questions de fond ?