Marseille : les médias nationaux abandonnent le bâti toujours en péril

Loris Guémart - - Silences & censures - Nouveaux medias - Médias traditionnels - Investigations - 13 commentaires

Ils n'y reviennent qu'à la date anniversaire du drame de la rue d'Aubagne

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Ce contenu est extrait du dernier épisode de notre émission Proxy. Elle est diffusée en direct un mardi sur deux à partir de 17 h 30 sur notre chaîne Twitch.

Vous pensiez que depuis l'effondrement de la rue d'Aubagne, en 2018, la situation s'améliorait à Marseille ? Pas vraiment : "Cinq ans après le drame de la rue d'Aubagne, plus de 1 000 adresses d'immeubles considérés comme dangereux sont suivies par les services municipaux", écrit ainsi le site d'enquêtes locales Marsactule 19 janvier 2024 en publiant une carte des données les plus récentes disponibles, compilées par l'un des sinistrés de la rue d'Aubagne. "On continue à croiser de manière régulière des noms qu'on connaît, des multipropriétaires qui, par un réseau de SCI (société civile immobilière, ndlr), et souvent un réseau familial, apparaissent très régulièrement dans les procédures de mise en sécurité", nous raconte le journalist...

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