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Jelomar
Catastrophe humanitaire aux USA.
En l'espace de deux jours, une vague sans précédent de deux décés, qui se sont avérés mortels, a touché le monde du spectacle aux Etats-Unis.
A la suite de ces événements, nos experts géopolitiques alertent l'opinion internationale sur un risque d'escalade et prévoient dans les jours qui viennent la formation de deux convois (que de "bons esprits" qualifient naïvement de mortuaires) qui devraient sillonner le sol américain.
Mais la Communauté Internationale n'est pas dupe quant à la réalité de cette opération qu'elle soupçonne être une tentative d'incursion sur le territoire sacré de l'Union.
Fort heureusement, ailleurs dans le monde, les gardiens de la paix mettent tout en oeuvre pour contenir le terrorisme, même si on doit déplorer quelques dégâts collatéraux qui toucheraient peut-être des populations civiles comme le prétend une certaine propagande nauséabonde aux relents antisémites et complotistes:
http://www.info-palestine.net/spip.php?article14726 -
charlie.lapared
Jour d'Aïd (de fête donc) à Gaza : un compte-rendu de Ziad Medoukh de Gaza (où il est professeur de français)
[quote=En direct de Gaza Lundi 28 juillet 2014 Il est 19 h à Gaza Ziad Medoukh Vingt –et- unième jour de l’offensive militaire israélienne sur la bande de Gaza • Vive la solidarité internationale avec Gaza • Massacres et crimes israéliens contre les civils de Gaza • Résistance palestinienne acharnée • Notre population est confiante malgré les massacres, les crimes, et les attaques sanglantes de cette armée barbare, elle affronte cette réalité cruelle avec une volonté remarquable et une patience extraordinaire. L’armée israélienne intensifie ses bombardements sur Gaza au premier jour de l’Aïd sans aucun respect de la trêve. L’armée israélienne a commis un nouveau massacre contre les enfants de Gaza Elle a bombardé un jardin public au camp de Chatie dans la ville de Gaza Elle a tué 10 enfants, alors qu’ils jouaient dans le jardin au premier jour de l’Aïd Quelle barbarie ! L’armée de l’occupation a bombardé l’hôpital Shifa, l’hôpital principal dans la ville de Gaza Quelle horreur ! - une femme chrétienne de 60 ans a été tuée ce lundi suite à des bombardements israéliens. - Trois cimetières ont été bombardés - Toujours deux heures d’électricité par jour pour chaque foyer Les chars israéliens sont toujours dans les zones frontalières au nord , au sud et à l’est de la bande de Gaza. Ils bombardent d’une façon intensive. 165.000 habitants ont quitté leurs maisons Destruction massive dans la bande de Gaza : habitations, infrastructures civiles , usines et terres agricoles Et ça continue ! Le bilan s’alourdit au vingt et unième jour de l’offensive militaire israélienne contre la bande de Gaza et sa population civile : - 1050 morts palestiniens jusqu’à cette heure-ci, dont 225 enfants, 103 femmes et 76 personnes âgées suite à des bombardements israéliens en vingt et un jours. - -5570 blessés lors de ces bombardements aveugles de l’armée de l’occupation israélienne, dont 750 femmes, 300 personnes âgées et 1250 enfants -Plus de 5220 raids israéliens en vingt et un jours partout dans la bande de Gaza Quelle horreur ! -1420 maisons ont été détruites suite à ces bombardements aveugles - 1870 maisons endommagées par les bombardements -Plus de 11000 personnes sont sans-abri après la destruction de leurs maisons. -97 mosquées ont été détruites C’est terrible ! Nous nous lâchons rien! Nous ne désespérons pas ! La lutte continue Nous nous défendrons jusqu’à la dernière goutte de notre sang Jusqu’à notre dernier souffle Gaza sera toujours debout ! Gaza résiste, Gaza existe et Gaza persiste ! Palestine vivra, Palestine vaincra ! Amitiés de Gaza sous les bombes Ziad] -
charlie.lapared
Ah, mais que voilà un document intéressant :
http://blogs.mediapart.fr/blog/kiergaard/280714/decoder-la-communication-israelienne-destination-de-loccident
Avec ça, on a de quoi décoder ce que nous racontent nos media. -
charlie.lapared
Témoignage en anglais d'un médecin gazaoui dont l'hopital est devenu une cible (ainsi que les enfants, dit-il)
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Compte supprimé à la demande de l'utilisateur
Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur
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Diogene
[quote=DS] "ce forum tourne un peu en boucle "
L'histoire de cette région aussi. -
Diogene
[quote=DS] Il me semble avoir vu une photo où La Pen était en compagnie d'un sioniste d'extrême-droite
Y en a aussi en compagnie d'arabes antisémites. Du moment que la personne présente déteste les juifs ou les arabes, il est content -
charlie.lapared
Quand on vous dit qu'il y a des gens bien en Israël : http://www.humanite.fr/le-courageux-combat-des-pacifistes-et-progressistes-israeliens-547625. Chez nous, des cinéastes profitent de n'importe quelle occasion pour lancer des accusations d'antisémitisme à des éditorialistes qui se permettent de critiquer Israël (cf l'émission de Ruquier "coupée")... En Israël, les cinéastes osent critiquer l'état dans lequel ils vivent.
merci à eux ! -
Ervé
Hier, quatre enfants qui jouaient sur une plage de Gaza (située à quelques centaines de mètres des hôtels des journalistes occidentaux), ont été fauchés par des missiles israéliens. Quatre nouvelles victimes s'ajoutant à un bilan qui ne cesse de s'alourdir.
Mais aujourd'hui, Israël et le Hamas ont décidé de suspendre les hostilités pendant six heures. Il s'agit d'une "trêve humanitaire" ou d'une "fenêtre humanitaire" selon les termes de l'armée israélienne !
Le sens des mots échappe visiblement à ces assassins. -
Quasar
Je m'aperçois que non seulement ce forum tourne un peu en boucle (commentaires identiques qui dérivent du sujet, copiés-collés anachroniques, peu d'analyses en réalité -d'un camp ou de l'autre), mais aussi ce dossier Israël-Palestine de la rédaction... et depuis 2009.
Pourtant @SI est tellement attentif aux déséquilibres du traitement médiatique.
"Asymétrique", effectivement. -
Strumfenberg ( Aloys von )
Au fait... Le FN est-il pro-israëlien, ou pro-palestinien ? ( je sors en vitesse...) -
Fan de canard
Des précisions sur les atrocités commises à Gaza:
http://www.humanite.fr/israel-utiliserait-le-dime-une-arme-particulierement-effroyable-547262 -
BIBI
George Steiner, invité de Bernard Pivot dans l'émission Apostrophes en 1981 , dit :" le peuple juif était un peuple trop faible pour être salaud;... il y a des réfugiés qui sont réfugiés car nous habitons dans leurs maisons; c'est une chute profondément tragique, une déchéance, une disgrâce, un désastre. C'est une vengeance posthume d'Hitler. C'est l'enfer sur cette terre, l'enfer immanent" . Il compare la théorie du peuple fort à la théorie du peuple élu. Il dit aussi que l'assassinat méthodique de l'animal de la plante et des hommes fait partie de son monstrueux héritage.
Il était l'invité de Bernard Pivot pour son livre Le Transport de A.H. imaginant le le transport d'Adolf Hitler en Amérique latine. -
Eleftherios
Si nous voulons connaître le nom des palestiniens assassinés par Israël , il faut demander au Mossad.
Il est urgent de dénoncer plus largement ces tueries et de donner clairement les identités des victimes. Cacher ces informations revient à nier les faits, ce dont Israël est spécialiste.
Les français doivent se dessolidariser de Hollande et prouver que la France est toujours la patrie des droits de l'Homme. -
Sterling Archer
petit piratage de Libé pour la bonne cause
Toutes les raisons pour lesquelles je quitte Israël
TRIBUNE.
PAR SAYED KASHUA ECRIVAIN ARABE ET CITOYEN ISRAÉLIEN. DERNIER ROMAN PARU EN FRANÇAIS : LA DEUXIÈME PERSONNE, TRAD. DE L’HÉBREU PAR JEAN-LUC ALLOUCHE, ÉDITIONS DE L’OLIVIER, 2010.
Bientôt, je vais partir d’ici. Dans quelques jours, nous quitterons Jérusalem, nous quitterons le pays. Hier, nous avons acheté de petites valises pour les enfants. Inutile d’emporter beaucoup de vêtements, nous laisserons les habits d’hiver ; de toute façon, ils ne pourraient pas nous protéger du froid dans le sud de l’Illinois, Etats-Unis.
Juste quelques vêtements jusqu’à ce qu’on se débrouille, et si, me suis-je dit, les enfants prenaient quelques livres, deux ou trois en arabe, et quelques autres en hébreu, pour qu’ils n’oublient pas la langue ?
Mais je ne suis déjà plus si sûr de ce que je souhaite que mes enfants se souviennent de cet endroit aimé et maudit.
A l’origine, nous avions prévu de partir dans un mois pour une année sabbatique, voire moins, mais, la semaine dernière, j’ai compris que je ne pouvais plus rester ici. J’ai demandé à mon agence de voyages d’avancer notre départ : «Un aller simple, s’il vous plaît», ai-je demandé. Dans quelques jours, nous atterrirons à Chicago, et je ne sais même pas où nous irons pendant le premier mois mais nous nous débrouillerons.
J’ai trois enfants, l’aînée est déjà âgée de 14 ans, les deux garçons ont 9 et 3 ans. Nous habitons à Jérusalem-Ouest, l’unique famille arabe du quartier où nous avons emménagé il y a six ans. «Tu peux prendre deux jouets», avons-nous dit en hébreu au benjamin qui regardait sa caisse de jeux et commençait à pleurer, bien que nous lui ayons promis de lui acheter là-bas tout ce qu’il désire.
Moi aussi, je dois décider quoi emporter. Je ne peux choisir que deux livres, ai-je décidé en contemplant mes rayonnages. Hormis, un recueil de poèmes de Mahmoud Darwich et une anthologie de récits de Gibran Khalil Gibran, tous mes livres sont en hébreu. Des livres que j’ai commencé à acquérir dès l’âge de 15 ans et qui m’ont accompagné partout au cours des années.
Depuis l’âge de 14 ans, je n’ai presque pas lu de livre en arabe, uniquement en hébreu. C’est à cet âge que j’ai découvert une bibliothèque pour la première fois de ma vie. Il y a vingt-cinq ans, mon professeur de maths à Tira, le village où je suis né, est venu voir mes parents et leur a dit que les juifs allaient ouvrir à Jérusalem, dans un an, une école pour les élèves surdoués. Il avait affirmé à mon père que cela valait la peine de me présenter aux examens d’inscription. «Là-bas, ce sera mieux pour lui», je me souviens des mots de mon professeur.
J’ai réussi les examens, j’ai été interrogé par des examinateurs et, à l’âge que ma fille a aujourd’hui, j’ai quitté pour la première fois ma maison de Tira pour un internat juif à Jérusalem.
C’était si dur, presque cruel. Je me souviens de mes pleurs quand mon père m’a étreint et m’a laissé sur le seuil de la nouvelle école, splendide, si différente de ce que j’avais connu jusque-là à Tira. J’ai écrit naguère que la première semaine à Jérusalem avait été la plus pénible de ma vie. J’étais différent, autre, mes vêtements différents, ma langue différente. Toutes les leçons étaient en hébreu - les sciences, la bible, la littérature. J’étais assis là, sans comprendre un traître mot. Quand j’essayais de parler, mes camarades se moquaient de moi. Je voulais tellement m’échapper de cet endroit, revenir chez les miens, à mon village, à mes camarades, à la langue arabe.
Au téléphone, je pleurais aux oreilles de mon père pour qu’il vienne me chercher, et lui me répondait que seuls les débuts sont difficiles, qu’au bout de quelques mois je parlerais l’hébreu mieux qu’eux…
Je me souviens que mon prof de littérature, au cours de la première semaine, nous a demandé de lire l’Attrape-cœurs de J. D. Salinger.
A Tira, nous n’avions pas de cours de littérature. Ni de bibliothèque, et il n’y en a toujours pas. L’Attrape-cœurs est le premier roman que j’aie jamais lu. Cela m’a pris quelques semaines pour le lire et, à la fin, j’ai compris deux choses qui ont changé ma vie. La première, c’est que j’étais capable de lire un livre en hébreu ; la seconde, la conviction profonde que j’étais tombé amoureux des livres.
Dès le moment où j’ai découvert la littérature, je me suis désintéressé des sciences ; je m’installais en bibliothèque et je lisais. Très vite, mon hébreu est devenu presque parfait. Les livres de la bibliothèque de l’internat étaient tous en hébreu, et j’ai commencé à lire les écrivains israéliens, Agnon, Meïr Shalev, Amos Oz et aussi des ouvrages sur le sionisme, le judaïsme et la construction de la patrie. Très vite, j’ai compris le pouvoir de l’écriture et je me suis retrouvé à lire des récits sur les pionniers juifs, la Shoah, la guerre.
Au cours de ces années-là, j’ai commencé aussi à comprendre ma propre histoire et, sans intention délibérée, j’ai commencé à écrire sur des Arabes vivant en internat israélien, dans la partie occidentale de la ville, dans l’Etat juif. J’ai entrepris cela avec la conviction que tout ce que je devais faire pour changer cette situation, c’était d’écrire l’autre partie, de raconter les histoires entendues de la bouche de ma grand-mère.
Ecrire comment mon grand-père a été tué devant Tira pendant la guerre de 1948. Comment ma grand-mère a perdu sa terre, comment elle a élevé mon père, orphelin de père à l’âge de quelques mois, en gagnant son pain en travaillant à la cueillette chez les juifs. Je voulais raconter en hébreu mon père, qui a été détenu pendant de longues années, sans jugement, à cause de ses idées politiques. Je voulais raconter aux Israéliens une autre histoire, une histoire palestinienne. Car, en lisant, ils comprendraient, en lisant, ils changeraient, tout ce que je devais faire, c’était écrire, et l’occupation prendrait fin, je devais juste être un bon écrivain et je libérerais les membres de mon peuple des ghettos dans lesquels ils vivent. De bonnes histoires en hébreu, et je serais à l’abri, encore un livre, puis un autre film, encore un article pour le journal, et encore une télé, et mes enfants auraient un meilleur avenir. Grâce à mes histoires, un jour, nous deviendrions des citoyens égaux, presque comme les juifs.
Cela fait vingt-cinq ans que j’écris en hébreu, et rien n’a changé. Vingt-cinq ans que je m’accroche à l’espoir, à croire qu’il est impossible que des êtres humains puissent se montrer à ce point aveugles.
Vingt-cinq ans pendant lesquels je n’ai pas eu beaucoup de raisons d’être optimiste mais j’ai continué à croire que c’était encore possible que, un jour, ce lieu où vivent des juifs et des Arabes puisse connaître une histoire qui ne nie pas l’histoire de l’autre. Qu’un jour, les Israéliens cessent de nier la Nakba, l’occupation, et qu’ils cessent de fermer les yeux devant la souffrance du peuple palestinien. Qu’un jour, les Palestiniens se montrent disposés à pardonner, et qu’ensemble nous bâtissions un lieu où il soit agréable de vivre, exactement comme dans les romans à happy end.
Vingt-cinq ans que j’écris en hébreu, et rien n’a changé. Vingt-ans que j’écris et que j’essuie des critiques hostiles des deux camps mais, la semaine dernière, j’ai renoncé. La semaine dernière, quelque chose s’est brisé en moi.
Quand de jeunes juifs exaltés se sont répandus en hurlant «mort aux Arabes !» et ont attaqué des Arabes juste parce qu’ils étaient arabes, j’ai compris que j’avais perdu ma minuscule bataille personnelle.
J’ai écouté alors les politiciens et les gens des médias et j’ai su que ceux-là faisaient la différence entre un sang et un autre, entre un être humain et un autre être humain. Des individus, devenus la force dominante du pays, clamaient à voix haute ce que la plupart des Israéliens pensent : «Nous sommes meilleurs que les Arabes.»
Dans les tables rondes auxquelles j’ai participé, on affirmait que les juifs étaient un peuple plus éminent, plus digne de vivre. Une majorité désespérément déterminante dans le pays ne reconnaît pas à l’Arabe le droit de vivre, en tout cas pas dans ce pays.
Après lecture de mes derniers articles, certains lecteurs ont suggéré de m’expédier à Gaza, de me briser les os, de kidnapper mes enfants.
J’habite à Jérusalem et j’ai de merveilleux voisins juifs, et j’ai des amis écrivains et journalistes merveilleux, mais je ne peux pas envoyer mes enfants dans des colonies de vacances ou des centres aérés avec leurs copains juifs.
Mon aînée, furieuse, a protesté, affirmant que personne ne saurait qu’elle est arabe à cause de son hébreu impeccable mais je n’étais pas disposé à l’écouter. Elle s’est enfermée dans sa chambre, en pleurs.
Bientôt, je serai loin d’ici et, maintenant, face à mes rayonnages de livres, je tiens en main le Salinger que j’ai lu à 14 ans. Je ne veux pas du tout emporter de livres, me suis-je dit, je dois m’investir dans une nouvelle langue, je sais à quel point c’est difficile, presque impossible, mais je dois trouver une autre langue pour écrire, mes enfants devront trouver une nouvelle langue dans laquelle vivre. «N’entre pas», a crié ma fille, au moment où je toquais à sa porte. Pourtant, j’ai pénétré dans sa chambre.
Je me suis assis à côté d’elle, sur son lit. Et, bien qu’elle me tournât le dos, je savais qu’elle m’écoutait.
«Tu m’entends ? Je lui ai répété la même phrase que mon père m’a dite en me laissant devant le seuil de l’école la plus prestigieuse du pays, vingt-cinq ans auparavant. Souviens-toi que, quoi que tu fasses dans la vie, pour eux, tu resteras toujours, je dis bien toujours, un Arabe. Tu m’as compris ?
- J’ai compris, m’a répondu ma fille en m’étreignant de toutes ses forces. Papa, ça, je l’ai compris depuis longtemps.
- Bientôt, nous partirons d’ici, ai-je fait en lui défaisant sa chevelure, juste comme elle déteste. En attendant, lis ça…» Et je lui ai tendu l’Attrape-cœurs. -
Sterling Archer
Très estimable initiative de cinéastes israéliens, initiée notamment par Ronit et Schlomi Elkabetz, auteurs de l'excellent Procès de Viviane Amsallem, cinglante description des tribunaux rabbiniques et Nadav Lapid réalisateur du Policier et de L'Institutrice, qui sortira bientôt et que je recommande absolument: grand film ambigu sur Israël, la poésie, nos sociétés modernes, et pleins d'autres choses, beaucoup plus passionnantes que toutes les descriptions bêtasses que je pourrais faire. -
gallais
Anonymes ? Ah bon ? -
charlie.lapared
Ignorance de l'histoire du M.O. ou mauvaise foi de la journaliste de F24. (Je sais, j'ai déjà posé le lien mais en fin de forum)...
Heureusement, Leïla Shahid ne s'en laisse pas conter... http://www.islametinfo.fr/2014/07/13/leila-shahid-gaza-france24/
Par Le Figaro :
"Le rejet par le mouvement palestinien Hamas d'une initiative égyptienne de trêve force Israël à "étendre" et "intensifier" ses opérations militaires à Gaza, a déclaré aujourd'hui le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou.
"Une solution diplomatique aurait été mieux, c'est ce que nous avons essayé de faire lorsque nous avons accepté la proposition de trêve de l'Egypte aujourd'hui. Mais le Hamas ne nous a pas laissé d'autre choix que d'étendre et d'intensifier notre campagne contre lui", a-t-il déclaré à la télévision"...
Et puis ça aussi ww.leparisien.fr/international/en-direct-gaza-le-cabinet-israelien-accepte-le-cessez-le-feu-propose-par-l-egypte-15-07-2014-4002339.php#xtref=http%3A%2F%2Ft.co%2FvXgytsEiC1
A noter que Libermann (ministre du gouvernement Netanuahou) dit qu'Israël veut récupérer la Bande de Gaza.
De toutes façons, si le Hamas avait accepté, les bombardements auraient repris si ça n'est demain, après-demain ;o(
Re-sic ;o(( -
Holden
C'est quand même dingue que dans les principales sources d'informations, genre les JT de 20h, le traitement soit aussi favorable à Israël. Comme s'il s'agissait d'un conflit entre deux armées disposant des mêmes forces !
Dingue qu'aucun grand médias, aucune figure médiatique, ne condamne le fait que Netanyahu chante à la gloire d'Israël en France dans l'école ou Merah a assassiné ses victimes. Comment peut-il ainsi mélanger les choses devant les membres du gouvernement français complaisants ?
Comment ne pas critiquer sévèrement le CRIF quand il affirme "Les juifs français soutiennent Israël" ?
Tout ça est incompréhensible... -
Lafargue
Je m'étonne qu'aucun de nos experts/consultants/spécialistes/jerappelleletitredevotredernierouvrage ne se soit jamais penché sur les images fournies par l'armé du pays bombardant.
C'est quand même aussi facile à présenter qu'un powerpoint...
- Et là vous voyez y'a une voiture et puis boom plus de voiture!
- Oulalal c'est précis dis donc...
- Oh oui ça s'appelle le progrès...
- Et puis le fond gris ça change du fond vert...
- Ah ça c'est parce que c'est le jour.
- Et puis du sport à présent...